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Old October 21st, 2018 #1
alex revision
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Unhappy Robert Faurisson nous a quittés

Je regrette d'avoir à vous informer que mon frère le Professeur Robert Faurisson est décédé hier dimanche 21 octobre vers 19 heures. Comme il venait de passer la porte d'entrée de sa maison à Vichy au retour d'un voyage à son lieu de naissance à Shepperton (UK), il s'est effondré probablement à la suite d'une violente crise cardiaque.

Il y avait eu des rencontres avec des amis qui furent interrompues à deux reprises violemment par les opposants à ses vues. Je l'accompagnais à cette occasion.

Son 90ème anniversaire devait avoir lieu le 25 janvier prochain.

Jean Faurisson


 
Old October 22nd, 2018 #2
alex revision
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Mort de Robert Faurisson : "Ses thèses vivent encore" réagit la fondation Shoah

Robert Faurisson est mort ce dimanche 21 octobre, a fait savoir sa soeur Yvonne Schleiter. Il est décédé à l'âge de 89 ans, dans la commune de Vichy dans l'Allier.

La fondation Shoah a déjà réagi à son décès. "Le négationniste Robert Faurisson est mort mais ses "thèses" immondes vivent encore. Le combat pour la vérité historique continue face aux faussaires de l'Histoire", écrit l'association.

https://www.linternaute.com/actualit...ndation-shoah/
 
Old October 22nd, 2018 #3
Johan
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Among Faurisson's friends were well-known deniers such as Ernst Zündel and Ditlieb Felderer, Florrie Rost van Tonningen-Heubel. According to Faurisson, the 'so-called Holocaust' is nothing more than 'the sword and shield of the Jewish tyranny all over the world', and his appeal was clear: 'Destroy it!'

 
Old October 22nd, 2018 #4
alex revision
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Son ami Joe Fallisi témoigne et rend hommage au Professeur Robert Faurisson

Je suis encore sous le choc et je ne peux pas m'endormir. En revenant de l'aéroport de Bari il y a quelques heures, on m'a assené la terrible nouvelle : Robert Faurisson n’est plus. Dès son retour chez lui à Vichy, il s’est effondré, mort. Son grand coeur avait cessé de battre. Nous nous sommes rencontrés hier après-midi à Shepperton, dans un hôtel, l'hôtel Anchor, qui restera dans l'histoire pour avoir accueilli l’ultime conférence du Professeur. Nous y avons éprouvé, une fois encore, à quel point l'intimidation du politiquement correct, conséquence d’une dictature judaïque très perverse, pèse sur toute l'Europe. Robert est né dans cette ville il y a presque quatre-vingt-dix ans. En marchant, il m'avait confié, toujours lucide et indomptable, qu’il était très, très fatigué : il pressentait que sa fin était imminente. En réalité, cet homme, plus que courageux, avait tenu à bout de bras l'immense cause révisionniste.

En plus du harcèlement judiciaire et moral qu'il a dû subir, il a été agressé physiquement plus de dix fois par des personnages odieux et anonymes, qui voulaient l'empêcher de s'exprimer, de vivre. Il a toujours su résister et se relever, sans dévier d'un millimètre dans sa recherche intrépide de la vérité.

Un jour, il sera célébré comme un héros de la libre pensée.

BOCAGE-INFO - Dépêche No 163/2018



La sœur du Professeur Robert Faurisson, à qui la Rédaction de BOCAGE-INFO présente ses plus sincères condoléances, rend un émouvant hommage à son frère

Quatre-vingt-dix ans après sa naissance, Robert Faurisson est retourné à Shepperton où il naquit le 25 janvier 1929.

Le soir même, il s'est abattu d'un coup, sans une plainte ni un soupir, comme si le grand cycle de la vie avait attendu ce retour aux sources et aux origines pour le délivrer de sa vie terrestre.

Les sources, les origines, dans toute leur rigueur et leur précision, c'est le fil conducteur de la vie de Robert Faurisson, celui qui l'a amené dans l'une des plus grandes aventures intellectuelles de l'après-guerre, aux confins de la littérature, de l'histoire, de la géopolitique et de la mémoire des peuples.

L'immense curiosité de Robert Faurisson va encore pouvoir être satisfaite : là où il est depuis son trépas, il est sûrement devant un juge honnête. Il n'y a pas tellement été habitué.

BOCAGE-INFO - Dépêche No 164/2018
 
Old October 22nd, 2018 #5
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J.M. Le Pen: Faurisson "emblématique du recul des libertés d'expression et d'opinion"

Jean-Marie Le Pen, cofondateur du Front national (FN, devenu RN), a jugé lundi que le cas de Robert Faurisson était "emblématique du recul des libertés d'expression et d'opinion" en France.

"Je ne connaissais pas Robert Faurisson, mais les moyens considérables employés durant des décennies pour le réduire au silence me paraissent emblématiques du recul des libertés d'expression et d'opinion dans notre pays", écrit M. Le Pen dans un communiqué.

"Les lois dites mémorielles employées pour criminaliser les adversaires politiques de tous bords sont la marque d'un virage anti-démocratique dont les divers pouvoirs usent et abusent contre l'esprit patriotique et les rébellions identitaires des peuples", poursuit l'ancien candidat du FN à la présidentielle.

https://www.i24news.tv/fr/actu/inter...n-et-d-opinion
 
Old October 22nd, 2018 #6
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Vincent Reynouard rend hommage au professeur Faurisson (comment il m'a convaincu)

Pour rendre hommage au professeur Faurisson décédé hier 21 octobre, Vincent Reynouard raconte comment, grâce à lui, il est devenu révisionniste.



http://blogue-sc.com/2018/10/vincent...seur-faurisson

https://www.bitchute.com/video/tThhaIpQIVd8/

https://rutube.ru/video/8b454f70287a...9&pl_type=user

Last edited by alex revision; October 22nd, 2018 at 12:53 PM.
 
Old October 23rd, 2018 #8
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Robert Faurisson : un homme intrépide et indomptable au milieu des lâches



Éditorial de Jérôme Bourbon, à paraître dans le numéro 3349 de RIVAROL daté du mercredi 24 octobre 2018


JUSQU’AUX DERNIERS INSTANTS de sa vie ici-bas Robert Faurisson aura été confronté à l’adversité. Et à une adversité violente, constante, brutale. Alors qu’il donnait le samedi 20 octobre une conférence en anglais dans un hôtel de Shepperton, sa ville natale, en compagnie de son disciple Vincent Reynouard, exilé en Angleterre à cause de son combat révisionniste, les gérants de l’établissement, apeurés, tétanisés par les menaces téléphoniques et sur les réseaux sociaux de groupes et d’individus se réclamant de l’antiracisme, ont tout tenté pour interrompre la conférence : irruption dans la salle, injonction de quitter les lieux immédiatement, coupure de l’électricité, déclenchement à plusieurs reprises d’une alarme incendie… L’intrépide professeur faisait face une dernière fois à une manifestation peu glorieuse de la lâcheté humaine. Robert Faurisson aimait à répéter que ce qu’il avait le plus rencontré tout au long de sa vie, et singulièrement au cours de ses quarante années de combat révisionniste actif et de persécutions incessantes, et ce qui l’avait le plus marqué, c’était la lâcheté des hommes, y compris et surtout celle des bons. La peur, disait-il, est le moteur de l’histoire. C’est celle qui explique les renoncements, les abdications, les ignominies, les trahisons, les désertions.


Robert Faurisson, lui, n’avait pas peur. Pas peur de témoigner devant des tribunaux hostiles où il excellait, racontant avec clarté et pédagogie des heures durant ses travaux révisionnistes, ses découvertes, son itinéraire, expliquant, démontrant, réfutant. Pas peur de donner partout où il était invité des conférences où il subjuguait son auditoire par sa capacité à s’exprimer sans notes, par sa brillance, par le caractère imparable de ses démonstrations, par la pertinence de ses observations, par son formidable humour dont il disait qu’il lui venait de son ascendance écossaise, par sa capacité à faire rire son auditoire, même lorsqu’il parlait de choses éminemment sérieuses. Pas peur de tenir publiquement pendant près d’un demi-siècle des positions qui firent de lui un pestiféré, qui lui firent perdre ses fonctions de professeur à l’université où il aimait tant enseigner au motif qu’on était incapable d’assurer sa sécurité, pas peur par sa ténacité, son invariance et son intransigeance dans ses positions d’être la cible privilégiée de milices. C’est ainsi qu’il subit stoïquement une dizaine d’agressions physiques. Une, particulièrement grave, dans un parc public à Vichy, en septembre 1989, il y a tout juste vingt-neuf ans, le laissa à demi-mort et il n’aurait sans doute pas survécu si un passant ne l’avait alors conduit à l’hôpital. Un individu qui, apprenant plus tard qui il était, exprima son regret de lui être venu en aide ! De cette agression revendiquée par les Fils de la mémoire juive l’indomptable Professeur gardera toute sa vie des séquelles, qui le firent atrocement souffrir au visage jusqu’à sa mort.


Isolé, en effet, il le fut, puisque très rares furent les personnalités à oser le fréquenter. Même Jean-Marie Le Pen, qui fut pourtant lui-même ostracisé, n’a jamais souhaité rencontrer le professeur au point que lors de notre banquet en 2016 pour les 65 ans de RIVAROL il nous avait fallu attendre que le fondateur du Front national quittât la salle pour faire entrer le Professeur qui fit à cette occasion une magnifique conférence retraçant en une heure et demie toute la genèse et l’histoire de ses travaux et de son combat pour la vérité historique, ou plutôt pour l’exactitude historique, pour reprendre l’expression qu’il aimait à employer.


Robert Faurisson eut cependant des consolations tout au long de ses quarante années de durs combats : Pierre Guillaume l’édita courageusement au début des années 1980 (La Vieille Taupe), une partie de sa famille le seconda et l’aida avec un dévouement incessant pendant ces quelque quarante années de persécution, il participa à une conférence sur l’Holocauste en Iran en décembre 2006, le président Mahmoud Ahmadinejad lui remit en 2012 un prix honorant « le courage, la résistance, la combativité » et en décembre 2008 l’humoriste Dieudonné le fit monter sur scène au Zénith pour lui remettre un Prix de l’insolence et de l’infréquentabilité. Il put compter aussi jusqu’au bout sur le dévouement de Jean Plantin qui édita consciencieusement ses Ecrits révisionnistes qui constituent une mine d’informations et d’explications inégalées, sur l’infatigable Vincent Reynouard qui, dans ses écrits puis dans ses vidéos, poursuit à sa manière son œuvre et sur le soutien et l’amitié d’anonymes avec lesquels il n’hésitait pas à correspondre, à donner de son temps, même lorsqu’il était au bout de ses forces. Il connut aussi des trahisons, dont la plus douloureuse fut sans doute celle de Jean-Claude Pressac, son ancien disciple, qui fut financé par les Klarsfeld pour essayer de prouver l’existence des chambres à gaz. Las, huit ans avant de mourir dans l’indifférence générale, Pressac, dans un entretien de juin 1995 avec Valérie Igounet, qualifie tout le dossier des chambres à gaz de “pourri” et affirme que « la forme actuelle, pourtant triomphante, de la présentation de l’univers des camps est condamnée. Qu’en sauvera-t-on ? Peu de choses. »


RIEN a priori ne destinait Robert Faurisson, ce brillant professeur d’université, cet agrégé de lettres à qui l’on doit des œuvres d’érudition littéraire comme A-t-on Lu Rimbaud ? A-t-on lu Lautréamont à entrer de plain-pied dans ce que d’aucuns ont qualifié de plus grande aventure intellectuelle du XXème siècle : le révisionnisme historique. Rien, si ce n’est sa grande curiosité, son anticonformisme viscéral et son sens profond de la justice. Lors de la conférence qu’il donna le 9 avril 2016 pour les 65 ans de RIVAROL (et dont le texte intégral est paru dans les Ecrits de Paris de mai 2016, un numéro toujours disponible à nos bureaux contre quelques euros, tout comme le testament du Professeur paru dans RIVAROL des 13 et 20 octobre 2016), il expliquait que bien que très hostile à l’occupant allemand pendant la guerre, il avait eu le souci, à partir du 8 mai 1945, date de la capitulation allemande, de se conduire, sinon en gentilhomme, du moins en gentleman, à l’égard du vaincu. Et c’est cette soif de justice et de vérité qui le conduira à être révolté par les horreurs de l’épuration gaullo-communiste et à lire Maurice Bardèche (Nuremberg ou la Terre promise, 1948) et Paul Rassinier (Le Mensonge d’Ulysse, 1950) qui sont les pionniers du révisionnisme historique.


Bien que Robert Faurisson ne fût pas croyant, il y avait dans sa profession de foi révisionniste une démarche christique. Ne pas répéter à propos de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale la vulgate expose en effet à la mort sociale, à l’isolement, à l’incompréhension et à l’hostilité générale. Qui n’a pas touché de près au révisionnisme ne sait pas ce qu’est la haine, jusqu’à quelles extrémités elle peut conduire. A l’instar d’autres révisionnistes, Robert Faurisson a toujours souhaité un débat public avec ses contradicteurs. Ce débat lui a toujours été refusé. Il n’a eu droit qu’à des plaintes devant les tribunaux pour contestation de crime contre l’humanité, qu’à des menaces, à des insultes et à des coups. Il suffit de lire le titre des dépêches à l’annonce de son décès pour comprendre que la haine est toujours aussi active et qu’elle ne connaît aucun répit, aucune trêve : « la mort d’un négationniste, d’un faussaire de l’histoire, d’un falsificateur, d’un antisémite ». Des sites juifs se réjouissent ouvertement, bruyamment de sa disparition. Mais s’ils n’ont que des insultes aux lèvres, c’est qu’ils n’ont pas d’argument. Ils salissent l’homme mais sont incapables de répondre à ses arguments, à ses interrogations, à ses objections techniques, scientifiques. Lorsqu’on assistait à des procès de Robert Faurisson, le contraste était saisissant entre un homme qui usait d’arguments rationnels, qui expliquait patiemment sa démarche, relatait ses travaux, faisait état de ses observations et de ses conclusions et des opposants qui attaquaient rageusement l’homme, qui le traitaient d’antisémite compulsif et de négationniste forcené, qui appelaient à une répression renforcée mais qui ne répondaient à aucun de ses arguments. A l’instar des trente-quatre historiens qui, dans Le Monde du 21 février 1979, ne pouvaient répondre à Faurisson que ceci : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement : il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz. »


C’EST qu’en contestant ouvertement la version officielle et obligatoire de la Seconde Guerre mondiale, en refusant d’accabler les vaincus et d’encenser les vainqueurs, Robert Faurisson menaçait des intérêts puissants. Ceux de l’Etat d’Israël et du sionisme international dont la puissance, la pérennité, l’immunité et l’impunité reposent essentiellement sur le Dogme holocaustique. Ceux des Alliés et de la sacro-sainte croisade des démocraties contre les forces de l’Axe. Ceux des gauchistes de tous poils pour qui il est nécessaire que les régimes nationalistes de l’entre-deux-guerres en Europe soient le mal absolu et non le communisme sous toutes ses formes, léniniste, stalinienne, maoïste, trotskyste.

Non seulement Robert Faurisson, par ses travaux et sa fameuse phrase de soixante mots, prononcée en 1980 au micro d’Europe 1 face à un Ivan Levaï excédé, menaçait les fondements idéologiques de l’ordre mondial issu de la dernière guerre mais il contestait une véritable religion, ou plutôt une contre-religion, le culte holocaustique. Un culte qui ne souffre pas que l’on manque de déférence et de soumission à son endroit. Un (faux) dieu qui exige que l’on brûle sans cesse l’encens devant lui, qu’on l’adore, qu’on rallume la flamme comme à Yad Vashem, qu’on offre des fleurs et qu’on se lamente comme lors des pèlerinages et processions à Auschwitz et ailleurs, qu’on se frappe la poitrine en s’écriant « plus jamais ça ».
La contre-religion de la Shoah enseignée dès l’école primaire et tout au long de la vie à travers la télévision, le cinéma, les divertissements singe en effet les rituels catholiques avec son culte des martyrs (les six millions), des saints (les Justes récompensés par l’Etat d’Israël), des miraculés (les survivants de la Shoah), des stigmatisés (les déportés avec leur numéro tatoué sur le bras), ses pèlerinages et processions expiatoires d’Auschwitz au Struthof, ses temples et cathédrales (les musées de l’Holocauste, le mémorial de la Shoah), les aumônes pour être absous de ses fautes (les réparations financières incessantes en faveur de l’Etat d’Israël et des descendants de déportés), ses reliques (les dents, les cheveux, les souliers des déportés), son hagiographie (les livres d’Elie Wiesel, de Primo Levi…), ses martyrologes (les murs et mémoriaux recensant l’identité et le patronyme des victimes), ses lieux de supplice (les chambres à gaz homicides), ses tables de la loi (la Déclaration des droits de l’homme), son Evangile (le jugement du tribunal militaire international de Nuremberg), ses grands prêtres et ses pontifes (Klarsfeld, Veil, Lanzmann…), son inquisition (les tribunaux de la République et de dizaines d’Etats dans le monde ayant un arsenal répressif anti-révisionniste), sa législation contre le blasphème ( la loi Fabius-Gayssot et son équivalent un peu partout en Occident), ses juges (les magistrats), sa cité sainte (l’entité sioniste), ses archanges (Tsahal protégeant l’Eretz), ses prédicateurs et ses gardiens (les enseignants et tous les organes dirigeants, qu’ils soient politiques, médiatiques, religieux, syndicaux, associatifs, sportifs, économiques), ses saintes congrégations (le Congrès juif mondial, le B’nai B’rith, le CRIF, la LICRA, l’UEJF, l’AIPAC…), son enfer (tous les nationalistes, sauf les israéliens, les révisionnistes, les catholiques fidèles à la doctrine sur le nouvel Israël, à la théologie dite de la substitution), ses fidèles (la quasi-totalité de l’humanité), ses mécréants (les révisionnistes).


Si elle singe la religion chrétienne, cette contre-religion en constitue aussi l’inversion : à l’amour elle oppose la haine, à la vérité le mensonge, au pardon des offenses la vengeance talmudique, au respect des anciens la traque aux vieillards, à la rémission des péchés l’imprescriptibilité des crimes, à l’esprit de pauvreté l’appât du gain, à l’humilité la volonté de domination, au sens du partage l’esprit de lucre, à la charité le chantage, au respect d’autrui le lynchage, au silence du recueillement le tapage de la mise en accusation, à la discrétion des vertus domestiques le bruit et la fureur médiatiques, à la justice infinie de Dieu la partialité d’un tribunal des vainqueurs jugeant les vaincus.


IRONIE de l’histoire, Robert Faurisson est décédé en rentrant à son domicile de retour de sa ville natale en Angleterre le 21 octobre au soir, victime d’une violente crise cardiaque. Or, quatre jours plus tard, les magistrats de Cusset devaient rendre leur jugement dans l’affaire dite de la chambre à gaz du Struthof. Le 20 septembre, au cours de ce qui fut son dernier procès, le Professeur, bien qu’épuisé, fit une défense magistrale dont on peut lire de larges extraits dans notre édition du 3 octobre (« Struthof : la LICRA poursuit Faurisson ») Jusqu’au bout le Professeur lutta avec un courage et une détermination hors du commun qui forcent l’admiration.
Il est courant de dire que personne n’est irremplaçable. Eh bien si. La mort de ce géant, de ce monument est une perte irréparable. On n’a pas fini de mesurer à quel point il va manquer. Car combien y-a-t-il aujourd’hui d’hommes de sa trempe, de son érudition, de son talent, de sa bravoure, de sa ténacité ? Et pourtant même sans lui le combat pour la vérité historique doit continuer. Quels que soient les aléas et les difficultés de toutes sortes. Quels que soient les tourments et les obstacles. Reste en effet son exemple, restent ses œuvres. Tant qu’il demeurera des hommes épris de justice et de vérité, refusant le mensonge et l’imposture, alors rien ne sera perdu, tout restera possible.

Jérôme BOURBON, directeur de RIVAROL.
[email protected]


PS : Les obsèques de Robert Faurisson auront lieu le vendredi 26 octobre à Vichy dans la plus stricte intimité familiale.

On peut commander (Editions des Tuileries, 19 avenue d’Italie, 75013 Paris) pour 10 euros franco le numéro des Ecrits de Paris de mai 2016 avec le texte intégral de la conférence de Robert Faurisson aux Amis de RIVAROL le 9 avril 2016 pour les 65 ans de l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne.

On peut aussi commander pour dix euros franco à la même adresse le testament du Professeur Faurisson paru dans les éditions de RIVAROL du 13 et du 20 octobre 2016.

Editorial du numéro 3349 de RIVAROL daté du mercredi 24 octobre 2018.
Editions des Tuileries, 19 avenue d’Italie, 75 013 Paris.
www.rivarol.com et www.boutique-rivarol.com
Abonnement à RIVAROL deux ans : 215 euros, un an : 125 euros, six mois : 70 euros, trois mois : quarante euros.
Chèque à l’ordre des Editions des Tuileries.


http://blogue-sc.com/2018/10/robert-...ieu-des-laches
 
Old October 23rd, 2018 #10
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Dieudonné visé par une plainte après un tweet saluant la "soif de vérité" de Faurisson

Dieudonné et Faurisson avaient partagé la scène du Zénith en 2008.

L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) a annoncé lundi 22 octobre le dépôt d'une plainte pour apologie du négationnisme contre le polémiste Dieudonné, qui a salué sur Twitter la "soif de vérité" du négationniste Robert Faurisson, mort à l'âge de 89 ans.

"Je perds un ami, un homme exceptionnel qui m'a beaucoup inspiré", a écrit Dieudonné dans un tweet après l'annonce de la mort de Robert Faurisson, plusieurs fois condamné pour ses thèses niant le génocide des juifs. "Je sais que la soif de vérité à laquelle il était enchaîné est à présent apaisée, elle aura fait de sa vie une oeuvre incomparable. Dans un monde normal ta place serait au Panthéon (...) Tu es le seul pour qui je vais m'imposer un devoir de mémoire", ajoute-t-il.

https://www.huffingtonpost.fr/2018/1...on_a_23569009/
 
Old October 23rd, 2018 #11
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Marine Le Pen condamne Bruno Gollnisch après ses propos sur Robert Faurisson

Le négationniste Robert Faurisson est mort dimanche à Vichy. Condamné pour ses thèses antisémites remettant en cause la réalité de la Shoah, il a tout de même reçu l'hommage de Bruno Gollnisch, hier. «Il paraît que ses positions sont abominables, affreuses, qu'elles ne reposent sur rien. Il devrait être facile de le prouver», a déclaré l'eurodéputé RN (ex-FN), jugeant Robert Faurisson «persécuté».

Une prise de position qui a irrité Marine Le Pen. «C'est par ce genre de déclarations que Bruno Gollnisch s'est marginalisé au sein du RN. Nous n'avons au mouvement aucune proximité ni aucune complaisance à l'égard de monsieur Faurisson, qui a fait du révisionnisme l'alpha et l'omega de son existence», indique la présidente du parti d'extrême droite.

Silence complet en revanche lorsqu'on lui demande si Bruno Gollnisch pourrait être sanctionné comme le fut, en son temps, un certain Jean-Marie Le Pen, viré du FN après avoir défendu Pétain et répété que les chambres à gaz étaient «un détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale».

https://www.liberation.fr/direct/ele...urisson_89011/


Marine Le Pen confirme qu'elle est en faveur du maintien de la loi anti-révisionniste

Invitée de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV ce mercredi 19 avril 2017, Marine Le Pen s’est franchement déclarée contre la suppression de la loi Gayssot, c’est-à-dire pour le maintien de cette loi. « Non, non », a-t-elle répondu au journaliste qui lui demandait si elle revenait sur sa condamnation du révisionnisme. Elle a ajouté (à partir de 36'15") :

Quand on me traite de révisionniste, de négationniste, permettez-moi de vous dire que, non seulement ça me touche, ça me blesse. Je trouve ça honteux, voilà, honteux.

http://robertfaurisson.blogspot.com/...le-est-en.html
 
Old October 23rd, 2018 #12
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Alison Chabloz exprime toute sa gratitude au Professeur Robert Faurisson

L’attachement du Professeur Robert Faurisson à la cause révisionniste est resté intact jusqu’à son dernier souffle.

Le décès du Professeur Robert Faurisson, presque immédiatement après sa dernière conférence face à une assemblée captivée par sa personnalité hors du commun, évoque d’autres personnalités qui ont réalisé des sorties tout aussi spectaculaires de la scène de ce monde. En 1673, le dramaturge français Molière s’est effondré alors qu’il interprétait le rôle principal dans sa comédie « Le Malade imaginaire ». Plus récemment, en 1984, l'humoriste britannique Tommy Cooper a été victime d'une crise cardiaque alors qu'il se produisait sur la scène du Royal Variety Show de Londres.

Molière était un satiriste, considéré comme un dissident potentiel, notamment pour des œuvres telles que « Le Misanthrope », dont la description de l'hypocrisie des classes dominantes avait fait scandale et suscité l’indignation des faux vertueux. Cooper était l’un des artistes les plus talentueux de Grande-Bretagne (mais aussi un homme violent). Molière et Cooper sont tous deux statufiés pour leur talent reconnu. Il en va de même pour les suffragettes les plus engagées qui, il y a seulement un siècle, étaient considérées comme les terroristes de l'époque.

Une statue du Professeur Robert Faurisson serait un hommage mérité.

Cependant, comme on pouvait s'y attendre, les ennemis de la liberté d'expression souhaitent que le révisionnisme disparaisse en même temps que le Professeur. Aucune chance. Les premiers travaux de Paul Rassinier, Maurice Bardèche et Arthur Butz étaient des graines que le Professeur Robert Faurisson a cultivées avec sa minutie méthodique et ses qualités d’analyse reconnues. De ses écrits ont germé des pousses vigoureuses qui ont commencé à saper l'historiographie officielle de « l'Holocauste », notamment en ce qui concerne Auschwitz. En commençant avec l’incertain Jean-Claude Pressac et en terminant aujourd’hui par les publications de Germar Rudolf, Carlo Mattogno et Jürgen Graf, l’historiographie révisionniste a donné naissance à un champ de recherche scientifique débordant d’arguments irréfutables.

Grâce au Professeur Robert Faurisson, plus du quart de la population française est aujourd'hui plus que sceptique face à « l'Holocauste ».

Sous prétexte que les livres ne doivent plus être brûlés et que les libertés fondamentales sont intouchables, les dirigeants actuels appliquent des lois de plus en plus strictes pour… brûler des livres et interdire les opinions dissidentes. Cependant, une partie du grand public commence à comprendre l’inutilité de réprimer les « discours de haine » en les assimilant au révisionnisme. Selon des statistiques publiées par l’« Anti-Defamation League » : « Vingt ans d’enseignement de l’Holocauste ont produit un résultat pervers. Dans les deux pays où la négation de l'Holocauste n’est pas punissable [Etats-Unis et Grande-Bretagne], le niveau de négation de l'Holocauste et le scepticisme relatif à l'Holocauste ont très peu varié. Malgré la vigilance de la police et les alertes dans les pays où la négation de l’Holocauste est réprimée, le pourcentage de négationnistes et de sceptiques de l’Holocauste a considérablement augmenté, passant de 5 % à 26 % en France et de 8 % à 11 % en Allemagne. »

Si, comme le prétendent les ennemis de la liberté d'expression, les thèses révisionnistes ne sont qu’une « falsification de l'histoire », il leur suffirait alors de prouver que ces thèses sont erronées. Mais ils sont simplement incapables de le faire. Fasse que la disparition du Professeur Robert Faurisson provoque également la fin de ces méthodes antidémocratiques et répressives ciblant les voix dissidentes.

L'historiographie orthodoxe de « l'Holocauste » est comparable à un zombie qui se promène en marchant sur la tête. Le Professeur Robert Faurisson n’est plus mais son esprit est toujours bien vivant et va continuer à porter ses fruits ; peu importe alors l’absence d’une statue érigée à sa mémoire.

https://alisonchabloz.com/2018/10/23...-final-breath/

BOCAGE-INFO - Dépêche No 172/2018
 
Old October 25th, 2018 #14
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Serein et déterminé

Suite à la mort du Pr. Faurisson, Vincent Reynouard se retrouve en première ligne du combat révisionniste en France. Il remercie ceux qui l'encouragent et répète sa détermination à poursuivre le combat.

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Old October 27th, 2018 #15
alex revision
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Hommage de Georges Theil au Professeur Robert Faurisson, bienfaiteur de l’humanité


Nous venons de perdre un homme d’une immense stature, à vrai dire un bienfaiteur de l’humanité.

De petits esprits, des gobeurs professionnels, des ignorants si nombreux, la cohorte des pervers haineux aussi, vont me dire : « Holà ! Comme vous y allez ! Votre professeur Faurisson n’était rien d’autre qu’un faussaire comme disait Badinter ! N’a-t-il pas été condamné de ce chef ? » En effet, comme Galilée, Michel Servet et autres Giordano Bruno…

Faurisson a eu très tôt l’intuition qu’il y avait une arnaque au cœur du récit officiel de la seconde guerre mondiale, à vilifier injustement le vaincu de ce conflit ; une présentation calquée sur le verdict du procès de Nuremberg de 1946, monument d’iniquité où le vainqueur veut légaliser la mise à mort de ses ennemis vaincus ; dès après la guerre des gens tels que l’ancien résistant et déporté Rassinier commençaient à mettre en doute l’existence de machines à tuer industriellement des détenus des camps de concentration allemands ; celui-ci fait prisonnier et interné pour faits de résistance, trimballé de camp en camp entre 1942 et 1945 avait observé la vie dans ces structures d’enfermement, leur gouvernance interne, leurs installations en matière d’hygiène… Il n’avait jamais remarqué d’installations de mise à mort collective, et avant son décès il avait demandé à Robert Faurisson, déjà intéressé par le sujet, jeune professeur, de poursuivre ces mêmes recherches.

Notre jeune agrégé avait senti très tôt l’importance capitale de la lutte contre les imposteurs propagandistes d’un imaginaire génocide (démenti d’emblée par la documentation concernant les camps eux-mêmes, le Service international de recherches d’Arolsen – sous contrôle allié… et le nombre des prétendus rescapés allocataires de pensions diverses).

Quant à moi, j’avais été comme bouleversé par les pages que le quotidien « Le Monde » avait consacrées en1979 au « problème des chambres à gaz » où Faurisson argumentait brillamment, en véritable juge d’instruction, sur une gravissime accusation contre le Reich allemand, celle d’avoir mis au point des machines de mort par asphyxie de millions d’êtres humains présentés comme ennemis existentiels.

Pierre Guillaume, admirateur et actif soutien du professeur à l’époque, vers la fin des années 80, m’incita à contacter le professeur à son domicile de Vichy ; je devais l’y rencontrer quelques jours plus tard : après de longs moments d’écoute de son discours précis et documenté, avec présentation des arguments pro et contra, j’en sortis émerveillé et comme transformé. Il me confia le soin de rechercher dans un premier temps à la Bibliothèque nationale et aux Archives nationales principalement, une série de documents de toute nature. Il était ainsi fortement demandeur d’éditions de souvenirs de déportés rédigés juste à leur retour des camps ; il avait remarqué que certains de ceux-ci avaient ensuite réécrit ces mêmes souvenirs en y ajoutant à présent… des chambres à gaz, dont ils n’avaient pas fait mention dans la première édition… Phénomène ahurissant montrant à l’évidence comment le bobard avait subjugué nos concitoyens, au point que ceux-ci en étaient et en sont encore « en attente de chambres à gaz ».

Une première manifestation de cette aberration psychologique m’apparut peu après lors d’un congrès à Paris de l’Union des Athées auquel le professeur Faurisson avait été invité pour une brève intervention. J’avais pu me faufiler dans l’assistance comme simple auditeur. Faurisson arriva, sourire légèrement ironique aux lèvres… et d’emblée lança à l’auditoire : « Mesdames et messieurs, je suis flatté et heureux de vous parler. Je vais commencer par vous poser une question essentielle. Vous ne croyez ni à Dieu ni à Diable, n’est-ce pas ? Fort bien… Mais alors, pourquoi croyez-vous donc aux chambres à gaz ? » Des cris, un brouhaha, des « honte à vous ! » s’élevèrent, Faurisson quitta l’estrade pour venir au plus près du public ; un voisin de moi, l’air furieux se précipita alors sur le Professeur en brandissant une canne-épée qu’il dirigea violemment en direction du visage de Faurisson ; j’avais eu le temps de bondir sur l’énergumène et au dernier moment de dévier le coup et tirant violemment le bras de l’agresseur et évitant ainsi d’estropier gravement le Professeur, qui me remercia d’un large sourire. Je n’en demandais pas plus.

Robert Faurisson nous a ouvert les yeux ; et surtout il a été d’un courage indomptable tout au long de son existence. Le révisionnisme de la seconde guerre mondiale est aussi par le fait même une formidable mise en accusation de la caste qui a pris le pouvoir dès après la seconde guerre mondiale, pour mettre en place une exploitation financière et une terreur psychologique ; on comprend certes que les vainqueurs de Dresde, Katyn, Hiroshima, crimes contre l’humanité bien réels et documentés, aient un besoin absolu d’imputer des crimes encore plus grands à leur ennemi vaincu : celui d’avoir mis à mort 6 millions d’innocents, que dis-je, six millions d’élus autoproclamés ! Alors Faurisson, l’indomptable, mort au champ d’honneur, nous a délivré un message libérateur et c’est pour cela qu’il prend rang avec les bienfaiteurs de l’humanité. Pas moins.

Sans remonter très loin, j’ai une particulière admiration pour deux personnages que je tiens pour bienfaiteurs de l’humanité : Louis Pasteur et Alfred Nobel. Observez ce miracle : il y a du Pasteur et du Nobel dans Faurisson. Comme Pasteur nous a laissé le vaccin contre la rage, Faurisson nous a légué aussi un médicament souverain contre la rage, non pas la rage transmise par des loups ou des chiens enragés, mais « la rage de croire » comme il aimait le dire, « cette rage de croire qui s’attrape comme la gale ». Et avec la différence que cette rage de croire nous a été inoculée par nos exploiteurs, avec interdiction de tout diagnostic. Comme Alfred Nobel, Faurisson a mis au point une nouvelle et formidable dynamite, qui peut tout aussi bien être dévastatrice par sa puissance déchaînée, que précieuse pour les travaux publics. Le révisionnisme est bien une dynamite, qui dévaste les « chercheurs holocaustiques », les « historiens » et écrivains de cour, les histrions de « chambres gaz ».

Avec ces moyens nous allons pouvoir apaiser le monde et remettre d’abord sur ses pieds notre Europe, car figurez-vous qu’il n’y a pas d’Europe possible sans victoire du révisionnisme ; comme le Professeur me le confia un jour : « Vous ne vous imaginez même pas encore le nombre de problèmes géopolitiques et psychologiques que résoudra facilement la victoire du révisionnisme ».

Gloire au Professeur Robert Faurisson, bienfaiteur de l’humanité !

BOCAGE-INFO - Dépêche No 187/2018
 
Old October 27th, 2018 #16
alex revision
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L’enterrement du Professeur Robert Faurisson : Konk y était pour nous tous

J’étais aux obsèques de Faurisson hier à Vichy. Je tenais absolument à y assister bien que la famille ait souhaité la plus stricte intimité. Je m’étais dit: On va leur montrer que Faurisson n’était pas seul, que le révisionnisme se porte bien; on sera des centaines, peut-être des milliers, de France et d’ailleurs, aux portes du cimetière. J’avais même un peu peur, je crains la foule et la violence, que ferons nous face aux centaines ou milliers d’opposants venus nous insulter ? Combien y aura-t-il de cars de CRS ?

En fait on était 3, une admiratrice venue de Valenciennes, ma femme, qui n’est pas révisionniste mais qui avait tenu à m’accompagner, et moi; plus la famille de Faurisson évidemment, et encore pas au complet. En tout 30 personnes maxi, jamais vu aussi peu de monde à un enterrement ! Pas un flic, pas un journaliste.

Je me suis excusé auprès d’Yvonne, la soeur de Faurisson, d’être venu malgré les consignes et elle m’a répondu qu’elle était bien contente que je n’aie pas obéi. Les 4 ou 5 bouquets envoyés ont été emportés par les Pompes Funèbres, il ne fallait pas qu’ils soient sur la tombe, pour ne pas attirer l’attention. Une tombe qui n’aura pas d’inscription, par précaution. La bête est morte et enterrée, vous pouvez dormir tranquilles !

L’enterrement était strictement civil, le « professeur » était athée, mais s’il y a un Bon Dieu là haut je suis sûr qu’il va l’accueillir à bras ouverts car il doit être plutôt fier d’avoir créé un type comme Faurisson.

BOCAGE-INFO - Dépêche No 184/2018
 
Old October 28th, 2018 #17
alex revision
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Vincent Reynouard

27/10/2018

Il paraît que je suis l'héritier du professeur Faurisson

Sous le titre "L'héritier adoubé", un article des Inrokuptibles déclare :

"Celui que Robert Faurisson a "adoubé" comme son héritier, nous explique Rudy Reichstadt, c’est Vincent Reynouard. L’homme a déjà purgé plusieurs peines de prison ferme en France. Il vit désormais en exil en Angleterre.

Etendre le texte... Il a pris la parole lors de la dernière conférence de son "maître", ce week-end du 20 octobre. Tous les sites susmentionnés se font l’écho de l’hommage qu’il rend au "professeur Faurisson" et de la vidéo qu’il a commentée et mise en ligne de l’interruption de la conférence. Il ne jouit toutefois pas du même "vernis de respectabilité". Professeur de mathématiques, catholique intégriste et national-socialiste revendiqué, des sites tels Démocratie participative, ouvertement complotistes et antisémites ( il y est question de "juifs tétanisés" et d'"inquisition hébraïque"), le relaie. Au banquet annuel de Rivarol en 2011 dont il était l'invité d'honneur, il déclare, dans ce que l'assistance accueille comme un trait d'humour : "Vous me traitez de néo-nazi. Moi je dis : pourquoi néo?" Héritier, il se veut aussi le gardien de la mémoire de Robert Faurisson : "son décès ne nous laisse pas orphelin car le chef de file des révisionniste fait partie de ces hommes qui vivent avant tout par son travail. Or, son travail nous reste. Si donc physiquement Robert Faurisson n'est plus là, son esprit lui, demeure et il demeurera avec son oeuvre", il poursuit, parlant du temps où son travail sera "reconnu" : "ce jour-là, votre quenelle d'or deviendra une distinction officielle". Cette quenelle fut remise en juin 2018 par Dieudonné, et transmise par Alain Soral. Ce dernier, se réclamant ce vendredi 26 octobre de Vincent Reynouard, affirme qu'un "renouveau nationaliste et de fierté d'un peuple national", ne pourra se faire "tant que le révisionnisme historique est interdit [...]. Tout le reste est du mensonge et du bricolage". Pour Rudy Reichstadt, Vincent Reynouard désormais est "le gardien du 'temple faurissonien'. Il fait du négationnisme une véritable croisade personnelle.". "

Je le dis tout de suite : ce n'est pas moi qui bénéficierai des archives du professeur Faurisson. Le Professeur ne m'a pas désigné comme son héritier. Cet honneur, je ne l'ai d'ailleurs jamais réclamé. Le Professeur préférait quelqu'un d'autre, plus posé que moi. Cette personne, je la connais et je m'entends très bien avec elle. Car chez moi, pas de jalousie... Je me contente de remplir ma mission. Les honneurs de ce bas-monde ne représentent rien à mes yeux. L'important est ailleurs, au-delà de cette vie. Quand je mourrai, je veux qu'on jette mon corps à la fosse commune. Ma dépouille mortelle ainsi que ma personne sont sans intérêt. Ce qui compte, c'est la Vérité qu'on a servi. C'est elle qui doit rester.

Je vous souhaite à Toutes et à Tous une bonne soirée.

Vincent

Source de l'article : https://www.lesinrocks.com/2018/10/2...ere-111136899/


Last edited by alex revision; October 28th, 2018 at 01:20 PM.
 
Old October 28th, 2018 #18
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Vincent Reynouard

27/10/2018

Hommage au professeur Faurisson

Hier ont eu lieu les obsèques du professeur Faurisson. A cette occasion, l'équipe de "Sans Concession" et moi-même avons fait déposer l'hommage suivant.

On se retrouvera tous dans un monde meilleur...

Vincent

 
Old November 5th, 2018 #19
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Dernière conférence du Professeur Faurisson

Dernière conférence de Robert Faurisson, prononcée à Shepperton, village natal du professeur, le 20 octobre 2018.

Traduction et sous-titrage : Équipe Sans Concession

Retrouvez toutes nos vidéos sur : http://blogue-sc.com

https://www.bitchute.com/video/H7T5VPAGuBgh/

https://rutube.ru/video/02b433a8310f...9&pl_type=user

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Old February 12th, 2019 #20
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L’hommage choc de Jérôme Bourbon au professeur Faurisson

Le 25 janvier dernier fut décerné le premier « Prix International Robert Faurisson ». A cette occasion, le créateur de ce prix, Giuseppe Fallisi, a prononcé une émouvante allocution de trois minutes sur la tombe du Professeur. Dans la journée, le directeur de Rivarol a rendu hommage au défunt chef de fils des révisionnistes. Un hommage concis (8 minutes) mais choc et sans concession. Avec sa verve habituelle, Jérôme Bourbon a dénoncé nos éternels ennemis. Deux allocutions à ne pas rater.

Sur Bitchute : https://www.bitchute.com/video/biwhvixjPV9A/

Sur Rutube : https://rutube.ru/video/c2adfbf0ac30...9&pl_type=user

Blogue SC : https://blogue-sc.com/2019/02/lhomma...seur-faurisson

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