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alex revision
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Default Kevin Alfred Strom – L’identité blanche

IDENTITE BLANCHE

émission de American Dissident Voices

7 juin 2003

par Kevin Alfred Strom


Si nous voulons survivre, cela signifie que nous devons décider qui « nous » sommes. C’est si fondamental, si évident, si essentiel que c’est étonnant de voir à quel point les gens qui y réfléchissent sérieusement sont peu nombreux.

Les Noirs ont très peu de problèmes pour décider qui ils sont. Ils le savent en un instant. Quiconque est d’ascendance africaine sub-saharienne, a la sombre couleur de peau requise, les cheveux crépus, un nez épaté et des lèvres épaisses réunit les conditions. Ils ne se soucient pas beaucoup de savoir si l’individu en question croit au catholicisme, au pentecôtisme, à l’Eglise de l’AME, ou s’il est partisan de Louis Farrakhan ou d’une religion africaine indigène. Ils ne se soucient pas beaucoup de savoir si la personne est un marxiste ou un entrepreneur libéral. Dans la mesure où les Noirs individuels peuvent se soucier de telles choses, la race l’emporte sur tout. Ce dont ils se soucient vraiment, c’est le fait que la personne en question est noire. C’est une question de survie raciale. La race doit l’emporter sur tout. Elle constitue l’essentiel.

Similairement, les gens de la Nation d’Aztlan se soucient profondément de la survie de leur race. Ils savent qui ils sont et d’où ils viennent. Ils valorisent leurs caractéristiques raciales et veulent qu’elles aient un avenir. Ils demandent un territoire – un territoire exclusif – pour que leur race puisse avoir de la nourriture et un espace vital et un gouvernement autonome. Ils ne se définissent pas, à ma connaissance, par la religion. Donc les différences entre la religion catholique et les religions indigènes pratiquées par des membres de leur race ne brisent pas leur unité raciale, et la conversion religieuse ne peut pas non plus polluer leur pool génétique. Ils peuvent différer sur l’économie et sur la structure sociale idéale qu’ils voudraient avoir dans la nouvelle nation qu’ils veulent se tailler dans les Etats-Unis. Mais ils s’accordent tous sur le fait qu’ils ont besoin de se tailler cette nation – et sur le fait que cette nation appartiendra à leur race et à leur race seulement. Voilà l’essentiel. Tout le reste est négociable. L’identité raciale est suprême. Ils sont une race qui veut survivre.

De même, les peuples d’Asie de l’Est ont un très fort sens de l’ethnicité. Leurs communautés chez eux, et dans les pays qu’ils colonisent outre-mer comme les Etats-Unis et le Canada, sont presque racialement pures. Ils maintiennent leur intégrité raciale, et il y a un pourcentage de plus en plus faible d’immigration non-asiatique dans leurs patries. Ils savent qui ils sont. Presque sans exceptions, ils se définissent en termes d’ascendance – le respect des ancêtres est une tradition puissante parmi les Asiatiques – et l’intégrité génétique de leurs nations est assurée.

Mais demandez à quelques Américains ou Européens blancs de définir leur peuple – de définir qui « nous » sommes – et vous obtiendrez une telle masse de réponses contradictoires que vous renoncerez rapidement à obtenir une réponse cohérente à votre question. Vous obtiendrez probablement plus de réponses rationnelles venant d’autres races si vous leur demandez de définir qui « nous » sommes. Ils ont longtemps et très rationnellement regardé l’Occident blanc comme une unité raciale et culturelle.

Une partie de la confusion blanche concernant qui nous sommes est sans aucun doute due à la propagande omniprésente des médias et des establishments éducationnels contrôlés par les Juifs, qui disent que « la race n’existe pas », que le mélange racial est souhaitable, et que l’identité blanche est le pire des maux dans le monde. Cette propagande cause indubitablement des dommages réels dans les psychés blanches, et dans les âmes innocentes des jeunes Blancs. Et les promoteurs de cette propagande méritent toutes les mesures nécessaires pour faire cesser leurs mensonges haineux. Mais leur propagande n’explique pas pleinement la confusion des Blancs concernant leur identité raciale.

Une partie de la confusion concernant notre identité est de nature religieuse.

Durant les derniers jours de la majestueuse civilisation classique créée par notre race, la religion indigène de cette civilisation fut vaincue, détruite et supplantée par le christianisme, qui avait originellement surgi de racines juives, et s’était ensuite répandu parmi la population servile puis parmi la population citoyenne de plus en plus cosmopolite et prolétaire. En quelques siècles, le christianisme devint la religion d’Etat de Rome. Quand des tribus blanches plus saines venues du nord envahirent et finalement occupèrent Rome, beaucoup furent sans doute ébahis devant la culture, la technologie, l’architecture et l’art monumental de l’Empire vaincu. Ils associèrent à tort ces grandes réalisations de notre race à la religion récemment adoptée du christianisme, et naturellement le Pontifex Maximus, chef des prêtres chrétiens ou Pape de Rome, anxieux de préserver la richesse et le pouvoir de son institution, ne les désabusa pas concernant cette idée fausse. Ainsi beaucoup de Blancs, très impressionnés par les vestiges de la magnificence et de la grandeur de Rome, se convertirent à la croyance en ce qu’ils pensaient être le dieu de Rome.

En plus de ces conversions sincères, il y eut d’autres conversions sincères basées sur une vraie croyance aux doctrines chrétiennes occidentalisées finalement prêchées dans toute l’Europe ; ou sur les qualités de la Bible des chrétiens, qui, à la différence des mythes classiques ou nordiques plus poétiques et fantaisistes, prétendait être un recueil historique précis des événements qui eurent lieu dans le monde réel. Et il est bien connu que de nombreuses conversions furent faites par l’épée, et que des milliers de gens furent tués parce qu’ils ne voulaient pas se soumettre.

Il arriva donc que le christianisme accomplit ce qu’aucune autre religion n’avait fait avant. Il plaça toute l’Europe et presque toute notre race sous une religion – une réussite remarquable, qui eut de nombreux bénéfices, dont le moindre n’était pas une réalisation de l’unité culturelle et d’une base doctrinale pour unir toutes les tribus blanches contre des ennemis raciaux communs, qui naturellement avaient aussi des religions étrangères. C’est sous la bannière du christianisme que Charles Martel vainquit les musulmans à Tours et que les Maures furent finalement expulsés d’Europe par les troupes de Ferdinand et Isabelle.

Avec l’Europe géographique et l’Europe raciale [devenues] presque complètement chrétiennes, l’Europe devint la Chrétienté. Et, en pratique, la race blanche se pensait comme la Chrétienté. Et, bien que dans un sens diminué, beaucoup d’entre nous pensent encore de cette manière aujourd’hui. Même dans les milieux nationalistes blancs, où notre sens de l’identité raciale doit être plus fort si nous voulons conduire notre peuple à la liberté et à la sécurité, nous trouvons très fréquemment une telle pensée.

Même Lawrence Brown, auteur de l’ouvrage stimulant The Might of the West, « nous » définit comme les descendants de ceux qui étaient catholiques en 1492, avec quelques additions, également chrétiennes.

Il est difficile de ne pas être émotionnellement ému par les aspects racialement sains du rituel et de la culture chrétiens : le chœur des enfants tous blancs chantant l’Introitus Requiem de Mozart ou les œuvres intensément spirituelles de Bach et de Haendel ; la magnifique cathédrale gothique ou l’église du pays blanc aux pieds de la montagne ; les gens droits et honnêtes qui peuplèrent l’immensité des plaines américaines et firent la plus grande République de l’histoire. Je suis moi-même ému par ces choses.

Mais dans leur essence, ces choses sont plus blanches que chrétiennes. Sans la race blanche, elles n’auraient jamais pu exister, même si le christianisme avait pris racine parmi d’autres races. La source de la musique de Mozart et des immenses temples gothiques n’était pas dans la doctrine, ni dans l’écriture, mais dans les gènes. C’est une raison pour laquelle nous devons nous définir en termes raciaux – en termes génétiques –, ou bien nous disparaîtrons, ainsi que tout ce que nous avons bâti et tout ce que nous aimons.

C’est pourquoi les chrétiens blancs doivent placer la race en premier, au-dessus même de leur religion bien-aimée. Ils doivent s’accorder avec les autres nationalistes blancs sur le fait que nous sommes des Blancs, que nous sommes la race européenne, que nous sommes définis en termes biologiques et que nous combattons pour la survie de cet héritage racial et de la culture que notre race a créée et qu’elle seule peut soutenir et faire avancer vers sa destinée. La race vient en premier. C’est par la race que nous devons nous définir. Les Blancs d’autres religions sont malgré tout « des nôtres ». Les non-Blancs, même s’ils partagent nos croyances religieuses, ne peuvent jamais être « des nôtres ». Toute autre approche est du suicide.

Nous définir en larges termes religieux peut seulement signifier que (1) Les Coréens et les Juifs, etc., qui se convertissent à notre religion sont « des nôtres » aussi, ou que (2) la plupart des Mexicains, par exemple, sont « des nôtres » maintenant.

Cela revient à abandonner la partie, se coucher, et accepter la mort raciale. S’il reste un jour quelques demi-Blancs qui pratiquent le christianisme, c’est la défaite. Pas la victoire.

Non seulement notre race existait avant le christianisme – ce qui rend impossible que celui-ci soit notre caractéristique définissante –, mais nous existions avant que toute religion connue vienne à exister.

Avant Darwin et Mendel et Crick et Watson, nous pouvions ne pas connaître notre histoire reculée ou le mécanisme physique fondant notre identité de Blancs. Avant la montée du pouvoir juif au XXe siècle, nous pouvions ne pas voir clairement que les Juifs sont une intrusion profondément étrangère dans nos nations.

Mais le Congrès des Etats-Unis en 1790 fit de la qualité d’être « une personne blanche libre » une condition pour devenir un citoyen des Etats-Unis, une condition légale qui resta en vigueur pendant 162 ans. Ils virent ce qui était essentiel, et agirent en accord. Ils avaient une conscience raciale blanche implicite qui s’exprima explicitement dans les lois du pays.

Malheureusement, ils n’avaient pas conscience de la nature non-blanche du Juif, et ce fut le seul défaut qui permit l’immigration massive des Juifs à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. Et ce groupe étranger (et racialement conscient de son caractère étranger) entreprit d’utiliser toute son habileté et toute sa richesse pour détruire la conscience raciale naissante des Blancs et supprimer les lois de nos ancêtres qui protégeaient notre race de l’immigration non-blanche et des mariages mixtes. Certains ont dit qu’en nous identifiant comme chrétiens nous aurions pu éviter l’erreur de considérer les Juifs comme des Blancs et donc de leur donner libre accès à notre société, mais je ne suis pas d’accord avec cette position. Comme en Espagne il y a 500 ans, les Juifs auraient simplement pu s’asperger d’« eau bénite » et affirmer croire en la bonne doctrine, et la barrière religieuse pouvait être franchie facilement. Et de plus, la connexion juive avec le christianisme a le plus souvent joué en faveur des Juifs, poussant les dirigeants chrétiens religieux et laïcs à les regarder avec une sympathie mal placée.

La beauté exaltée (dirai-je leur caractère blanc ?) des services religieux dont j’ai parlé, ou le charmant et émouvant service de Pâques dans une église de Nouvelle Angleterre dont une dame respectable me parlait dans une récente lettre, n’auraient jamais pu être complètement saisis par des non-Blancs, quelle que soit leur croyance. Il suffit de penser aux églises noires et à leur ambiance et à leur spiritualité si différentes, sinon moins sincères.

Mais je crois sincèrement qu’un sentiment religieux (dirai-je un esprit ?) similaire, peut-être encore plus pur, était présent dans l’ancienne Hellade quand les chœurs chantaient en l’honneur d’Eos – ou quand Pan ou Freyja étaient invoqués dans les temples forestiers de nos anciennes patries.

Je ne prône pas un retour aux anciennes religions – loin de là. Mais la clé de notre spiritualité – la clé de ce que nous sommes – est à l’intérieur de nous-mêmes, et est donc à l’intérieur de nos gènes. Elle ne se trouve pas dans une croyance spécifique, et certainement pas dans une croyance que nous avons reçue d’autres peuples, ou une croyance qui peut être adoptée par n’importe qui.


Les fondateurs de l’Amérique avaient un sens de l’identité blanche qui transcendait la religion. C’est pourquoi ils définirent la citoyenneté en termes raciaux dans la Loi de Naturalisation de 1790. C’est pourquoi même ceux qui s’opposaient à l’esclavage des Noirs – comme Francis Scott Key – soutenaient la Société de Colonisation Américaine qui proposait de rapatrier les Noirs affranchis en Afrique. C’est pourquoi Thomas Jefferson soutenait la séparation raciale à l’échelle continentale. Jefferson souligna la grande différence entre l’esclavage en Amérique, où les esclaves étaient noirs, et l’esclavage dans l’ancienne Rome, où les esclaves étaient blancs : « Parmi les Romains, l’émancipation n’exigeait qu’une seule décision. L’esclave, une fois libéré, pouvait mêler son sang à celui du maître sans le souiller. Mais chez nous, il en faut une seconde, inconnue dans l’histoire. Une fois libéré, il faut l’éloigner en un lieu où le mélange ne soit pas possible ».

Ce sens de l’identité raciale blanche fut même promu et défendu par le Président des Etats-Unis (Theodore Roosevelt) lui-même dans les premières années du XXe siècle. Il déclara :

« La démocratie du XIXe siècle n’a pas besoin d’une justification plus complète pour son existence que le fait qu’elle a conservé à la race blanche les meilleures portions de la surface des nouveaux mondes, l’Amérique tempérée et l’Australie.

Si ces régions avaient été sous des gouvernements aristocratiques, l’immigration chinoise aurait été encouragée exactement comme la traite des esclaves est nécessairement encouragée par toute oligarchie propriétaire d’esclaves, et le résultat aurait été en quelques générations encore plus fatal pour la race blanche ; mais la démocratie, avec le clair instinct de l’égoïsme racial, vit l’ennemi de la race, et laissa dehors le dangereux étranger.

La présence du nègre dans nos Etats sudistes est un héritage de l’époque où nous étions gouvernés par une aristocratie transocéanique. Toute la civilisation du futur a une dette de gratitude plus grande qu’on ne saurait l’exprimer en paroles, envers cette politique démocratique qui a conservé les zones tempérées des nouveaux et des plus nouveaux mondes comme héritage pour les Blancs. » (Edition Commémorative des Œuvres de Theodore Roosevelt, XIV, 245, 246)

« S’il y a une question sur laquelle les philanthropes d’aujourd’hui, en particulier les plus émotifs, sont d’accord, c’est que toute loi restreignant l’immigration chinoise est un scandale ; pourtant il semble incroyable qu’un homme même d’intelligence modérée ne puisse pas voir qu’aucune calamité plus grande ne pourrait aujourd’hui arriver aux Etats-Unis que d’avoir le versant pacifique rempli d’une population mongole. » (Edition Commémorative des Œuvres de Theodore Roosevelt, VIII, 118)

Sur la guerre d’indépendance du Texas contre le Mexique, Theodore Roosevelt dit :

« Quels que puissent être les prétextes allégués pour la révolte, les véritables raisons devaient être trouvées dans la différence profondément marquée de race, et dans l’inadaptation absolue des Mexicains d’alors à se gouverner eux-mêmes, sans même parler de gouverner les autres. » (Edition Commémorative des Œuvres de Theodore Roosevelt, VIII, 131)

La vertu de Theodore Roosevelt d’avoir une forte conscience raciale était une chose qu’il partageait avec les pères fondateurs de l’Amérique à la fin du XVIIIe siècle. D’une certaine manière, il était une continuation de leur héritage. Il incarnait aussi certains de leurs défauts, comme la croyance naïve que le gouvernement représentatif, erronément nommé ‘démocratie’ par TR, pouvait guérir tous les maux et assurer d’une façon ou d’une autre la sagesse. Un autre défaut – un défaut fatal – possédé par Teddy Roosevelt comme par les fondateurs était la croyance idiote que les Juifs étaient essentiellement semblables aux Blancs européens et n’en différaient seulement ou principalement que par leur religion. En fait, Teddy Roosevelt se moqua un jour d’un prédicateur antijuif qui vint à New York quand TR y était commissaire de police. Alors comme aujourd’hui, les Juifs avaient hâte de faire taire le prédicateur et de fermer ses lieux de parole. Roosevelt refusa de le faire, mais il employa un groupe de policiers juifs pour protéger le clergyman.

Les neuf décennies entre l’époque de Theodore Roosevelt et la nôtre nous ont tous appris quelle complète folie c’était de regarder le Juif comme une simple variété étrange d’homme blanc, avec une religion particulière vaguement apparentée à la nôtre. La promotion ouverte et agressive par le Juif de tout ce qui détruit notre race, de l’immigration non-blanche au métissage et à l’homosexualité, nous a montré que la stratégie de survie juive consiste à détruire l’intégrité et la conscience raciales de leur peuple-hôte. Les Blancs doivent devenir racialement conscients, et les Blancs racialement conscients ne doivent jamais faire l’erreur d’accepter à nouveau les Juifs comme des Blancs.

Nous devons regagner un sens de la conscience raciale, qui est l’héritage de l’ancienne Amérique et des fondateurs, et nous devons l’améliorer avec les leçons que nous avons apprises durant le dernier siècle. Nous avons désespérément besoin de regagner ce sens de l’identité. Il ne doit pas être basé sur des croyances, qui peuvent changer en un instant ou en une décennie et qui permettent à un étranger de prétendre être l’un d’entre nous. Il ne doit pas être basé sur ce que nous croyons, aussi important que cela puisse être. Il doit être basé sur ce que nous sommes réellement. Alors seulement, ce que nous sommes – notre essence définissante et la source de tout ce que nous créons et aimons, et de tout ce que nos descendants créeront par amour du futur – survivra et accomplira sa destinée.

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