Dans les cieux issisois voyez cet Aigle Noir
Dans ses serres tenant le journal Revision
Parfois comme un stuka l’oiseau se laisse choir
Pour déféquer sur la kippa d’un fils de Sion
Mais depuis peu son œil naguère si perçant
Se fait méditatif, rêveur et languissant :
Ce n’est plus en pensant à des Juifs qu’on fumige
Que de contentement frémissent ses rémiges
Car il a, bercé par les courants ascendants
Des cuisses de Freya le fantasme obsédant
De faire pénétrer son fier pénis hongrois
Dans ce marteau de Thor tel un charnel engrois
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Nemo me impune lacessit: sanctificetur nomen meum, adveniat regnum meum, et fiat voluntas mea in terra
卍 Freya Magna, Augusta Europaea 卐