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Old May 10th, 2014 #4
alex revision
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Sachsenhausen-Vorkouta. Dix ans prisonnier des Soviétiques.



Gerhart Schirmer

L’auteur, commandant d’une brigade de parachutistes et colonel dans la Bundeswehr, décrit ici d’une façon prenante les épreuves qu’il a subies dans les camps du NKVD durant dix années à partir de 1945, d’abord dans le camp de concentration soviétique de Sachsenhausen, puis, après un passage par la Loubianka de Moscou, dans le camp de travail de Vorkouta, au nord du cercle polaire.

L’auteur s’attache surtout à fournir une documentation sur les conditions auxquelles les détenus étaient soumis dans chacun de ces camps.

C’est ainsi qu’à Sachsenhausen, où il faisait partie du commando préposé aux cadavres, il put évaluer le nombre des morts d’inanition, d’ailleurs confirmé par des déclarations de médecins ; à l’automne 1945, toujours au camp de Sachsenhausen, il dut construire, avec d’autres détenus, une installation de tir dans la nuque et une chambre à gaz, qui fut ensuite montrée aux visiteurs comme ayant été utilisée par les « nazis ».



La Paix la plus terrifiante de l'histoire



Austin J. App


Le magazine Time du 15 octobre 1945 écrivait que l’Europe était « passée de la guerre la plus horrible de l’histoire à la paix la plus terrifiante de l’histoire ».

C’est de cette phrase terrible que s’inspire le titre du présent recueil.

Pourquoi « la paix la plus terrifiante de l’histoire » ? Parce que les hommes qui ont jeté l’Amérique dans la guerre par le prêt-bail et le pacte de croisade de la Charte atlantique ont achevé le conflit avec ce qui restera un éternel monument de honte : le plan Morgenthau pour la destruction du peuple de langue allemande.

Parce que l’Amérique, qui s’est autoproclamée « l’arsenal de la démocratie », a mis imprudemment ses moyens de destruction de l’ère atomique entre les mains de cent soixante-dix millions de barbares eurasiens ; parce qu’elle les a incités à se montrer « durs » envers les vaincus, et qu’avant d’accepter la capitulation allemande elle a insisté pour qu’ils puissent envahir toute l’Europe centrale chrétienne, qu’ils puissent y vivre aux dépens des populations, qu’ils puissent piller, vandaliser, mettre les gens en esclavage, en déporter des millions et violenter des centaines de milliers de femmes et d’enfants !



Bâtir le foyer blanc

Une stratégie de survie pour les Européens devant le flot montant des peuples de couleur



Arthur Kemp

Partant du constat que seuls les Européens et les Euro-Américains des États-Unis sont menacés d’extinction par les populations originaires du tiers-monde, l’auteur, qui concentre son propos sur les Européens de l’Ouest, estime que leur sort est si grave que les plus conscients d’entre eux ne survivront que s’ils se regroupent dans des communautés de vie, prélude à un Grand Trek vers un ou plusieurs territoire(s) où ils seront nettement majoritaires … La croissance continue, dans les pays occidentaux, du nombre des électeurs de couleur et pratiquant d’ores et déjà un vote ethnique de masse sonne en effet le glas de l’espoir d’inverser la tendance par la voie des urnes.

L’auteur encourage donc les Européens décidés à défendre leur identité à franchir le Rubicon psychologique consistant à admettre que la plupart des Blancs sont condamnés à disparaître, sous l’effet du métissage et de la submersion lente ou violente.

Loin de nourrir la défaite dans les têtes, ce petit livre offre aux Européens identitaires un véritable mythe mobilisateur.