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Old November 13th, 2014 #5
alex revision
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Tabou, vol. 21, 2014




• Sur les chemins de la vérité : à la recherche de Warwick Hester (Klaus Schwensen). • Le sort final des déportés survivants (Thomas Kues). • Le broyeur d’os de Lemberg (K. Schwensen). • La meurtrière libération de Bergen-Belsen (Joseph Bellinger). • Pie XII et les Juifs : l’opération « Vicaire » (Paul Rassinier). • Les Juifs et les camps de concentration. Paul Rassinier répond à Jean-François Steiner. • La destinée impériale de l’Europe. Werner Best et la conception völkisch révolutionnaire (Pierre Krebs).



Elie Wiesel, un grand faux témoin





Warren B. Routledge


« Warren B. Routledge dénonce avec rigueur et précision les mensonges d’Élie Wiesel et prouve sans l’ombre d’un doute qu’en dépit de toutes les récompenses qui lui ont été attribuées et d’une énorme couverture médiatique ce personnage demeure (comme l’a dit un jour Noam Chomsky) un fieffé imposteur. Il est plutôt paradoxal de constater que son célèbre récit sur son incarcération à Auschwitz, s’il est aussi véridique que Wiesel en a fait le serment, vient confirmer les thèses de chercheurs révisionnistes (tels Robert Faurisson et Germar Rudolf) plutôt que celles du récit officiel de l’Holocauste que l’Amérique du Nord et l’Europe sont contraintes d’ingurgiter » (Daniel McGowan).

« Par exemple, vous avez le rabbin Kahane, cet extrémiste juif, qui est moins dangereux qu’un homme comme Elie Wiesel qui raconte n’importe quoi… Il suffit de lire certaine description de La Nuit pour savoir que certaines de ses descriptions ne sont pas exactes et qu’il finit par se transformer en marchand de Shoah… Eh bien lui aussi porte un tort, et un tort immense, à la vérité historique » (Pierre Vidal-Naquet).

576 p. Rupture de stock, disponible vers le 21 novembre



Les Pertes allemandes de l'après-guerre





Expulsion, travaux forcés, prisonniers de guerre, faim, camps de concentration de Staline en Allemagne


Heinz Nawratil


Essentiellement fondé sur des archives et documents officiels de la République fédérale d’Allemagne ainsi que sur de très nombreuses études internationales, ce livre démontre de manière irréfutable que les pertes allemandes de l’après-guerre, entre 1945 et 1948, voire au-delà, furent plus importantes que celles provoquées par le régime national-socialiste et par la guerre entre 1933 et 1945.

L’auteur insiste avec raison sur un facteur trop peu pris en compte par l’historiographie officielle : à cause de l’extension du théâtre de la Seconde Guerre mondiale, les hostilités cessèrent à des dates très différentes selon les endroits, avec des conséquences souvent tragiques pour les prisonniers de guerre allemands et pour les populations civiles allemandes expulsées ou déportées. De la France à la Yougoslavie – où les partisans communistes de Tito se livrèrent à d’innombrables actes de barbarie restés impunis –, de l’URSS aux États-Unis en passant par la Pologne et la Tchécoslovaquie, sans oublier l’Allemagne elle-même, l’auteur livre des informations et des statistiques accablantes pour les vainqueurs au sujet du sort qu’ils réservèrent aux vaincus. Pour autant, il ne prétend pas énoncer le dernier mot de ce pan d’histoire, mais seulement restituer avec probité l’état actuel des connaissances sur le sujet, faisant ainsi œuvre de salubrité publique.