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Old December 4th, 2012 #1
alex revision
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Exclamation Ils ont été tués par des Noirs et des Arabes

Ils ont été tués par des Noirs et des Arabes

Ils ont été tués
par des Noirs et des Arabes
2001-2011

Hervé RYSSEN
1er mai 2012

Les agressions commises par des immigrés du tiers-monde contre des Blancs sont innombrables. Chaque semaine, des milliers de Blancs sont agressés d’une manière ou d’une autre par des allogènes, et il serait fastidieux de citer tous les articles de presse à ce sujet. Nous n’avons donc retenu que les affaires les plus graves – les homicides involontaires, les meurtres (homicides volontaires), les assassinats (meurtres prémédités).

Les informations qui suivent sont tirées d’un chapitre de notre livre intitulé le Racisme antiblanc, paru en novembre 2011. Le livre présente en détails chacune de ces affaires, en insistant sur la personnalité du tueur, qui apparaît lors des procès en cours d’assises. On note alors quelques étranges similitudes dans les profils psychologiques de toutes ces “Chances pour la France”.

Le recensement ci-dessous n’est évidemment pas exhaustif, puisque toutes les affaires relevant des cours d’assises ne sont pas traitées dans les journaux. Mais nous avons déjà là un petit aperçu de cette merveilleuse société multiculturelle en gestation concoctée par les esprits cosmopolites.

Je dédie cette recension à deux personnes : en premier lieu, à Bertrand Delanoë, maire de Paris juif et homosexuel, qui met un point d’honneur, tous les premier mai, à aller déposer une gerbe de fleurs sur le pont du Carrousel, où, en 1995, un jeune Marocain nommé Brahim Bouarram avait été jeté à la Seine par des skinheads en marge du défilé du Front national.

Je dédie aussi cet article au militant de l’association “Égalité et Réconciliation” qui anime le blog “oligarchique*blogspot.com”, et qui nous insulte en raillant notre « rêve de France blanche ».

Voici donc tous les Brahim Bouarram européens, tués par des Noirs et des Arabes. Il n’y a ici ni égalité, ni réconciliation qui tiennent.

Hervé Ryssen



Juillet 2011, à Bar-sur Aube : Roger Correia, 57 ans, est mort, roué de coups, par trois Arabes qui passent en voiture devant chez lui. L’instruction est en cours.


Juin 2011, à Frouzins, près de Toulouse : Élodie Despons, 23 ans, est frappée étranglée par son amant, Tarik Barrahoui, qu’elle voulait quitter. Il lui tranchera ensuite les poignets pour tenter de maquiller son crime.


Mai 2011, à Bollène, dans le Vaucluse : Thierry Simon, 39 ans, a eu le malheur de sortir de sa voiture pour répondre à des insultes. Il est mort sous les coups que lui ont portés trois Chances pour la France (CPF) : Kader Chadli, 24 ans, Selim Benkhedidja, 23 ans, et Mohamed Amallou, 19 ans, tous trois déjà mis en cause pour de multiples cambriolages.


Avril 2011, à Champagne-sur-Seine, en Seine-et-Marne : Maurice Tomasoni, 66 ans, est tabassé et torturé par Habib, qui lui assène de nombreux coups de couteau au thorax. Une large entaille au nez et à une oreille ont défiguré le retraité français. La victime a eu également les joues transpercées et la peau entre les doigts d’une main découpée.


Avril 2011, à Mulhouse : Jean Meyer, un contrôleur aérien de 35 ans, est tué d’une dizaine de coups de couteau, dont trois mortels, puisqu’il a eu les deux poumons perforés et la carotide ouverte. Le meurtrier se nomme Karim Ouali.


Février 2011, à Toulouse : Jérémy Roze, 27 ans, est agressé par deux CPF alors qu’il rentre chez lui, vers trois heures du matin. Le jeune homme a succombé à un coup de couteau porté au thorax.


Février 2011, à Lyon : Christofer, 27 ans, est tué d’un coup de couteau, dans le métro, par Karim Bounab, un toxicomane.


Février 2011, à Nanterre : Christian, 17 ans et son beau-père, Michel, sont agressés à leur domicile et tués à coups de couteau par Abdoulaye D. Le procès n’a pas encore eu lieu.


Janvier 2011, à Monéteau, dans l’Yonne : Angélique Grossier, 28 ans, est tuée à coups de couteau par son ami Mohamed Es Salmy, qui ne pouvait supporter la séparation.


Janvier 2011, à Montpellier : un étudiant en histoire de 24 ans, descendu sur le parking après y avoir repéré un homme en train de voler dans des voitures, est tué de onze coups de couteau. L’agresseur s’est réfugié en Algérie, qui n’extrade pas ses nationaux. Affaire en cours.


Août 2010, à Gap : René Gumiel, qui s’était plaint du bruit, est poignardé de plusieurs coups de couteau, en pleine nuit, par sa voisine nommée Priscillia Moufouma, une Africaine de 27 ans.


Août 2010, à Versailles : Olivier Bossuat, un militaire de 51 ans, est poignardé à mort par “Christian M.”, un jeune Africain sans domicile de 21 ans.


Avril 2010, à Narbonne : Guy Trilles, un paisible retraité de 67ans, est roué de coups par des CPF alors qu’il promène son chien. Il décède quelques jours plus tard à l’hôpital, d’un arrêt cardiaque.


Février 2010, à Saint-Brieuc : Carlos de Araujo, un père de famille portugais qui a refusé une cigarette à “Karim”, 22 ans, reçoit un coup de couteau et décède quelques minutes plus tard.


Janvier 2010, Pont-Sainte-Maxence, dans le sud de l’Oise : les corps de Jacques et Thérèse Prévost, un couple de retraités âgés de 76 ans, sont retrouvés dans leur pavillon, gisant dans une mare de sang. Jacques a été frappé de 27 coups de couteau ; Thérèse a été frappée à soixante reprises. Le meurtrier est un métis déséquilibré nommé Halan Florisse, « un mec sympa ».


Décembre 2009, à Bordeaux : Nadya, une prostituée bulgare, est retrouvée au petit matin gisant dans un recoin d’un parking du quartier de la gare Saint-Jean. Son crâne a été fracassé par une grosse pierre. Le coupable est un Angolais de 22 ans.


Novembre 2009, à Pau : Jonathan Laurent, 25 ans, est tué de trois coups de couteau par Fatih Acar, 31 ans.


Juillet 2009, à Colomiers, près de Toulouse : Pascal Orvain, 50 ans, originaire de Normandie, est tué de six coups de couteau par des cambrioleurs. Le meurtrier est un métis nommé Jérémy Bagassien, originaire de Seine-Saint-Denis.


Juillet 2009, à Vénissieux : Yves Lerebourg, 32 ans, est tué d’une trentaine de coups de couteau.


Juin 2009, à Antigone, près de Montpellier : Hamid El-Fenniri, qui roule à plus de 100 à l’heure en pleine ville, percute un scooter et ne s’arrête pas. Un jeune Français y laisse la vie. « Je sortais de prison depuis deux mois… Je ne voulais pas “re-rentrer” en prison et ma voiture n’était pas assurée, c’est pour ça que j’ai échappé à la justice. »


Juin 2009, à Montataire, dans l’Oise : Laetitia, 24 ans, est tuée de deux coups de couteau par son compagnon, El Miloud Latrach, avec qui elle se disputait.


Mai 2009, à Annezin, dans le Nord : Johnny Salmont est tué d’un coup de couteau par un inconnu.


Avril 2009, à Douchy-les-Mines, dans le Nord : un couple de jeune Français, Xavier Dubray, 24 ans, et Audrey Verpoorte, 18 ans, qui étaient venus rendre visite à leur famille, sont abattus par un voisin nommé Ahmed Assous, qui ne voulait pas qu’on se gare devant chez lui.


Février 2009, à Dammarie-les-Lys, un petit coin bien pourri de Seine-et-Marne : Mohamed Jelassi, 37 ans, frappe et étrangle sa compagne Priscilla, 23 ans, qui voulait le quitter, et tue leurs deux fillettes. « C’est vrai, reconnut le Maghrébin, j’ai tué ma femme et j’ai tué mes enfants parce que je ne voulais pas qu’ils soient élevés par la belle-famille à la française. » « Priscilla, c’était ma petite princesse », déclara-t-il finalement. Mais avec l’accent, c’est encore mieux.


Janvier 2009, à Cergy-Saint-Christophe, dans le Val-d’Oise : Caroline F., 50 ans, succombe aux 25 coups de couteau que lui a portés son compagnon Rashid M., un Pakistanais. « Je ne comprends pas ce qui s’est passé. »


Janvier 2009, à Mérignac : Jean-Claude Eymery, un peintre en bâtiment de 56 ans, est tué par un jeune Angolais de 21 ans nommé Adilson Manuel, qu’il avait pris sous son aile, comme apprenti.


Décembre 2008, à Chelles, en Seine-et-Marne : Mickaël Isker, 22 ans, est tué de deux balles dans la tête par un dealer nommé Ibrahim, 25 ans.


Décembre 2008, à Marseille : Cécilia, une métisse de 21 ans, est violée et soûlée à mort par quatre “Chances” : Mounir Tinouiline, Fahem Djermoune, Emmanuel Denis et Anis Nafti.


Septembre 2008, à Toulouse : Frédéric Daigneau, qui roule en moto, est frappé de deux coups de couteau par deux individus en scooter, toujours en fuite. Il décèdera neuf jours plus tard.


Août 2008, à Maisons-Alfort, dans le Val-de-Marne : Marine Truden, une étudiante de 22ans, est poignardée et égorgée dans son appartement par son copain Kamel Mouzaoui, qui n’accepte pas la rupture. 22 coups de couteau.


Juin 2008, à Lyon : Les policiers découvrent le corps démembré d’une femme dans un appartement. Le tronc est dans la baignoire, les bras et les jambes sont dans le réfrigérateur. La tête de Martine Bord, 55 ans, est dans le couloir, dans un sac plastique. L’assassin est un Marocain de 40 ans nommé Halim Larbès.


Mai 2008, à Arras : Maxime Bouvet est tué d’un coup de couteau à l’abdomen par Soufyane Mammou.


Mai 2008, à Chambéry : Jonathan Vioud, un jeune charpentier de 22 ans, est tué dans une bagarre à la sortie d’une discothèque. Un certain Cem Ceylak est entendu pour s’expliquer sur des pressions sur le principal témoin.


Avril 2008, à Saint-Denis : Pascal Ceccaldi, 87 ans, est mort, projeté à terre par Mamadou Camara et Cédric Mayamona, 22 et 24 ans.


Mars 2008, à Conques : Antony Bustos, 23 ans, est tué d’un coup de carabine par Ali Bellabiod pour une histoire de cannabis. Son corps est brûlé dans un fossé.


Février 2008, à Toulouse : Sylvie Garrigues, 32 ans, est violemment percutée par un véhicule, alors qu’elle marche normalement sur le trottoir. Le conducteur est un Maghrébin au chômage de 24 ans, nommé Hadj Saïdi, qui s’est révélé positif aux stupéfiants.


Janvier 2008, à Pamiers, près de Toulouse : Julien Fernandez, le fils du gérant d’une discothèque, qui transporte la recette de la nuit, est tué d’une quarantaine de coups de couteau par Mekki Boughouas.


Janvier 2008, à Vitry, dans le Val-de-Marne : Jean-Pierre Sauvonnet, 48 ans, est tué de onze coups de couteau par un Maghrébin fortement alcoolisé nommé Hassan el-Aouni.


Novembre 2007, dans le RER D, en direction de Creil : Anne-Lorraine Schmitt, une jeune Française de 23 ans, est tuée de 34 coups de couteau, dont 16 dans la poitrine, par un Turc nommé Thierry Devé-Oglou.


Septembre 2007, à Annemasse, en Savoie : Freddy Liot, un jeune Normand de 25 ans, est tué chez lui à coups de marteau par Kamel Benderradji, un de ses collègues de travail.


Août 2007, à Beauvais : Gérard Varlet, 56 ans, un sans-abri, divorcé et père de trois enfants, est mort brûlé vif, aspergé d’essence par Riade Djedai.


Août 2007, à Stuttgart, en Allemagne : Yvan Schneider, un Alsacien de 19 ans, est frappé à coups de pied et de batte de base-ball. Son corps a ensuite été découpé en quatorze morceaux. Puis, ses bras, ses jambes et sa tête sont coulés dans du ciment et jetés dans la rivière Neckar. Le torse est abandonné dans une forêt. Deniz Eroglu, un Turc, âgé de 18 ans, avait agi par jalousie.


Août 2007, à Saint-Ouen, dans le 93 : le corps de Jeanne Rolland, 96 ans, est découvert lardés de 62 coups de couteau. « Elle a probablement été torturée avant d’être tuée ». Le meurtre était crapuleux, commis pour de l’argent et quelques bijoux. Le meurtrier se nomme Aziz Fathi.


Juillet 2007, à Lecci-de-Porto-Vecchio, en Corse : Yohan Kriegel, 29 ans, l’épicier du village, est tué par Mohamed Douzi, qui lui tire une balle de 7.65 en pleine poitrine.


Juillet 2007, à Rombas, en Moselle : un hôtelier de 71 ans, Vincenzo Serravalle, meurt poignardé par Yousif Boussak.


Juin 2007, à Marcoussis, dans l’Essonne : Bernard Olmedo, un conducteur de rame de métro âgé de 45 ans, est tué à coups de couteau par Ali Ben Omrane, qui découpe le corps et le brûle dans son jardin.


Juin 2007, à Berrwiller, à côté de Colmar : pendant la fête de village, un homme fonce dans la foule au volant de son véhicule, arrive à 50-60 km/h, tue Benoît Prost, 22 ans, et blesse quinze autres personnes. Abdelkader Gridda, saoul et drogué au cannabis, était furieux d’avoir été expulsé de la fête à plusieurs reprises. Rien de raciste là-dedans, selon les médiats cosmopolites.


Mai 2007, à Montreuil, en Seine-Saint-Denis : Marc Simoes, artisan menuisier, est tué de deux coups de couteau par son employé algérien, Rachid Amrouch.


Avril 2007, dans la région de Saintes, en Charente-Maritime : le corps de Jennifer Charron, une jolie serveuse de 21 ans, est retrouvé dans les bois, partiellement calciné. Ses mains étaient attachées dans le dos. Son ex-petit ami se nomme Abdelaziz Seridi.


Avril 2007, à Toulouse : Mélanie Rodrigue, 26 ans, est tuée de 51 coups de couteau par son compagnon, Mehdi Fekir, qui ne supportait pas la rupture.


Avril 2007, à Saint-Herblain, près de Nantes : le corps de Sophie Gravaud, une jeune vendeuse de 23 ans, est retrouvé sur le bord d’une route. Le meurtrier violeur se nomme Ramiz Iseni.


Février 2007, à Salses, près de Perpignan : Fabien Formiès, 19 ans, a la gorge tranchée sur la place du village par un jeune de 17 ans, qui sera jugé à huis clos, et dont les journaux n’ont jamais divulgué le nom.


Janvier 2007 à Verneuil-en-Halatte, dans l’Oise : Marcel et Colette Flinoy, 77 ans et 74 ans, propriétaires d’une Audi V6 toute neuve, sont assaillis à leur domicile par trois CPF (Harouna Sarr, 25 ans, Amadou Sow, 24 ans, et Ercan Uyanic, 28 ans). Colette Flinoy est morte, écrasée par la voiture.


Janvier 2007, à Dammarie-les-Lys, en Seine-et-Marne : dans une boîte de nuit, Anthony est tué à coups de pieds par Mustapha.


Janvier 2007, à Condé-Sainte-Libiaire, en Seine-et-Marne : Albert Kohn Bisseck, un Camerounais de 43 ans, tue à coups de marteau Alain Savouret, 60 ans, son ex-beau-père.


Janvier 2007, dans l’Oise : Mireille Calais, 65 ans, est tuée à coups de marteau sur le crâne par son compagnon nommé Naushad Maqbool, 59 ans.


Décembre 2006, à Toulouse : Laurent Francazal, 34 ans, employé municipal est retrouvé égorgé dans son appartement du centre-ville. Le meurtrier se nomme Hakim Edir, 21 ans.


Novembre 2006, à Paris : Julien Quemener, un jeune supporteur du PSG de 25 ans, est tué d’une balle en plein cœur par un policier martiniquais nommé Antoine Granomort. En mars 2010, un autre supporteur du PSG, Yann Lorence, 37 ans, avait été tué. Habitué du kop Boulogne, “Nou*nours”, qui n’était pas une brute, était lynché par les racailles de la tribune Auteuil, devant le Parc des Princes.


Septembre 2006, en Seine Saint-Denis : Muriel Gosse est tué d’une balle dans la tête, au volant de sa voiture, par son ex-compagnon, Djamal Boukhetala, 38 ans, qui ne supportait pas la rupture.


Août 2006, à Montpellier : le corps de Guy Labarrière, 47 ans, est retrouvé à son domicile, lardé d’une centaine de coups de couteau, pratiquement décapité. Cinq ans plus tard, au mois de mai 2011, Hasan D., 32 ans, était arrêté à Anvers, en Belgique, où il avait pris la fuite.


Juin 2006, en Dordogne : un tronc humain lardé d’une trentaine de coups de couteau est retrouvé dans l’estuaire de la Gironde. Il s’agit de Raoul Jean, le cantonnier de Minzac, avec qui Aziz Hamri avait effectué plusieurs voyages au Maroc.


Mai 2006, à Saint-Quentin-en-Yvelines : Katja Slokan, une étudiante slovène de 25 ans, est poignardée à seize reprises par son ex-petit ami, Majid al Majid, qui ne supportait pas la rupture.


Mai 2006, à Rupt-sur-Moselle : une vieille dame âgée de 82 ans, est tuée à son domicile par Mohamed Khoubza, 27 ans. Le Maghrébin l’avait bâillonnée, dénudée et l’avait attachée sur son lit. Il avait alors fouillé la maison, à la recherche d’argent. L’autopsie, toutefois, conclut que Mohamed Khoubza avait « étranglé manuellement » la mamie.


Avril 2006, à Torcy, en Seine-et-Marne : Benjamin Pirottin, 18 ans, est tué d’un coup de couteau dans le dos dans la salle des fêtes, assaillie par des CPF. Le coupable se nomme Nouha Bathily.


Février 2006, dans les Yvelines : Hubert Garcia-Bardidia, un buraliste de 30 ans installé à Magny-les-Hameaux, est retrouvé en forêt, attaché à un arbre et égorgé. Le coupable est un Marocain nommé Saïd Msyehi.


Janvier 2006, au Mans : Élisabeth Debeury, 31ans, est tuée chez elle, frappée à neuf reprises avec un couteau à viande. Djamel Haddou ne supportait pas la rupture.


Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois, deux adolescents africains mouraient électrocutés dans un transformateur EDF en fuyant un contrôle de police. Ce fait divers mit le feu aux poudres, et bientôt, toutes les racailles afro-maghrébines des banlieues françaises pillèrent les magasins, brûlèrent les voitures, les entrepôts et les bâtiments publics, sous les yeux d’une police impuissante. Pendant trois semaines, les images de ce soulèvement généralisé firent le tour du monde. Le premier jour de ces événements, Jean-Claude Irvoas, qui prenait des photos de lampadaires à Épinay-sur-Seine (en Seine-Saint-Denis) pour un catalogue de mobilier urbain, fut pris à partie par quatre individus qui craignaient d’avoir été pris en photo. Ce Français de 56 ans fut battu à mort sous les yeux de sa femme et de sa fille de 17 ans, qui l’attendaient dans sa voiture. Il s’agissait de Icheme Brighet, un Algérien ; Sébastien Béliny, qui était originaire des Antilles ; Samba Diallo, un Sénégalais, et Benoît Kusonika, un métis de père congolais, qui fut aussi le seul à reconnaître les faits, s’accusant d’un coup de poing violent.


Ce 5 novembre 2005, les émeutes dans les banlieues duraient depuis huit jours. Le soir, Jean-Jacques Le Chenadec descendit en bas de chez lui, boulevard Maxime-Gorki, à Stains (93), pour éteindre un feu de conteneur à poubelles allumé par un petit groupe de jeunes immigrés. Resté dehors pour discuter avec son voisin Jean-Pierre Moreau, le sexagénaire reçut plusieurs coups de poing, dont l’un, assez violent, qui provoqua sa chute. Sa tête heurta le bitume. Plongé dans le coma, Jean-Jacques Le Chenadec décéda deux jours plus tard sans reprendre connaissance. Le meurtrier se nommait Salaheddine Alloul.


Septembre 2005, à l’intérieur de la prison de Liancourt, dans l’Oise : dans la cellule C005, Kamal Bentayebi, 21 ans, tabasse à mort son codétenu, Thomas Duval.


Juin 2005, à Montrouge (92) : un vieux Français de 83 ans, Marc, est tué chez lui par deux ressor*tissants kazakhs.


Juin 2005, à Champigny, dans le Val-de-Marne : le corps de Mélodie Chouquet, une étudiante de 20 ans, est découvert sur les bords de la Marne. Le meurtrier est un fumeur de joint nommé MangeshRaggoo, originaire de l’île Maurice, et qui ne supportait pas la rupture.


Mai 2005, à Paris : David Almeida est tué d’un coup de couteau sur le trottoir de la rue Chaptal, sous les fenêtres de l’immeuble où sa mère est la gardienne. Les meurtriers se nomment Ouahid Ben Salah, 22 ans, et Anouar Boukria, 25 ans, déjà condamnés à plusieurs reprises pour vol avec violence.


Avril 2005, à Marines, dans le Val-d’Oise : un Français de 22 ans, Benjamin Combelles, est tué avec un couteau de chasse. Son meurtrier est un Africain de 24 ans nommé Steve Diome, venant de la cité de Cormeilles-en-Vexin.


Avril 2005, à Évry : Éric Wesse, 27 ans, est aspergé d’essence et brûlé vif par Jean Tukumbane.


Janvier 2005, à Mareuil-lès-Meaux en Seine-et-Marne : Driss Sajdi assassine et découpe en morceaux Maryse Louvet, 51 ans, la mère de sa compagne.


Janvier 2005, dans le train Pontoise-Paris-Saint-Lazare : Jean-Marie, un SDF de 51 ans, est tabassé à mort par un CPF de 20 ans nommé Saïd.


Décembre 2004, à Aubignan, dans le Vaucluse : René Girard, 80 ans, qui dort paisiblement, est réveillé par du bruit. Il est tué par Mohamed El Aissoui, 22 ans, et Sofiane Saïdi, 18 ans.


Octobre 2004, dans le Gard : David Estournel, originaire d’Avignon, est tué de 56 coups de couteau par Djelloul Maroc.


Septembre 2004 à Montereau, en Seine-et-Marne : Virginie, 32 ans, tombe du quatrième étage de son immeuble. Elle a été poussée par son compagnon, Abdelkrim, 45 ans, qui était fortement alcoolisé.


Mai 2004, à Saint-Cloud : Patrick Barbosa, 24 ans, est tabassé à mort par son dealer de cannabis, un Algérien de 21 ans nommé Gaya Messad.


Mai 2004, à Évry : Lors d’un violent contentieux opposant Mahfoued Boujardine et Abdelmoumen au sujet d’un scooter volé, Laura, une passante, est atteinte d’une balle perdue. En février 2006, le Maghrébin est condamné à seulement cinq ans de prison dont deux avec sursis. (La lecture du livre sur le Racisme antiblanc est assez éclairante sur la légèreté des peines infligées).


Avril 2004, à Saint-Étienne : un supporteur de football, Olivier Baraldini, âgé de 20 ans, est abattu d’une balle de fusil dans la tête par Karim Aouragh.


Avril 2004, à Savigny-le-Temple, en Seine-et-Marne : Patrice Cambron, 38 ans et père de deux enfants, qui constate le vol de deux vélos dans son garage et qui tente de les récupérer, est tabassé à mort par des CPF : « traumatisme cérébral crânien avec fracture temporale gauche ». Le procès eut lieu à huis clos, étant donné que les coupables étaient mineurs.


Avril 2004, à Pontoise : Martine, 42 ans, est tué par son compagnon Samir M., avec un couteau à steak. Elles est poignardée au cou, à la poitrine et au sternum.


Avril 2004, à Sartrouville : Nadine Cuissard, 41 ans, est tuée par l’ami d’une de ses copines, AbdelkrimBachiri, 46 ans. « Le lendemain, j’ai mis le corps de Nadine dans le coffre de sa voiture avant d’aller le brûler en forêt de Saint-Germain-en-Laye. » C’est là qu’il fut retrouvé et identifié deux mois plus tard.


Mars 2004 à Versailles : Dominique Rissel, un gérant de supérette, est abattu en pleine rue par Éric Youssef et ses complices : Younès Outsellamt et Amine Benaaza.


Mars 2004, au Teil, dans l’Ardèche : Cédric Juge, 15 ans, est tué de 14 coups de couteau par “Christophe et Jean” (ce sont des “noms d’emprunt”, souligne le journaliste). Appelons-les plutôt Kamel et Jamal. Comme ils sont mineurs, le procès a eu lieu à huis clos et leurs patronymes n’ont pas été dévoilés.


Janvier 2004, à Aubervilliers : Maria de Jesus Lopes une septuagénaire, est retrouvée morte dans son appartement. Elle a été tuée par Mounir Aït-Menguellet, 32 ans, qu’elle aimait beaucoup.


Novembre 2003, à Lorient : le corps de Lydie Lefèvre est découvert dans un parc, enroulé dans une couverture. Le meurtrier est son voisin, Ali Oulahcene, 68 ans, qui avait déjà été condamné par deux fois par les assises des Pyrénées-Orientales. D’abord pour viol, en 1974, puis pour meurtre, en 1982.


Mai 2003, à Champs-sur-Marne : Jérémy Fornarelli, 22 ans, est abattu d’une balle dans le cœur par Abdelkrim Ziani, 20 ans, pour une histoire de stupéfiants.


Avril 2003, à Stains, en Seine-Saint-Denis : Anne Jugon, une octogénaire de 83 ans est étranglée dans son appartement par Hamid Hadjar, un toxicomane, spécialiste des agressions violentes.


24 décembre 2002, à Asnières-sur-Seine : Pascale Rolet, une infirmière de 37 ans, est aspergée d’essence et enflammée dans le hall de son immeuble par un déséquilibré maghrébin de 39 ans nommé Samir Zaoui, qui fêtait Noël à sa manière. Rien dans les journaux, ou presque, pour ne pas troubler “l’égalité et la réconciliation”.


Octobre 2002, à Valenciennes : Sophie Berkmans, une rhumatologue de 41 ans, est découverte morte dans son cabinet. Sa gorge est tranchée de part en part, son visage tuméfié et sa jupe relevée. Il fallut attendre cinq ans, soit novembre 2007, pour mettre enfin la main sur l’assassin : Mohamed Medjahed. Cette “chance pour la France” avait déjà été condamnée en 1981 par la cour d’assises du Nord à huit années de réclusion pour agression sexuelle et tentative de meurtre sur une jeune femme.


Octobre 2002, à Valenciennes : deux semaines après le meurtre de Sophie Berkmans, Marianne Listoir, une étudiante arrageoise de 18 ans, est découverte morte dans un fossé, au bord de l’autoroute. Le meurtrier est un (Franco)-Algérien de 28 ans, nommé Tahar Bourahla.


Juin 2002, à Beauvais : Jacquy Haddouche se rend coupable du meurtre de Léo Capon, 73 ans, qui a été égorgée à son domicile. En juillet 2002, Haddouche avait déjà tué Sylvain Rome, à Saint-Étienne. En 1992, cette Chance pour la France avait aussi tué Gilles Canette, un professeur de français de Beauvais. Son parcours est ici très abrégé ! (Cf. Le Racisme antiblanc, Hervé Ryssen).


Mai 2002, à Vitry-sur-Seine : huit personnes sont fauchées à un abribus par un chauffard. Une mère de famille et ses deux fillettes sont tuées sur le coup. Le conducteur de 26 ans s’appelle SamirCheney. Les deux passagers, Rhadil Azzedine et Benyounes Zaouch, âgés de 25 et de 26 ans, ont alors courageusement pris la fuite à pied avec le conducteur, sans porter assistance aux victimes, dont deux enfants, coincés sous le véhicule.


Octobre 2001, à Lyon : Yvette Bouillet, une retraitée de 76 ans, est trouvée morte chez elle, dans une mare de sang. « En trente ans de carrière, j’ai rarement vu une telle violence », affirma le professeur Malicier, directeur de l’institut médico-légal de Lyon. Un grand nombre de fractures faciales avaient entraîné une hémorragie mortelle, précédée d’une agonie de plusieurs minutes. Le coupable se nomme Rachid Zenasni, dont il faut connaître tous les exploits.


Août 2001, à Cergy-Pontoise : Habib Mezaoui, un employé de banque licencié, se venge de son patron. Il prend en otage une dizaine de clients ainsi que les employés de l’agence. Le directeur Patrick Prieur, 49 ans, est abattu de cinq balles dans la tête, et son adjoint, Gilles Dessertenne, 45 ans, est tué tout de suite après.



Voici donc tous les meurtres commis en dix ans par des Noirs et des Arabes sur le sol français (été 2001- été 2011). Notre livre sur le Racisme antiblanc (paru en novembre 2011) remonte encore dans le temps, et la liste des cadavres s’allonge considérablement.

Soulignons que nous n’avons pas cité ici les affaires de viols, les viols “avec tortures et actes de barbarie”, et autres agressions ultraviolentes. Nous n’avons pas non plus évoqué la vingtaine d’affaires d’autodéfense – beaucoup plus réjouissantes – que nous avons répertoriées à la fin de notre livre, et dans lesquelles la victime française tue l’agresseur arabe.
Voilà. Tout cela pour dire à Bertrand Delanoë qu’il peut aller se faire foutre, lui et son Brahim Bouarram adoré.

Le 1er mai 2011, avec ses “mignons” de la mairie de Paris, il avait encore déposé une gerbe de fleurs devant la plaque commémorative en mémoire de Brahim Bouaram, en déclarant, devant les caméras :
« Quand on s’en prend à un jeune homme parce qu’il est arabe, qu’on le jette à la Seine et qu’il en meurt, ça veut dire qu’on tue quelque chose aussi, de la grandeur de la beauté de la France ». Il fallait, expliqua Bertrand Delanoë, « maintenir les barrières contre l’infâme ».

Mais l’infâme, c’est lui, Bertrand Delanoë, et ses semblables, qui ignorent délibérément toutes les victimes blanches, infiniment plus nombreuses, rackettées, violées, tuées, assassinées par tous les petits Brahim Bouarram qui courent partout sur le territoire.


Hervé RYSSEN, 1er mai 2012


Version pdf imprimable, pour les boîtes aux lettres de vos voisins :

http://www.mediafire.com/view/?u75voi1c3il7uy4

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Old August 11th, 2013 #2
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Marseille : le meurtier présumé a été arrêté



Jérémie, victime d'une agression vendredi soir dans le centre de la ville, a succombé à ses blessures.

Jérémie L., né à Épinal en décembre 1991, était, contrairement à ce qui a été annoncé, cuisinier à Monaco. Arrivé à Marseille de Nice vendredi en fin d'après-midi, il allait accueillir une amie à la gare quand son chemin a croisé celui de son agresseur, qui l'a égorgé et lui a probablement dérobé son portable.

Dimanche matin, le procureur-adjoint de la République de Marseille, Jean-Jacques Fagni, a indiqué que Jérémie a été déclaré mort après l'observation que son «cerveau ne fonctionnait plus».

Le suspect dans cette affaire a été appréhendé grâce aux images des caméras de vidéosurveillance. Il s'agit d'un SDF bien connu du quartier, né en 1972 et originaire de la Drôme. Selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP, l'homme «ne semble pas avoir pris conscience de ses actes».

Ali A. a été plusieurs fois condamné à de petites peines pour divers délits de petite envergure (vols, stupéfiants, rébellion…). Sa dernière condamnation remonte à 2003: 6 mois de prison avec sursis-mise à l'épreuve. Il semble dans un état de délire complet, qui a justifié son hospitalisation immédiate. Une perquisition est en cours dans le foyer qu'il occupait. Ses vêtements n'étaient apparemment pas souillés de sang.

Le portable de Jérémie n'a pas été découvert sur le suspect: l'appareil aurait même, selon nos informations, émis quelques minutes après le crime dans les quartiers nord de Marseille - où le suspect ne se trouvait pas. Mais il a pu être abandonné sur place ou jeté rapidement, étant ainsi récupéré par une tierce personne.

Manuel Valls a affirmé dimanche midi par communiqué que le SDF arrêté était considéré comme le meurtrier présumé de Jérémie. «Il fera l'objet de soins psychiatriques sans consentement», a-t-il assuré.

À 18h00 dimanche, un rassemblement silencieux devant le snack Le Français, où a été retrouvé Jérémie baignant dans son sang, est prévu, a annoncé sur Twitter le député-maire du secteur, Patrick Mennucci.


http://www.lefigaro.fr/actualite-fra...interpelle.php
 
Old September 26th, 2013 #3
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L’avocate générale de la cour d’assises du Val-d’Oise a requis, ce mercredi après-midi, 25 ans de réclusion criminelle assortie d’une peine de sûreté des deux tiers, à l’encontre de Farid Chebli. Cet homme de 35 ans est accusé d’avoir battu à mort et violé Denise Delaunay, une vieille dame de 87 ans, le 19 décembre 2010 dans son pavillon de Saint-Leu-la-Forêt. Un crime qui avait plongé toute une ville sous le choc.

L’avocate générale a également réclamé une peine complémentaire d’interdiction définitive du territoire français pour Farid Chebli qui est de nationalité algérienne.

Le verdict est attendu dans la soirée. L.A.

Saint-Leu-la-Forêt : 25 ans requis à l?encontre du tortionnaire de Denise Delaunay - 11/09/2013 - leParisien.fr
 
Old September 26th, 2013 #4
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Mort de Fiona : le beau-père passe lui aussi aux aveux


Après les aveux de la mère de Fiona mercredi soir aux policiers à Perpignan, le beau-père de l'enfant a avoué les faits à son tour ce jeudi matin.

Hier soir, une source proche de l'enquête confiait que Fiona serait morte sous les coups reçus au cours d'une soirée bien arrosée à laquelle ont participé les cinq personnes gardées à vue dans cette affaire. Cette soirée a eu lieu la veille ou l'avant-veille de sa disparition supposée, le 12 mai, toujours selon cette source.

Berkane Maklouf, conduit dans la nuit à Clermont-Ferrand, a expliqué aux enquêteurs que la fillette, prise de vomissements, serait morte étouffée.

Cécile Bourgeon, qui assurait jusqu'alors que sa fille avait disparu dans un parc alors qu'elle sommeillait, avait, de son côté, expliqué aux enquêteurs que la fillette avait été enterrée près de Clermont-Ferrand. Des aveux rapportés à la presse par l'avocat de la jeune femme, Me Gilles-Jean Portejoie devant les locaux de la police judiciaire à Perpignan, hier en soirée.

Me Portejoie avait alors refusé de préciser, malgré les questions pressantes des journalistes, si elle avait désigné son compagnon Berkane Maklouf, comme le meurtrier. Fiona "est morte accidentellement à la suite de coups qu'elle n'a pas portés personnellement bien évidemment", s'était borné à dire l'avocat. La fillette "a été enterrée dans la région de Clermont-Ferrand", avait-t-il ajouté. Il n'avait pas précisé le lieu où la petite fille de 5 ans aurait été enterrée.

Le beau-père écroué?

Un homme menotté correspondant au descriptif connu du beau-père de Fiona, la fillette disparue à Clermont-Ferrand, avait quitté mercredi en fin d'après-midi les locaux de la police judiciaire de Perpignan à bord d'une voiture de police, a constaté un journaliste de l'AFP.

Cet homme émacié, encadré de plusieurs policiers, a brandi ses menottes en direction des journalistes comme pour les prendre à témoins, avant que la voiture immatriculée dans le Puy-de-Dôme ne s'éloigne.

On ignore la destination prise par le véhicule. Mais si Berkane Maklouf, le beau-père de Fiona, devait être mis en cause et présenté au juge d'instruction, son transfèrement vers le Puy-de-Dôme et Clermont-Ferrand, d'où est dirigée l'enquête, est l'hypothèse la plus probable.

Berkane Maklouf a été interpellé avec sa compagne Cécile Bourgeon, la mère de Fiona, mardi soir à Perpignan, où le couple s'était installé auprès de la famille de Cécile. Ils ont été placés en garde à vue, ainsi que trois autres personnes également interpellées par les enquêteurs.

http://www.lindependant.fr/2013/09/2...an,1793247.php

 
Old September 26th, 2013 #5
Frankie
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C'est une terrible affaire quand on est plus sauf et être capable de voire comment et pourquoit c'est animales son toujour capable de nous trancher la gorge sans auq'un regard pour l'humaniter.Pardonner moi,car mon francais ecrit n'est pas exactement tres Bon.Merci pour votre aide car il a bien du mondre qui doubte toujour ou il pense que c'est affaires son exagerrer. C'est l'es prochaine victimes de leurs ignorance.
 
Old October 31st, 2013 #6
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Françoise Combier, 44 ans, femme d’un conseiller municipal Front National de Nîmes est violée puis assassinée le 31 octobre 1989 en Avignon, vers 20h15, par un immigré en situation irrégulière.

Cet individu, Mohammed Mettellaoui est un tueur et violeur en série.

Il a également violé une jeune fille de 20 ans et agressé deux femmes.

Le 11 novembre, une immense manifestation d’indignation, organisée par le Front National, s’en suivit, réunissant plus de quinze mille personnes. Jean-Marie Le Pen y prit la parole, prononçant un discours historique.

Vidéo ina.

L’avocat de Mohammed Mettellaoui se nomme Gilbert Collard. Il demandera la clémence du jury car il a tué la femme d’un élu FN : «un verdict qui ne soit pas une déferlante de sévérité, mais un instant de justice de France qui n’en fait pas trop, pour un homme qui est le symbole de l’immigration qui fait peur».

II sera condamné à 20 ans de prison.
 
Old September 22nd, 2017 #7
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Hérault : son visage écrasé et sa mère morte pour 780 €

Un trio est jugé à Montpellier depuis ce mardi 19 septembre pour une attaque crapuleuse à domicile qui a dégénéré en mars 2014, à Saint-Just. Un cambriolage qui a mal tourné et eu de terribles conséquences.

La photo, terrifiante, un gros plan sur son visage défiguré, où l'on voit la trace de la basket incrustée sur la joue et le front, est projetée, mardi, devant la cour d'assises de l'Hérault. Josette, 72 ans, ne peut retenir ses larmes. Dans son malheur, elle a échappé au pire. Mais pas sa mère Odile, 90 ans, décédée après cette attaque à domicile et crapuleuse, qui a dégénéré, le 27 mars à Saint-Just, près de Lunel.

“Je leur avais dit qu'elle était cardiaque, qu'elle était fragile... C'est pas possible de voir sa fille en sang et des hommes cagoulés, personne ne le supporterait”, lance la victime, en sanglots. Elle poursuit alors son récit gorgé d'émotion et d'effroi, glaçant la cour, jusqu'au box où deux des trois accusés, Mourad Chaloukh, 33 ans, et Hedi Bennamar, 25 ans, contestent toute implication. “Ce matin-là, j'entends des pas, je me retourne, je vois un homme cagoulé et un deuxième, plus petit, qui se précipitent, m'attrapent et je me suis retrouvée face contre terre, projetée au sol”, se remémore-t-elle.

Elle a en fait pris une décharge électrique de Taser de Bennamar, si l'on en croit les dires de Radouane Quabbari, 28 ans, le troisième homme, le seul à reconnaître sa participation et à charger ses comparses. “Le coup était prévu la veille mais Bennamar ne s'est pas réveillé, ça devait être un simple cambriolage, mais malheureusement non...", minimise l'accusé. Ils ont pourtant ce pistolet électrique, des cagoules et du gros scotch... Et ils sont persuadés trouver de l'argent chez les victimes qui louent des appartements. “J'ai senti qu'on me ligotait, qu'on me bâillonnait, je ne pouvais plus respirer”, poursuit Josette. Le pire arrive alors.

Quatre fractures, des dents cassées et des coups portés avec force

“Je sentais un pied qui s'appuie sur ma tête et qui écrase, j'ai entendu “crac”, des craquements, j'avais plein de sang, je croyais que j'allais mourir... Plus je criais, plus il appuyait, je lui disais d'arrêter, il continuait encore plus fort... ça a duré je ne sais pas combien de temps.” La cour se fige. Le professeur Baccino évoque quatre fractures, des dents cassées et des coups portés avec force, a minima le poids d'un corps sur le visage écrasé : “Oui, ça aurait pu être mortel”, certifie le légiste. Quabbari, lui, désigne Mourad Chaloukh comme l'auteur. Mais ce dernier, déjà condamné aux assises pour une agression à domicile au couteau, réfute.

“Ils me disaient “où est le coffre ?, où est le coffre ?”, mais on n'avait pas de coffre !, continue la septuagénaire. Maman est arrivée, ils l'ont attrapée et forcée à s'asseoir et lui criaient dessus pour qu'elle “ferme sa grande gueule”.” Le trio se rabat sur 780 malheureux euros en liquide et s'enfuit. Josette réussit à se libérer. Les secours arrivent. Elle doit être hospitalisée : “J'ai dit à maman que j'en avais pas pour longtemps sans savoir que c'était la dernière fois que je la voyais, lance-t-elle en sanglots. Et à l'hôpital, je vomissais du sang et l'infirmière m'a dit “y'a un problème”..." Trop choquée par l'agression, Odile, la maman, vient de succomber à une crise cardiaque.

http://www.midilibre.fr/2017/09/20/h...r,1563372.php#


Assises de l'Hérault : peines de 10 à 20 ans pour la violente agression


es condamnations sont tombées ce jeudi 21 septembre à l'issue du procès de trois hommes, reconnus coupable d'avoir violemment agressé une femme à son domicile de Saint-Just en mars 2014. La mère de cette dernière était décédée d'une attaque cardiaque suite aux faits auxquels elle avait assisté.

Un trio de malfaiteurs en quête d'argent avait grièvement blessé une septuagénaire en lui écrasant le visage et la mère de la victime, 90 ans, était décédée d'une crise cardiaque. "Elle est morte de peur" a rappelé Georges Gutierrez qui a fait un distinguo entre les trois Lunellois lors de ses réquisitions ce jeudi 21 septembre. Il avait demandé 20 ans de réclusion dont deux-tiers de peine de sûreté à l'encontre de Mourad Chaloukh, 15 ans à l'encontre de Hedi Bennamar et entre 8 à 10 ans Radouane Quabarri.

La cour d'assises de l'Hérault a finalement condamné Mourad Chaloukh à 20 ans de réclusion, Hedi Bennammar à 12 ans, Radouane Quabbari à 10 ans en début de soirée.

http://www.midilibre.fr/2017/09/21/a...n,1564284.php#
 
Old September 22nd, 2017 #8
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La victime avait essayé de se défendre, en vain


La jeune employée du Maxi tuée de 14 coups de couteau sur son lieu de travail a tenté de se défendre, révèle un rapport d’autopsie.

« Des plaies sont [...] des plaies de défense, occasionnées lorsque la victime tente de se protéger d’assauts contre elle ou essaie d’agripper l’arme », a expliqué le Dr Yann Dazé au procès de Randy Tshilumba.

Tshilumba, 21 ans, est accusé d’avoir tué Clémence Beaulieu-Patry le 10 avril 2016 au supermarché de la rue Papineau, à Montréal. Selon la théorie de la Couronne, la jeune femme de 20 ans connaissait l’accusé pour avoir été à la même école secondaire que lui, mais ils ne se parlaient pas.

Plaies multiples

Dans les jours précédant le drame, Tshilumba se serait présenté au Maxi pour demander à Clémence Beaulieu-Patry de sortir avec lui. La jeune femme aurait refusé. L’accusé lui aurait alors demandé son numéro de téléphone ou son nom sur Facebook, pour essuyer un nouveau refus, selon la preuve présentée.

Quelques jours plus tard, il serait revenu dans le Maxi avec un couteau de chasse et aurait poignardé la jeune femme à 14 reprises, causant un total de 20 plaies au cou, au haut du corps et sur les bras.

Un coup « a pénétré dans le thorax, a transpercé le poumon et coupé une artère qui va au cœur », a expliqué le Dr Dazé.

Ce coup, à lui seul, aurait pu causer la mort. Cependant, en raison du nombre de plaies que présentait le corps de la victime, le pathologiste a conclu que l’ensemble des coups a causé sa mort.

Vu tout le sang que la victime avait perdu, ses chances de survie étaient très faibles, a ajouté l’expert.

Des enregistrements de caméras de surveillance montrent Tshilumba qui prend la fuite juste après la mort de Clémence Beaulieu-Patry.

S’étant réfugié dans un Tim Hortons non loin du Maxi, il y est resté caché sept heures.

Un homme calme

Il a ensuite pris les transports en commun pour se rendre jusqu’au cégep où il étudiait.

Des vidéos de surveillance montrent l’accusé imperturbable durant ce trajet, que ce soit dans l’autobus de la Ville ou dans le métro.

Une fois à son école, Tshilumba aurait caché le couteau et ses vêtements dans un casier.

Il aurait ensuite effectué des recherches internet pour se renseigner, entre autres, sur la façon de laver du sang et sur la façon de commettre le meurtre parfait.

L’accusé reconnaît être l’homme qui est entré dans le Maxi et qui s’est réfugié dans le Tim Hortons, mais il a néanmoins plaidé non coupable.

Le procès présidé par la juge Hélène Di Salvo se poursuit aujourd’hui, au palais de justice de Montréal.

http://www.journaldemontreal.com/201...fendre-en-vain
 
Old June 4th, 2018 #9
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Marne : un adolescent agressé mortellement


Un adolescent a été tué samedi 2 juin par un homme qui voulait voler le sac à main d'une amie, à Mourmelon-le-Grand, dans la Marne. Le meurtrier, qui lui a asséné une vingtaine de coups de couteau, est toujours en fuite.

Il avait 17 ans et s'apprêtait à passer son baccalauréat. Kévin a été poignardé à mort samedi 2 juin dans la commune de Mourmelon-le-Grand, dans la Marne, où il vivait. La scène s'est déroulée dans un parc en plein après-midi. L'adolescent se promène avec une amie lorsqu'un individu tente de se saisir de son sac à main. L'agresseur lui assène une vingtaine de coups de couteau avant de prendre la fuite.

https://www.francetvinfo.fr/faits-di...t_2786073.html


Meurtre de Kévin à Mourmelon-le-Grand : voici le portrait-robot de l'homme recherché


L'agresseur de Kévin est toujours introuvable. Les forces de l'ordre lancent un appel à la population pour identifier le suspect et l'interpeller dans les meilleurs délais. D'après le témoignage de l'amie de la victime, présente au moment du crime, la gendarmerie a réalisé un portrait-robot.

Il s'agirait d'un homme de couleur de peau "type" basanée, âgé de 25 à 30 ans, mesurant 1m80-1m90, d'une corpulence plutôt musclée, avec les yeux foncés, les sourcils épais et le nez élargi. Il serait droitier et portait au moment des faits un pantalon de treillis "camouflages", une veste de sport noir sans marque, des bottes ou des rangers, une casquette grise sous la capuche, ainsi qu'une paire de gants de couleur grise.

https://france3-regions.francetvinfo...e-1487993.html
 
Old June 5th, 2018 #10
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Un lycéen tué de 20 coups de couteau devant sa petite-amie, un mineur arrêté

05/06/2018

Le suspect était en fuite depuis samedi. Mais après la diffusion par la gendarmerie d’un portrait-robot, un mineur a été interpellé lundi soir.

Alors qu’il se promenait dans un parc avec sa petite-amie, un lycéen de 17 ans a été poignardé à mort samedi à Mourmelon-le-Grand (Marne).

Le drame s’est produit vers 15 heures, dans cette petite ville entre Reims et Chalons-en-Champagne. Selon le parquet de Chalons-en-Champagne, tout a commencé par "un échange de regards qui ne se passe pas bien".

Puis l’agresseur présumé "aurait essayé de prendre le sac à main" de la jeune fille, selon le témoignage de celle-ci.

S’en suit une altercation qui redouble, "et le jeune se prend des coups de couteau dans le dos". Une vingtaine, selon BFMTV.

"Acharnement inhabituel"

Le jeune homme est décédé et son agresseur a pris la fuite. Il était depuis activement recherché par la Brigade de recherche (BR) de Chalons-en-Champagne et la Section de recherche (SR) de Reims. L’arme du crime demeurait elle aussi introuvable.

Finalement, après la diffusion, lundi soir, d’un portrait-robot du suspect, un jeune homme, de 17 ans lui aussi, a été interpellé. Selon une source proche de l’enquête, ce mineur marginalisé est soupçonné d’être l’auteur de la vingtaine de coups de couteau. "Des éléments intéressant l’enquête ont été découverts lors de la perquisition menée à son domicile.

Alors que les auditions du suspect étaient en cours ce mardi, "l’autopsie réalisée sur le corps du défunt Kévin C. a permis de retrouver de nombreuses lésions par arme blanche, témoignant, selon les médecins légistes, d’un acharnement inhabituel, à l’origine de son décès", précise le parquet.

https://www.sudouest.fr/2018/06/05/u...-5117626-7.php
 
Old June 28th, 2018 #11
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Jean-François, tué devant la gare de Mons: Ahmed S., le tueur présumé, était un homme sans histoire


C’est dans la nuit de lundi à mardi que le drame s’est produit en face de la gare de Mons. Jean-François, 19 ans, était en train de boire un verre en terrasse d’un café. Il a été pris à partie par Ahmed S., un client à qui on avait demandé de quitter les lieux…

http://www.sudinfo.be/id61741/articl...etait-un-homme


Le serveur du Léopold raconte le meurtre de Jean-François : "Il a donné sa vie pour aider une serveuse"

C'était l'horreur lundi soir à Mons. Jean-François, un jeune Montois de 19 ans a été poignardé sur la place Léopold, à côté de la gare. Vers minuit, le jeune homme a reçu plusieurs coups de couteau, dont un à la gorge, avant de succomber de ses blessures.

Les faits ont débuté sur les terrasses du café Léopold et du café la Table Ronde. Le patron du café Léopold a visionné toute la scène grâce à sa caméra de surveillance. "Un jeune homme, l'auteur des coups des couteau, était en train de boire un verre au café la Table Ronde , débute-t-il. Un autre, la victime, était assis sur ma terrasse à une table juste à côté de la terrasse du café voisin où se trouvait l'auteur. Les deux hommes, l'un à côté de l'autre, se sont parlés, ont commencé à s'énerver et à se prendre la tête."

Julien, le serveur du café Léopold qui était en service lundi soir, complète ces explications : "Le type était louche par rapport à la serveuse du café d'à côté" , raconte Julien qui connaissait bien Jean-François. "Il a d'abord râlé parce que je lui ai demandé son numéro devant lui. Puis, il ne voulait pas partir alors qu'elle devait fermer la terrasse et le café. Enfin, lorsque le café a fermé, il est resté attendre que la serveuse quitte le café parce qu'il voulait la suivre. C'est là que Jean-François lui a dit d'arrêter d'embêter la serveuse."

http://www.dhnet.be/regions/mons/le-...324d3f1303493e
 
Old August 6th, 2018 #12
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«Silence coupable des médias»: la Toile pleure Adrien Perez


Une marche blanche aura lieu à Grenoble mercredi pour dénoncer l'assassinat d'Adrien Perez, survenu dimanche dernier près d'une boîte de nuit de la banlieue de la ville. Ce jeune homme qui, selon sa mère, est «mort en héros» en défendant son ami, est pleuré par les internautes qui expriment leurs indignations dans les réseaux sociaux.

Les organisateurs de la marche blanche en mémoire d'Adrien Perez, tué le 29 juillet alors qu'il défendait son ami contre des agresseurs près d'une discothèque de la banlieue de Grenoble, appellent toutes les personnes sensibles à la tragédie à se mobiliser «pour dénoncer cet acte, l'insécurité de plus en plus présente sur l'agglomération grenobloise et en France», selon la page de l'événement qui aura lieu mercredi.

Le jeune homme, qui s'était rendu dans la boîte de nuit pour fêter ses 26 ans avec un groupe d'amis, a été tué d'un coup de couteau en plein cœur par Younes El Habib, âgé de 20 ans. Ce dernier, ainsi que son frère cadet, Yanis, qui a gravement blessé aux poumons un ami d'Adrien, ont été écroués et mis en examen pour meurtre et tentative de meurtre respectivement. Le troisième agresseur a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

https://fr.sputniknews.com/france/20...upable-medias/

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Old May 31st, 2019 #13
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Il n’y aura pas de quartier pour les Blancs dans cette guerre raciale

Les Blancs ne peuvent espérer aucune espèce de répit, nulle part.

Russia Today :

Quote:
Un jeune homme de 19 ans est mort près de Caen après avoir été atteint par un coup de fusil. Le motif serait un «mauvais regard». Trois suspects ont été entendus et d’autres auraient fui en Algérie. Des personnalités politiques réagissent.

Le 18 mai, le jeune homme se trouvait avec des amis dans le quartier de la Grande-Delle, à Hérouville-Saint-Clair, quand on lui a tiré dessus. Transporté en urgence au CHU de Caen, il est décédé la nuit suivante. Selon les amis de Théo, c’est un échange de regards avec des jeunes d’un autre quartier qui pourrait être la cause de cette assassinat. Un motif «futile» confirmé par Carole Étienne, procureur de Caen : «Il semblerait que le mobile dans cette affaire soit un mauvais regard.»
Ce jeune Blanc n’est pas mort « pour un mauvais regard ».

Il a été assassiné parce que ces envahisseurs algériens ont cru détecter un Français refusant de se soumettre à leur domination.

https://democratieparticipative.club...uerre-raciale/
 
Old July 4th, 2019 #14
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Le « Savoyard » Habib Zaier surine mortellement Jean

Leutnant
Démocratie Participative
04 juillet 2019

Le Dauphiné Libéré :

Jugé en appel, un Haut-Savoyard de 45 ans a été condamné ce mercredi 3 juillet par la cour d’assises de la Savoie à 20 années de réclusion criminelle avec une peine de sûreté des deux tiers.

Habib Zaier était jugé en appel depuis lundi 1er juillet. Un verdict identique à celui prononcé par la cour d’assises de la Haute-Savoie en mars 2018, avec la peine de sûreté en plus.

L’arrêt de la cour d’assises est identique aux réquisitions de l’avocate générale. Mardi soir, la défense a plaidé l’acquittement. Les quatre enfants de la victime qui veillaient sur leur père depuis qu’il vivait dans ce foyer sont soulagés. Leurs parties civiles ont été reçues par la cour d’assises.

Dans l’après-midi du 14 décembre 2015, le gardien du foyer social Adoma de Thonon-les-Bains est sollicité pour ouvrir la porte d’un des résidents.

La famille de Jérôme Bureau est inquiète car elle n’a plus de nouvelles de lui depuis plusieurs jours. Mais lorsque le gardien ouvre la porte, il se trouve face à une terrible scène de crime et appelle tout de suite les pompiers et la police.

Le corps sans vie de Jérôme Bureau, 51 ans, gît sur son lit. Sa chambre est en désordre et a partiellement été incendiée. La victime a reçu plusieurs coups de couteau avant d’agoniser plus tard, les lésions n’étant pas létales.

L’autopsie révèle que plusieurs jours se sont écoulés entre sa mort et la découverte du corps. D’autre part, Jérôme Bureau n’a plus donné signe de vie depuis le 7 décembre.

Deux proches de la victime, vivant aussi au foyer Adoma, sont interpellés. Mais à l’issue de l’instruction, seul Habib Zaier, sera renvoyé pour meurtre devant la cour d’assises de la Haute-Savoie.

Il n’a pas été poursuivi pour l’incendie, faute de preuves. L’autre mis en examen a bénéficié d’un non-lieu, faute de charges suffisantes à son encontre.

https://democratieparticipative.club...ellement-jean/
 
Old September 16th, 2019 #15
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Rouen : un gang ivoirien découpe la tête d’Olivier

Leutnant
Démocratie Participative
16 septembre 2019

Le racisme antiblanc n’existe pas.

Le Parisien :

Quote:
Un second mineur a été interpellé ce week-end et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur un meurtre sordide à Rouen. Âgé de 15 ans, le jeune homme aurait participé à l’agression d’Olivier Quenault, 47 ans, retrouvé mort le 10 septembre au matin dans le parc qui jouxte l’abbatiale Saint-Ouen. Un mineur de 17 ans avait déjà été interpellé le lendemain par les policiers du SRPJ de Rouen et mis en examen vendredi pour homicide volontaire par un juge, avant d’être incarcéré le soir même.

C’est un employé municipal qui avait découvert le corps du quadragénaire entièrement nu, allongé à proximité d’un panneau de basket. La victime était atrocement mutilée, notamment au niveau du visage. L’autopsie a révélé une mort violente, « consécutive à des coups ». Les policiers avaient retrouvé ses vêtements éparpillés un peu partout dans les jardins de l’hôtel de ville. Le quadragénaire aurait essayé, agonisant, de ramper jusqu’à l’hôtel de ville.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime menait une vie paisible. Célibataire, l’homme travaillait dans un restaurant de l’agglomération comme second de cuisine et vivait dans un appartement situé dans le quartier Jouvent à Rouen. Il est décrit comme quelqu’un « sans histoire ». Le mobile de ce crime sordide serait crapuleux, la victime ayant été dépossédée de son argent.
Quand on est pas on ne peut pas être raciste.

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Old September 19th, 2019 #16
alex revision
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Allemagne : le routier marocain éclate mortellement la tête de Sophia, 28 ans

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 septembre 2019

Pas si vite !

Le Figaro :

Quote:
La justice allemande a condamné mercredi un routier d’origine marocaine à une peine de prison à perpétuité pour le meurtre d’une auto-stoppeuse en 2018, un cas instrumentalisé par l’extrême-droite qui avait fait grand bruit dans le pays.

Le tribunal de Bayreuth en Bavière a reconnu le chauffeur de poids-lourds, Boujemaa Lamrabat, coupable d’avoir dans un premier temps grièvement blessé avec une clé de roue la jeune femme de 28 ans, Sophia Lösche, avant de la tuer 10 minutes plus tard pour masquer son forfait. L’accusation de viol, avancé dans un premier temps par le Parquet, a été abandonnée faute de preuve.

En juin 2018, la jeune femme était partie en auto-stop de Leipzig, où elle étudiait, pour rendre visite à sa famille en Bavière, à Amberg. Mais elle n’est jamais arrivée à destination. Portée disparue, son corps a finalement été retrouvé dans un fossé au bord d’une route en Espagne, où résidait le routier.

L’affaire avait fait les gros titres en Allemagne. La famille avait utilisé les réseaux sociaux pour rechercher Sophia et retrouvé la piste du chauffeur routier de 42 ans en Espagne avant que la police ne l’arrête.

L’Alternative pour l’Allemagne (AfD), le parti d’extrême droite allemand, avait de son côté utilisé l’affaire pour dénoncer les violences commises selon eux par les migrants.

Le parti avait notamment organisé à Chemnitz, un fief des mouvances de l’ultra droite, une «marche silencieuse» dont les participants tenaient des portraits grand format de la jeune femme. La famille de la victime a de son côté rejeté tout lien entre le meurtre de Sophia et une violence présumée des migrants.
Après la lecture de cet article équilibré de l’Agence France Presse repris par le journal de droite dure « Le Figaro », la conclusion que l’on retire de l’assassinat de cette jeune Allemande par un maghrébin est que l’extrême-droite est un ramassis d’ordures et que les immigrés musulmans sont des gens bien.

Comme quoi, les apparences sont trompeuses.

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