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Old October 26th, 2014 #1
alex revision
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Default Dr William Pierce : L’Esprit faustien / La mesure de la grandeur / Fierté blanche

L’Esprit faustien

William Pierce


L’article suivant est une élaboration d’une partie d’un discours du Dr. William Pierce devant la Convention Générale de la National Alliance en septembre 1978, intitulé « La vision-du-monde de la National Alliance ».


A la fin du Moyen Age vivait en Allemagne un remarquable savant passant pour avoir déchiffré les mystères de la Nature et pour pouvoir employer sa connaissance de manières merveilleuses et magiques. Certains le regardaient comme un alchimiste habile, qui avait acquis ses pouvoirs par un travail assidu dans son laboratoire ; d’autres disaient qu’il n’était qu’un charlatan qui était davantage un maître des tours de passe-passe que de l’alchimie ; mais la plupart en vinrent finalement à le regarder comme un magicien qui avait fait un pacte avec le Diable, échangeant son âme en échange de connaissances et de pouvoirs.

Le mystérieux savant était le Docteur Johann Faust (v. 1480–v. 1538), et les nombreuses légendes qui apparurent sur lui enflammèrent les imaginations d’écrivains, de poètes et de compositeurs pendant plusieurs générations. Un demi-siècle après sa mort fut publié en Allemagne un livre contenant ces légendes, Historia von Dr. Johann Fausten, par Johann Spiess, qui parut bientôt aussi dans des traductions anglaise et française.

A la fin du XVIe siècle, l’acteur anglais Christopher Marlowe écrivit sa Tragical History of Doctor Faustus, basée sur ces légendes. Après cela, d’innombrables autres auteurs reprirent le thème de Faust : le thème de l’homme cherchant à dépasser ses limites imposées, cherchant la connaissance au-delà de ce qui était permis aux autres.

Le plus célèbre auteur dans cette veine fut Johann Wolfgang von Goethe, dont la première partie du long poème dramatique Faust fut publiée en 1808. S’inspirant principalement de l’œuvre de Goethe, Berlioz et Gounod, entre autres, composèrent des opéras. Durant tout le XIXe siècle et même au XXe, des symphonies, des poèmes, des pièces et des nouvelles traitant de la légende de Faust continuèrent à apparaître.

Le sujet fait manifestement écho avec quelque chose de profond dans l’âme européenne. En fait, on pourrait facilement voir un précurseur de la légende de Faust dans celle d’Odin, dont la quête de vérité et de connaissance le conduisit à sacrifier l’un de ses yeux et à rester pendu pendant neuf jours sur l’Arbre du Monde.

Dans les nombreuses versions de la légende de Faust divers éléments sont soulignés, mais le thème persistant est celui mentionné précédemment : des hommes exceptionnels partant en quête d’une compréhension de la vie et de la Nature ; l’élan vers un nouveau niveau d’existence, vers le plein développement de pouvoirs latents.

C’est de ce thème persistant, plutôt que du récit semi-historique de la vie du Dr. Johann Faust ou de l’une des œuvres de fiction utilisant son nom, que nous tirons la signification aujourd’hui attachée à l’adjectif « faustien ». Le mot se réfère à une tendance spirituelle de la race qui a montré une telle fascination durant tous les âges pour l’idée contenue dans la légende de Faust. Il décrit un besoin ou un élan fondamental, latent dans l’âme de l’homme européen – et actif chez quelques Européens exceptionnels.

L’élan faustien de notre âme raciale nous dit : « Tu ne seras jamais en repos ni satisfait, quels que soient tes accomplissements. Tu dois lutter tous les jours de ta vie. Tu dois découvrir toutes choses, connaître toutes choses, maîtriser toutes choses ».

L’élan faustien de l’homme européen est très différent de l’élan de l’âme levantine à accumuler, à posséder, le besoin d’entasser de l’argent au-delà de toute raison, le désir d’accroissement personnel. Et il est bien sûr antithétique à ce qu’on pourrait appeler la mentalité mañana des peuples latins, qui leur dit : « Jouissez de la vie. Ne vous pressez pas. Vous n’avez pas besoin de savoir ce qui se trouve derrière le prochain sommet ».

Il est la source de notre agitation fondamentale en tant que race, tout comme de notre curiosité fondamentale. C’est ce qui fait de nous des aventuriers, nous pousse à risquer nos vies dans des entreprises qui ne peuvent nous apporter aucun bénéfice matériel concevable – quelque chose qui est complètement étranger aux autres races, habituées à juger toutes choses d’après leur seule utilité.

C’est l’élan faustien qui a fait de notre race la principale race des explorateurs, qui nous a conduits à escalader les plus hautes montagnes dans des pays habités par des hommes d’autres races qui se contentaient de toujours rester dans les vallées. Plus que l’intelligence seule, c’est ce qui a aussi fait de nous la principale race des scientifiques – surtout aux époques où la pratique de la science n’était pas encore une profession bien payée. C’est ce qui nous a envoyés sur un autre monde et qui nous entraîne maintenant vers les étoiles. Mais l’élan faustien est aussi davantage que toutes ces choses. Il élève ceux qui en sont imprégnés au-dessus des hommes économiques qui, aux yeux des politiciens occidentaux et des commissaires de l’Est, des chefs d’entreprise et des capitaines d’industrie, des démocrates néolibéraux tout comme des républicains conservateurs, sont les seuls habitants de la terre. Il fait de l’homme plus qu’un simple consommateur ou producteur. Plus que toute autre chose, il est la manifestation du Divin dans l’âme humaine.

La scène d’ouverture du Faust de Goethe transmet l’idée de l’esprit faustien exprimée ci-dessus : Faust est un savant agité qui a exploré toutes les connaissances humaines mais dont l’âme demeure insatisfaite, son désir de vérité ultime inassouvi. Seul dans son étude, tard dans la nuit, il regarde avec un mélange de crainte et de désir le signe du macrocosme, et il se dit : « Est-ce un dieu qui a gravé ce signe qui calme mon tumulte intérieur et qui remplit mon cœur de joie, par lequel une force mystérieuse dévoile les secrets de la Nature tout autour de moi ?… Où pourrai-je te saisir, ô Nature infinie ? »

Mais Goethe peint d’autres aspects du caractère de son personnage, en plus de celui que nous avons appelé « faustien ». Un adjectif meilleur, ou en tous cas moins ambigu, pourrait bien être « odysséen » ou « ulysséen », parce que le poète anglais Alfred Tennyson, dans un bref poème, cerne de plus près l’idée que nous voulons transmettre, mieux que Goethe ou que l’un des autres auteurs ayant traité de la légende de Faust.

Le désir du héros de Tennyson est de « suivre la connaissance comme une étoile filante / au-delà de l’extrême limite de la pensée humaine ». Pour Ulysse, « toute expérience est une porte à travers laquelle / brille ce monde inexploré dont la limite s’efface / toujours et encore quand je suis en mouvement ».

Même à un âge avancé, après une vie mieux remplie et plus mouvementée que celle des hommes ordinaires, Ulysse dit : « Il n’est pas trop tard pour rechercher un nouveau monde / …mon but est toujours / de voguer au-delà du soleil couchant, et du site / de toutes les étoiles occidentales, jusqu’à ce que je meure ». Il se voit lui-même comme « affaibli par le temps et le destin, mais renforcé par la volonté / de lutter, de chercher, de trouver, et de ne pas renoncer ».

Et de même que le Faust de Goethe est opposé à son famulus, ou étudiant-serviteur, le pédant Wagner, Tennyson oppose encore plus fortement – et d’une manière beaucoup plus concise – à Ulysse son fils Télémaque, un homme de « grande prudence… concentré sur le domaine / des devoirs ordinaires », et manquant complètement de l’esprit animant son père. Cependant, l’usage commun préfère « faustien » à « ulysséen », et nous nous en satisferons.

D’un point de vue strictement anthropologique, nous pourrions trouver une indication de la tendance faustienne de l’homme européen dans les particularités de son développement évolutionnaire. Pendant 10.000 générations, il fut un chasseur des troupeaux de bisons et de rennes et de mammouths qui parcouraient les plaines glacées de l’Europe du Nord durant les ères glaciaires. Nous pouvions donc nous attendre à ce qu’il manifeste cet esprit de curiosité, qui est la marque du prédateur, que ce soit un chat ou un homme – mais nous pouvons aussi nous demander pourquoi d’autres races qui connurent une telle période de chasse ne manifestent pas cet esprit au même degré.

Nous pouvions nous attendre, parce que nos ancêtres suivirent les troupeaux dans leurs migrations saisonnières durant tant de siècles, ne possédant que les biens qu’ils pouvaient transporter sur leur dos, à ce qu’ils aient acquis la turbulence des peuples errants, alors que des races plus sédentaires sont devenues, à travers les âges, plus inclinées à l’accumulation et moins à l’exploration. Mais, encore une fois, il y a eu des races nomades plus au sud qui ne semblent pas avoir intégré l’esprit faustien.

La rigueur du climat nordique, l’épreuve des saisons toujours changeantes formèrent certainement le caractère de notre race autant que tout autre facteur. L’agressivité, l’esprit d’aventure, la hardiesse sont des traits qui permirent à nos ancêtres de trouver et d’exploiter les moindres possibilités de survie dans un environnement dur et impitoyable. Mais les peuples mongoloïdes, qui évoluèrent dans un environnement à peu près aussi dur, semblent avoir répondu d’une manière quelque peu différente à ce défi et sont aujourd’hui caractérisés plus par l’impassibilité que par l’esprit d’aventure.

Nous pouvons seulement en conclure que l’esprit faustien est la conséquence d’une combinaison unique et transitoire de facteurs causaux, auxquels une seule race fut exposée durant une période juste assez longue pour subir la transformation génétique nécessaire et lui donner une base raciale ténue. Même dans notre race, cet esprit ne se manifeste fortement que chez les quelques-uns qui préfèrent l’aventure à l’avantage, l’accomplissement à l’acquisition, la connaissance de soi à l’autosatisfaction, la conquête de nouveaux mondes au confort et à la sécurité de l’ancien, une vraie compréhension de l’Absolu aux dogmes d’une orthodoxie bornée.

La race qui est la porteuse de cet esprit doit donc veiller soigneusement à ce que sa base génétique soit préservée – qu’elle ne devienne pas seulement une race de juristes, d’employés, de travailleurs et de marchands, mais qu’elle demeure aussi une race de philosophes, d’explorateurs, de poètes et d’inventeurs : ceux qui cherchent la connaissance ultime, qui tendent vers la perfection qui est le Divin.

Si nous adoptons le point de vue le plus élevé, nous pouvons voir que l’esprit faustien, si ténu qu’il puisse être, est la véritable justification de l’existence de l’homme européen.

Source : National Vanguard, n° 65, 1978 ; reproduit dans The Best of Attack! and National Vanguard Tabloid, ed. Kevin Alfred Strom (Arlington, Va.: National Vanguard Books, 1984), p. 145.

Last edited by alex revision; October 26th, 2014 at 05:27 AM.
 
Old October 26th, 2014 #2
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La mesure de la grandeur

William Pierce


Le 20 avril de cette année [1989] est le 100ème anniversaire de la naissance du plus grand homme de notre ère : un homme qui osa plus et réussit plus, qui plaça son but plus haut et s’éleva plus haut, qui comprit plus profondément et remua les âmes de ceux qui étaient autour de lui plus puissamment, qui fut plus profondément en accord avec la Force de Vie qui anime le Cosmos et qui lui donne son sens et son but, et qui fit plus pour servir cette Force de Vie, que tout autre homme de notre temps.

Et pourtant il est l’homme le plus calomnié et le plus haï de notre époque. Seuls quelques dizaines de milliers d’hommes et de femmes, dans des groupes dispersés autour du monde, célébreront sa naissance avec amour et respect le 20 avril, alors que tous les scribouillards et les commentateurs des médias sous contrôle, les politiciens sous contrôle, et les hommes d’église sous contrôle, déverseront sur lui leur haine et leur venin et leurs mensonges, et ces mensonges seront crus par des centaines de millions de gens. Quelle est la mesure de la grandeur d’un homme ?

Seul le démocrate le plus vulgaire et le plus doctrinaire identifiera la grandeur avec la popularité – bien que dans tout sondage auprès des citoyens moyens au sujet de l’identité du plus grand homme du siècle, il y aura à coup sûr un nombre de votes substantiel en faveur d’Elvis Presley, John Kennedy, Billy Graham, Michael Jackson, et diverses autres médiocrités hautement visibles : des amuseurs charismatiques sur la scène de la politique, des concerts de rock, des sports-spectacles, ou tout ce que vous voudrez.

Les citoyens les plus sérieux laisseront les médiocres de coté et choisiront des hommes qui ont changé le monde d’une certaine manière. Nous entendrons des noms comme Franklin Roosevelt (« il a sauvé le monde du fascisme »), Albert Einstein (« il nous a donné un enseignement sur la nature de l’univers »), et Martin Luther King (« il nous a aidé à réaliser la justice raciale »), selon que les inclinations personnelles [des personnes interrogées] aillent plus vers la politique, la science, ou le masochisme racial, respectivement.

Mais si le sondage porte sur l’identité de l’homme le plus mauvais du siècle, l’homme le plus haï, ou l’homme ayant eu l’influence la plus négative, au moins les trois-quarts des travailleurs et des employés de bureau citeront ensemble un homme : Adolf Hitler. Cependant, cela est seulement un reflet du rôle que lui font jouer les médias sous contrôle, plutôt qu’un choix bien informé et raisonné.

Tout cela soulève plusieurs questions très intéressantes. Il y a, par exemple, la question de savoir comment nous sommes parvenus à la situation absurde prévalant aujourd’hui, pourquoi nous plaçons la destinée de notre nation, de notre planète et de notre race dans les mains d’une masse de votants dont la faculté de jugement se manifeste dans des choses comme le genre de divertissement télévisés qu’ils ont préférés dès le début, et le genre d’hommes qu’ils ont élus à des charges publiques. Et il y a la question tout aussi importante de savoir comment, connaissant la facilité avec laquelle on peut tromper cette masse, nous avons permis que presque tous les médias d’information et de divertissement tombent aux mains d’une race dont les intérêts sont si diamétralement opposés aux nôtres.

Peut-être encore plus pertinente cependant, concernant la grandeur humaine, est la question de savoir comment notre système de valeurs en est venu à être inversé, pour que Franklin Roosevelt soit considéré comme un héros et Adolf Hitler comme un scélérat, pas seulement par les masses lourdaudes et abruties, mais aussi par une majorité des gens de l’élite soi-disant « éduquée », nombre d’entre eux étant fiers de leur indépendance intellectuelle.

Que nous jugions la grandeur d’un homme par ses qualités intrinsèques de caractère et d’âme, ou par ses réalisations, Adolf Hitler eut de la grandeur, à un plan très élevé – si nous utilisons les valeurs traditionnelles de notre race.

Nous ne pouvons, bien sûr, faire de comparaison avec tous les « génies inconnus et sans gloire » que le manque de réussite notable a rendu anonymes, en dépit des solides qualités qu’ils ont pu posséder. Mais lorsque la personnalité de Hitler est comparée à celle des autres dirigeants politiques du XXe siècle, il apparaît comme un géant parmi des pygmées.

A un niveau prosaïque, nous pouvons noter ses habitudes personnelles ascétiques, comparées à l’ivrognerie habituelle et la vanité notoire de Churchill ; ou sa loyauté personnelle envers ceux qui avaient été ses camarades au temps du combat politique, comparée à l’habitude de Staline de faire tuer ses anciens camarades par douzaines, en tant que rivaux potentiels, dès qu’il n’avait plus besoin de leurs services ; ou son style direct, franc et sans détours, comparé à l’esprit rusé et tortueux qui était la marque de Roosevelt.

A un niveau spirituel, les différences profondes entre Hitler et ses contemporains sont encore plus frappantes. Hitler était un homme avec une mission, depuis le début. Le témoignage de ses plus proches associés, depuis sa jeunesse jusqu’à la fin de sa vie, s’accorde avec les observations d’observateurs plus distants et plus impartiaux : Hitler avait un sens mystique de la destinée, la conscience d’avoir été choisi et appelé par une puissance plus élevée, pour dédier sa vie au service de sa race.

Son compagnon de jeunesse August Kubizek a rapporté une preuve extraordinaire de cela, lorsque Hitler était âgé de seulement seize ans (August Kubizek, Adolf Hitler, mon ami d’enfance [Graz 1953], pp. 127-135). Vingt ans plus tard, alors qu’il était en prison après une tentative infructueuse de renverser le gouvernement, Hitler lui-même parla de sa motivation d’une manière qui révèle la hauteur de sa vision :


Ce pour quoi nous devons lutter est la sécurité de l’existence et la reproduction de notre race et de notre peuple, la subsistance de nos enfants et le maintien de la pureté de notre sang … pour que notre peuple soit prêt à la réalisation de la mission qui lui a été assignée par le Créateur de l’Univers.

Chaque pensée et chaque idée, chaque doctrine et chaque connaissance doit servir ce but. Et tout doit être examiné selon ce point de vue, et utilisé ou rejeté selon son utilité. Alors aucune théorie ne se figera en doctrine morte, car c’est la vie seule que toutes les choses doivent servir …

… La philosophie nationale-socialiste définit l’importance de l’espèce humaine selon ses éléments raciaux de base. Dans l’Etat, elle voit par principe un moyen pour atteindre une fin, et interprète cette fin comme la préservation de l’existence raciale de l’homme …

Et donc la philosophie nationale-socialiste de la vie correspond à la volonté profonde de la Nature, car elle restaure ce libre jeu de forces qui doit conduire à une amélioration continue de la race, jusqu’à ce que finalement l’élite de l’humanité, ayant pris possession de cette terre, ait le champ libre dans des domaines d’activité qui se situeront en partie au-dessus d’elle, et en partie en-dehors d’elle.

Nous sentons tous que dans un avenir lointain, l’humanité aura à faire face à des problèmes dont seule une race supérieure, devenue la race des Seigneurs, et appuyée par les moyens et les ressources du globe tout entier, pourra triompher …

Ainsi, le but le plus élevé d’un Etat national-socialiste est de se préoccuper de la préservation de ces éléments raciaux originels qui apportent la culture et créent la beauté et la dignité d’une plus haute humanité. Nous, Aryens, ne pouvons concevoir l’Etat que comme l’organisme vivant d’une nationalité qui n’assure pas seulement la préservation de cette nationalité, mais qui, par le développement de ses aptitudes spirituelles et de ses idéaux, la conduit à la plus haute liberté …

Un Etat national-socialiste doit commencer par élever le mariage au-dessus de la souillure continuelle de la race et lui donner la consécration d’une institution qui est appelée à produire des images du Seigneur, et non des monstruosités à mi-chemin de l’homme et du singe …

Il doit placer la race au centre de toute la vie. Il doit prendre soin de la conserver pure. Il doit considérer l’enfant comme le trésor le plus précieux du peuple. Il ne doit se préoccuper que des enfants sains …

L’Etat national-socialiste doit s’assurer que par une éducation appropriée de la jeunesse, il obtiendra un jour une race mûre pour les décisions ultimes et les plus élevées sur cette terre …

… Quiconque désire guérir cette époque, qui est profondément malade et corrompue, doit d’abord trouver le courage de dénoncer les causes de la maladie. Et cela doit être la préoccupation du mouvement national-socialiste : abandonner toute étroitesse d’esprit, pour rassembler et organiser parmi les rangs de notre nation ces forces capables de devenir les combattants d’avant-garde pour une nouvelle philosophie de la vie …

Nous ne sommes pas assez simplets pour croire qu’il serait jamais possible d’instaurer une ère parfaite. Mais cela ne délivre personne de l’obligation de combattre les erreurs reconnues, de triompher des faiblesses, et de lutter pour un idéal. La dure réalité par elle-même créera bien trop de limitations. Pour cette raison même, cependant, l’homme doit tenter de servir le but ultime, et les échecs ne doivent pas le décourager, pas plus qu’il ne peut abandonner un système judiciaire parce que des erreurs s’y glissent, ou pas plus que la médecine ne peut être abandonnée parce qu’il y aura toujours des maladies malgré elle.

Nous, Nationaux-Socialistes, savons qu’avec cette conception nous nous présentons comme des révolutionnaires dans le monde d’aujourd’hui et que nous sommes dénoncés comme tels. Mais nos pensées et nos actions ne doivent en aucune manière être déterminées par l’approbation ou la désapprobation de notre époque, mais par l’obligation d’être fidèles à une vérité que nous avons reconnue ».
(Mein Kampf)


Les adversaires de Hitler, Churchill et Roosevelt, étaient des politiciens, avec un esprit et une âme de politiciens. Des buts élevés, impersonnels, de même que la vérité, ne signifiaient absolument rien pour eux. La seule chose qui comptait pour eux était l’approbation ou la désapprobation de leur époque : le résultat de la prochaine élection, une bonne couverture de presse, des suffrages. Seul Staline partageait en quelque manière le dédain de Hitler pour l’approbation ; seul Staline était motivé à un certain degré par une idée impersonnelle. Mais l’idée que Staline servait était l’idée étrangère du marxisme juif. Et alors que Hitler servait la Force de Vie avec l’instinct d’un voyant, Staline servait le marxisme avec l’instinct d’un bureaucrate et d’un boucher. Une comparaison des carrières nous conduit à une échelle similaire de la grandeur d’âme. Churchill et Roosevelt étaient nés à l’intérieur de l’establishment politique. Ils se nourrirent à la mangeoire publique pendant des années, dans un service après l’autre, saisissant avidement les opportunités d’obtenir une plus grosse portion de pâtée. Mais ce furent les circonstances, pas leurs propres efforts, qui les poussèrent sur la scène de l’histoire mondiale.

Staline se tailla sa propre place dans l’histoire à une échelle bien plus grande que ses alliés occidentaux, et il fut un homme incomparablement plus fort que n’importe lequel d’entre eux. Cependant, il était impitoyable, rusé, et totalement déterminé à l’emporter, quels que soient les obstacles. Même ainsi, son combat pour la prééminence et pour le pouvoir eut lieu entièrement à l’intérieur du parti bolchevik et contre ses prédécesseurs. Il fut un combattant bureaucratique consommé, pas un innovateur ou un pionnier solitaire.

Seul Adolf Hitler partit littéralement de rien, et par l’exercice d’une volonté surhumaine, il créa la base physique nécessaire à la réalisation de sa vision. En 1918, alors qu’il se remettait d’une attaque par gaz des Britanniques dans un hôpital pour vétérans, il prit la décision d’entrer en politique pour servir cette vision. Il était un invalide de 29 ans, sans argent, sans famille, sans amis ni appuis, sans éducation universitaire, et sans expérience. Les libéraux, les Juifs et les communistes dominaient son pays, faisant de lui et de tous ceux à qui il pouvait faire appel des marginaux.

Cinq ans et demi plus tard, il fut condamné à cinq ans de prison pour son activité politique, et ses ennemis pensaient que c’était la fin pour lui et son mouvement. Mais moins de neuf ans après cette condamnation, il était Chancelier d’Allemagne, avec la nation la plus forte et la plus avancée d’Europe sous son autorité. Il avait construit le mouvement national-socialiste et l’avait conduit à la victoire contre l’opposition organisée de tout l’Establishment : les conservateurs, les libéraux, les communistes, les Juifs, et les chrétiens.

Il transforma ensuite l’Allemagne, la tirant de sa dépression économique (pendant que les Américains, sous Roosevelt, continuaient à faire la queue à la soupe populaire), restaurant son esprit (ainsi qu’une grande partie des territoires qui lui avaient été pris par les vainqueurs de la Première Guerre Mondiale), stimulant sa créativité artistique et scientifique, et provoquant l’admiration (et dans certains cas, l’envie et la haine) des autres nations. Ce fut une réussite presque sans équivalent dans l’histoire du monde. Même ceux qui ne comprennent pas la signification réelle de sa création doivent concéder cela.

Et quelle était la signification réelle de l’œuvre d’Hitler ? L’une de ses admiratrices les plus méritoires en Inde, Savitri Devi, nous a donné une réponse poétique à cette question. Elle écrivit :


Dans son essence, l’idée nationale-socialiste dépasse non seulement l’Allemagne et notre époque, mais aussi la race aryenne et l’humanité elle-même et toutes les époques … elle exprime en définitive cette sagesse mystérieuse et inépuisable avec laquelle la Nature vit et créée : la sagesse impersonnelle de la forêt primale et de la profondeur de l’océan et des sphères dans les sombres étendues de l’espace ; et … c’est la gloire d’Adolf Hitler, non seulement d’être revenu à cette sagesse divine – stigmatisant la stupide infatuation de l’homme pour ‘l’intellect’, sa fierté infantile du ‘progrès’, et sa tentative criminelle d’asservir la Nature – mais aussi d’en avoir fait la base d’une politique de régénération pratique de portée mondiale, à ce moment précis, à la fin même de l’Age Sombre. (Savitri Devi, The Lightning and the Sun)


Plus prosaïquement, l’œuvre d’Hitler, contrairement à celle de ses contemporains, fut au-dessus de la politique, au-dessus de l’économie, au-dessus du nationalisme. Il avait mobilisé un Etat puissant, moderne, et l’avait placé au service de notre race, afin que notre race puisse être prête à servir, en tant qu’agent de la Force de Vie.

De jeunes hommes perspicaces et idéalistes de toutes les nations d’Europe – et aussi de nombreuses nations en-dehors de l’Europe – reconnurent cette signification, et ils se rassemblèrent pour le servir et pour combattre pour sa cause, même au prix de la censure et de l’ostracisme appliqués par leurs compatriotes plus provinciaux et plus étroits d’esprit.

Il n’exista jamais auparavant une force combattante d’élite comparable à la Waffen SS, qui à la fin de la Seconde Guerre Mondiale comptait plus de non-Allemands que d’Allemands dans ses rangs.

La guerre, bien sûr, est comptée comme le plus grand échec de Hitler, et même comme la preuve de son manque de grandeur, par ses détracteurs. Cela prouve simplement qu’il était un homme, pas un dieu, même si une volonté divine agissait à travers lui, et qu’il ne pouvait pas réaliser de miracles. Il ne pouvait plus se défendre à la fin, avec les gouvernements du monde presque entier alliés dans une guerre totale pour l’abattre et détruire sa création, afin qu’eux et les intérêts qu’ils servaient puissent revenir à leurs « petites affaires habituelles ». Même ainsi, il a donné un témoignage de lui-même bien supérieur à celui de n’importe lequel de ses adversaires.

Et ce qui comptera sur le long terme pour déterminer la stature d’Adolf Hitler n’est pas de savoir s’il perdit ou gagna la guerre, mais plutôt si c’était lui ou ses adversaires qui était du côté de la Force de Vie, si c’était lui ou eux qui servait la cause de la Vérité et du progrès humain. Il nous suffit aujourd’hui de regarder autour de nous pour savoir que ce n’était pas eux.

http://www.counter-currents.com/2011...ur/#more-14381
 
Old October 26th, 2014 #3
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La libre parole d’un racialiste américain


William L. Pierce.


Fondateur de la National Alliance, qui a incarné sur un quart de siècle l’aile la plus radicale du mouvement nationaliste blanc américain, William L. Pierce (1933-2002) faisait diffuser un autocollant disant : « L’espèce la plus menacée sur la Terre : la race blanche. Aidez-nous à la préserver. »

Habité par la défense et la survie de notre race, Pierce a consacré sa vie au combat contre toutes les forces acharnées à nous détruire à travers une gigantesque subversion des valeurs et la promotion systématique d’une société de métis : lobbies d’une immigration de peuplement toujours plus agressive, groupes organisés de la décomposition sociale (féministes, homosexuels), etc.

Loin de la mentalité légaliste des conservateurs, Pierce a compris très tôt que le Blanc clairvoyant est désormais l’ennemi numéro un de la pourriture officielle, de la Subversion installée. Il n’a cessé de nous enseigner que, dépossédés de tout, nous devons adopter une attitude résolument offensive. Les droits, en effet, ne se quémandent pas, ils se conquièrent, car, nous rappelle Pierce, « la lâcheté et la liberté ne sont pas et n’ont jamais été compatibles ».

À l’heure de la plus grande urgence, Pierce a aussi été l’un des premiers à envisager des perspectives inédites pour notre survie, telle l’idée d’un homeland blanc délibérément séparé d’un monde à la dérive.

Dans une longue présentation, l’un des traducteurs revient sur la radicalisation du conservatisme aux États-Unis et retrace les grandes étapes du mouvement nationaliste blanc et de la racialisation croissante de la vie politique américaine.


 
Old November 21st, 2019 #4
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La libre parole d’un racialiste américain

William L. Pierce.

Fondateur de la National Alliance, qui a incarné sur un quart de siècle l’aile la plus radicale du mouvement nationaliste blanc américain, William L. Pierce (1933-2002) faisait diffuser un autocollant disant : « L’espèce la plus menacée sur la Terre : la race blanche. Aidez-nous à la préserver. »

Habité par la défense et la survie de notre race, Pierce a consacré sa vie au combat contre toutes les forces acharnées à nous détruire à travers une gigantesque subversion des valeurs et la promotion systématique d’une société de métis : lobbies d’une immigration de peuplement toujours plus agressive, groupes organisés de la décomposition sociale (féministes, homosexuels), etc.

Loin de la mentalité légaliste des conservateurs, Pierce a compris très tôt que le Blanc clairvoyant est désormais l’ennemi numéro un de la pourriture officielle, de la Subversion installée. Il n’a cessé de nous enseigner que, dépossédés de tout, nous devons adopter une attitude résolument offensive. Les droits, en effet, ne se quémandent pas, ils se conquièrent, car, nous rappelle Pierce, « la lâcheté et la liberté ne sont pas et n’ont jamais été compatibles ».

À l’heure de la plus grande urgence, Pierce a aussi été l’un des premiers à envisager des perspectives inédites pour notre survie, telle l’idée d’un homeland blanc délibérément séparé d’un monde à la dérive.

Dans une longue présentation, l’un des traducteurs revient sur la radicalisation du conservatisme aux États-Unis et retrace les grandes étapes du mouvement nationaliste blanc et de la racialisation croissante de la vie politique américaine.


 
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