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Old October 11th, 2016 #1
alex revision
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Un correspondant, que nous remercions, nous envoie la terrible nouvelle suivante :

Aujourd'hui, à 8(8) ans, Ursula Haverbeck vient d'être condamnée à 11 mois de prison ferme pour sédition.

La loi allemande punit l’incitation à la haine contre toute partie de la population. Quiconque nie, minimise ou fait l'apologie des événements de la seconde guerre mondiale peut être condamné à un maximum de cinq ans de prison.

D’après le média allemand "Deutsche Welle", Haverbeck a manqué de respect durant les procédures et fait des commentaires offensants dans la salle du tribunal.


C'était, en effet, aujourd'hui même qu'elle passait en jugement devant le tribunal de Bad Oeynhausen.

http://ungraindesable.the-savoisien....rison-ferme%21
 
Old October 14th, 2016 #2
alex revision
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La révisionniste allemande de 88 ans Ursula Haverbeck, qui a déjà essuyé de multiples condamnations, dont deux fois à des peines de prison, refuse de courber l’échine et se retrouvait à nouveau au tribunal en ce début de mois d’octobre. Récit de l’audience par le site du parti allemand Die Rechte.

Ursula Haverbeck compte parmi les dissidents les plus connus d’Allemagne. Mardi dernier la courageuse combattante pour une Allemagne libre, un mois après avoir fêté ses 88 ans, comparaissait devant un tribunal national, une fois de plus, pour son engagement pour la liberté de pensée et la liberté de recherche.

Haverbeck ne se laisse intimider par rien, ni par quiconque : aucun juge, aucun procureur n’a pu réussir à clouer le bec à notre courageuse dénonciatrice. Aussi bien depuis une quinzaine d’années elle poursuit son Odyssée dans les prétoires allemands : à Hambourg, à Munich, de Berlin à Bielefeld. Mardi le tribunal fédéral de Bad Oeynhausen l’a condamnée pour quatre points tirés de son site Internet qui contreviennent au paragraphe 130 StGB (incitation à la haine raciale). L’association locale de Rechte (Lippe-Westphalie orientale) était représentée par un membre de ces lieux, qui a fait ce rapport exclusif sur cette mémorable journée.

Affluence importante pour une salle bien petite

Très tôt depuis le matin, les supporters de Haverbeck attendaient devant le bâtiment du tribunal, pour avoir les meilleures places assises à l’intérieur. Bien que les autorités fussent informées – du fait que les procès de contestataires attirent toujours un grand nombre de supporters critiques – , on avait sciemment choisi pour les débats une salle des débats bien trop exigüe. C’est ainsi qu’avaient été prises les dispositions : une salle de 50 places publiques, dont 15 réservées pour les journalistes de la presse mensongère officielle. Des 35 places restantes disponibles, 30 purent être tenues par les soutiens de Haverbeck, voilà seulement la poignée visible d’opposants à la liberté de pensée aux places restantes si problématiques à obtenir.

À ce procès participaient bien sûr d’autres Allemands contestataires : 50 de ceux-ci n’ont pu entrer et furent contraints d’attendre hors de la salle d’audience, où le directeur du tribunal Werner Meier eut à entendre une virulente critique de leur part.

En tout, quelques 80 soutiens à Haverbeck étaient donc là, ce qui est très beau pour un mardi matin à la première heure… Parmi eux on pouvait voir plusieurs personnalités du camp national, telles lady Michèle Renouf (Grande-Bretagne), Dr Rigolf Hennig (Verden/Aller), Wolfgang Juchem (Kassel) et Meinolf Schönborn (Gütersloh).

La plaidoirie de Haverbeck – Dehors on entonne l’hymne allemand

Ursula Haverbeck n’avait pas d’avocat de la défense ; la raison en est qu’aucun avocat ne pouvait en effet la défendre sans se mettre lui-même en infraction – encore un aspect de l’état misérable du système. Haverbeck s’est donc défendue elle-même : dans son introduction, elle allait plonger profondément dans l’histoire mondiale pour éclairer l’arrière-plan qui préside à ce procès. La jeune juge voulut à plusieurs reprises interrompre l’accusée mais Haverbeck ne se laissa pas intimider face au système judiciaire, continuant à parcourir son manuscrit.

Dans le vestibule d’entrée du bâtiment du tribunal se déroulaient des scènes de tumulte : un homme d’un certain âge avait été prié par Mme Haverbeck de lire une copie du manuscrit de son introduction, à l’intention de ceux qui n’avaient pu trouver place en salle d’audience. Ce monsieur ne put même pas terminer la première phrase que le directeur du tribunal se précipita sur lui en le menaçant de le faire expulser s’il ne s’arrêtait pas illico. L’homme fut tellement irrité par cette manière de se précipiter sur lui qu’il faillit tomber à la renverse dans l’escalier.

Toute cette scène provoqua chez ceux qui attendaient une bruyante protestation, du fait que Meier ne se montrait pas à la hauteur en sollicitant l’aide de la police. Spontanément fut entonné l’hymne allemand. À nouveau Meier rugit qu’il allait faire vider l’entrée s’ils ne s’arrêtaient pas avec le chant. Les gens présents ne se laissaient pas impressionner et l’hymne fut chanté avec les trois strophes complètes. Meier ne voulait tout de même pas cette honte consistant à faire frapper violemment par la police – pour faire évacuer le bâtiment – des douzaines de personnes plutôt âgées, seulement parce qu’ils chantaient l’hymne national.

La juge se fait huer – l’accusée couverte de fleurs, sous les applaudissements

Dans la salle d’audience le procès suit son cours. Après l’introduction détaillée de Haverbeck accompagnée par les remarques de bas niveau de la juge et, du côté du procureur, par un désintérêt ostentatoire, arriva le plaidoyer de l’avocat général. Il réclama, pour l’expression d’opinions non-violentes sur la page Internet de l’accusée, âgée de 87 ans, 10 mois de prison, sans sursis. La juge dépassa cette punition et ordonna une privation de liberté de 11 mois. Les deux autres condamnations (pas encore légalement confirmées), contre Haverbeck de Hambourg et Detmold, totalisent une peine de 29 mois de prison !

Ainsi la remarque lapidaire de la juge : « La seule possibilité d’empêcher Haverbeck de prononcer ses affirmations, est l’emprisonnement. » Examinons donc ici quelle sera l’ampleur de la punition pour la juge si un jour, espérons pas trop éloigné, elle se trouve elle-même sur le banc des accusés du fait de ses propres activités au service du régime Merkel. Cela ne sera probablement pas « seulement » onze mois...

Les motifs de la sentence exprimée par la juge furent souvent interrompus par le public aux cris de « menteuse ». Un des présents fut en pleine séance appréhendé et enfermé quelque temps pour avoir fait à la juge le « Gabriel-Finger » [« doigt d’honneur », qu’avait fait en 2016 le politicien SPD Sigmar Gabriel à des militants de droite, NdT].

Après la séance, Haverbeck fut, dans la salle d’entrée du tribunal, reçue avec des applaudissements frénétiques, des bouquets de fleurs et des embrassades. Spontanément l’hymne national jaillit de nouveau, chanté avec les trois strophes – cette fois sans aucune protestation du directeur du tribunal. Devant la salle d’audience, au même moment, fut déployée une banderole avec l’inscription « Seule la vérité va vous libérer ».

Haverbeck : « Ne pas combattre la haine par la haine ! »

À la fin, les supporters de Haverbeck se réunirent dans un restaurant proche. On nous avait réservé une petite salle, mais en raison de la forte affluence plutôt inattendue nous fut attribuée la grande salle. Une fois tous réunis là, Haverbeck fit un court exposé sur le déroulement de l’audience, qu’elle passa en revue en donnant plus de précisions sur sa défense.

S’en est suivi un intéressant tour de table et discussions avec les participants, par exemple sur la question du rôle joué ici par la religion. À la question d’un participant, de savoir si Haverbeck envisageait de poursuivre la juge pour ses réflexions haineuses, s’ensuivit de sa part une réponse reflétant la profonde et impressionnante conviction d’Haverbeck : « La haine ne doit pas être combattue par la haine. À la fin le Bien vaincra toujours le Mal ! »

http://www.egaliteetreconciliation.f...ces-41976.html


Deux petites rectifications :

- Le procès n'a pas eu lieu "un mois après avoir fêté ses 88 ans" mais un mois AVANT de fêter ses 88 ans ;

- Il est dit que "Les deux autres condamnations (pas encore légalement confirmées), contre Haverbeck, de Hambourg et Detmold, totalisent une peine de 29 mois de prison !" : en réalité, la condamnation de Hambourg était de 10 mois de prison ferme, celle de Detmold était de 8 mois de prison ferme et c'est en comptant les 11 mois de prison ferme réclamés le 11 octobre qu'on arrive à un total de 29 mois de prison, autrement dit près de 2 ans 1/2 !!!
 
Old October 16th, 2017 #3
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Six mois de prison pour la mamie nazie

16/10/2017

Déjà condamnée à plusieurs reprises, Ursula Haverbeck, 88 ans, surnommée par la presse «mamie nazie», a été condamnée lundi à six mois de prison ferme pour des propos niant l’Holocauste.

Ses petits yeux malicieux, son sourire,… on donnerait le bon dieu sans confession à cette petite mamie. Pourtant, elle a de nouveau été condamnée pour des propos niant l’Holocauste.

Une des figures de proue du négationnisme allemand, Ursula Haverbeck, 88 ans, surnommée par la presse «mamie nazie», a été condamnée lundi à six mois de prison ferme pour des propos niant l’Holocauste.

Déjà condamnée à plusieurs reprises dans le passé pour des propos similaires, Ursula Haverbeck a été sanctionnée cette fois devant un tribunal de Berlin pour avoir publiquement déclaré en janvier 2016 dans un restaurant de la capitale que le génocide des juifs par les nazis n’avait jamais existé et qu’il n’y avait jamais eu de chambres à gaz à Auschwitz.

Elle avait aussi contesté le fait que «des millions» de personnes y aient été exterminées.

A la barre, Mme Haverbeck a contesté les faits, arguant qu’elle n’avait fait que citer les extraits d’un livre.

L’octogénaire, qui a immédiatement annoncé son intention de faire appel, avait été filmée en train de tenir ces propos.

Ursula Haverbeck a déjà été condamnée à quatre reprises pour des propos similaires, notamment à 10 mois de prison ferme en 2015 pour avoir déclaré que l’Holocauste était «le plus grande mensonge» de l’Histoire.

Elle n’a toutefois jamais été à ce jour derrière les barreaux: elle a interjeté systématiquement appel de toutes ses condamnations et aucune des procédure n’a atteint le stade de la condamnation irrévocable.

En 2009, elle avait écopé d’une amende de 2.700 euros pour avoir menacé la présidente de l’époque du Conseil central des juifs d’Allemagne «d’un nouveau pogrom».

Sur son site internet, Ursula Haverbeck se présente comme «une représente du révisionnisme historique» et se targue d’être une «combattante intrépide pour la vérité».

Elle était l’épouse de Werner Georg Haverbeck, un militant d’extrême droite décédé en 1999 avec lequel elle avait fondé en 1963 à Vlotho (centre) le Collegium Humanum, présenté comme un établissement d’enseignement mais réputé pour être un nid de négationnistes. Il a été interdit en 2008.

Selon les travaux des historiens les plus sérieux, quelque 1,1 million de personnes, dont un million de juifs, ont péri entre 1940 et 1945 dans le seul camp d’Auschwitz-Birkenau. Et au total, six millions de juifs ont été exterminés par les nazis.

http://www.lavenir.net/cnt/dmf201710...la-mamie-nazie
 
Old May 8th, 2018 #5
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En Allemagne, Ursula Haverbeck – âgée de près de 90 ans – vient d’être incarcérée pour révisionnisme

Robert FAURISSON


8 mai 2018

Ursula Haverbeck, « la grande dame allemande », est, depuis hier, incarcérée à la suite de sa condamnation à deux ans de prison ferme. Dans six mois, le 11 novembre 2018, elle aura 90 ans. Elle est arrière-grand-mère.

Elle était sous surveillance médicale. Son avocat avait sollicité un report de sa date d’incarcération. Mais de bonnes et belles personnes, notamment à l’étranger, avaient protesté et exigé une incarcération sans plus de délai.

Il faut dire que la coupable avait commis un crime affreux contre la plus vraie et la plus vivace des religions du monde, la Religion de l’Holocauste.

La « Nazi-Oma » (La Grand-mère Nazie) avait proclamé qu’elle ne croyait pas à l’existence, durant la Seconde Guerre mondiale, des « chambres à gaz nazies ». Elie Wiesel non plus n’y croyait pas ; généralement tenu pour le témoin emblématique de « l’Holocauste » (ou « Shoah »), il ira même, dans ses mémoires, jusqu’à demander qu’on n’en parle plus ; cependant, au moins nous avait-il assuré auparavant dans La Nuit qu’à Auschwitz, si les Allemands tuaient systématiquement les juifs, c’était par le feu dans des fosses ardentes auxquelles, par miracle, il avait personnellement échappé à la dernière minute. D’autres respectables témoins ont attesté de ce que la même extermination se faisait soit par l’électricité, soit par la vapeur d’eau, soit par le gaz cyanhydrique, soit par la chaux vive, soit par le gaz d’échappement de moteurs de camions ou d’un tank et même une fois, à Auschwitz, par le biais d’un essai de bombe nucléaire. Quant au Père Patrick Desbois, dont on ne parle malheureusement plus guère, il croyait soit à « la Shoah par balles » de fusil, soit à « la Shoah par étouffement » « avec des édredons » ou « avec des coussins la nuit » (Porteur de mémoires,Editions Michel Lafon, 2007, p. 306-307).

Ursula Haverbeck fait actuellement partie de tout un ensemble international de femmes qui s’insurgent contre le Nouvel Evangile. Depuis au moins 73 ans – aujourd’hui 8 mai 2018 –, la bonne parole holocaustique nous est enseignée.

Dans ces dernières années, elle carillonne à toute volée le matin, à midi, l’après-midi, le soir et la nuit. Mais ces femmes, avec une insistance diabolique, donnent l’exemple d’une résistance opiniâtre et perverse. Elles se nomment Michèle Renouf, Sylvia Stolz, Maria Poumier, Monika Schaefer, Alison Chabloz, Diane King, Carolyn Yeager ou encore « Didi ». Elles s’appelaient Madame Rassinier, Keltie Zubko ou Barbara Kulaszka. D’autres noms de femmes seraient encore à citer.

Bref, voici deux sources – l’une odorante et l’autre nauséabonde – où se trouve évoquée l’incarcération d’Ursula Haverbeck :

1) La police allemande interpelle une "mamie nazie" en fuite (site d’Europe 1, 7 mai 2018) ;

2) BOCAGE-INFO Sur le front de la répression (BOCAGE-INFO Dépêche No 6)

Ursula Haverbeck a été arrêtée et placée en détention le 7 mai 2018 à 13h30. Ursula Haverbeck espérait fêter son 90e anniversaire au mois de novembre en compagnie de sa famille et de ses amis, mais les sicaires de la police de la pensée en ont décidé autrement.

L'arrière-grand-mère allemande a gagné le respect de ses compatriotes et l'estime des chercheurs indépendants du monde entier pour ses enquêtes opiniatres sur la fraude liée à l'Holocauste. Le régime allemand, qui est fortement impliqué dans l'escroquerie, a condamné la courageuse investigatrice à deux ans de prison ferme pour avoir enquêté sur les procès-verbaux des Alliés sur les conditions dans les camps d'internement pendant la Seconde Guerre mondiale.

Ursula Haverbeck est surnommée la « grand-mère nazie » par les médias du Système. William Colby, ancien directeur de la CIA, et le Dr Udo Ulfkotte, ancien rédacteur en chef de Frankfurter Allgemeine, étaient impliqués dans ces recherches. Les deux hommes sont morts dans des circonstances mystérieuses.

Condamnée une nouvelle fois l'année dernière, Frau Haverbeck avait eu le temps de se préparer car elle ne s'était pas présentée à la prison de Bielefeld mercredi 2 mai, où elle devait être détenue, probablement jusqu'à ce que mort s’ensuive.

Un membre du comité juif d'un prétendu groupe de survivants de l'Holocauste qui s'appelle le Comité international d'Auschwitz a déclaré : « Il faut faire pression pour que la police la retrouve. ».

Le journal local Westfalen-Blatt a rapporté que la maison de Vlotho dans le centre de l'Allemagne où résidait Ursula Haverbeck semblait vide ces derniers jours, le courrier s'empilant devant la porte. La chasse à l’homme (sic) déclenchée pour retrouver une femme âgée coupable de réfléchir risque de se retourner contre les profiteurs de l’industrie de l’Holocauste. Dans une enquête récente, les deux tiers des gens ont déclaré qu’ils étaient excédés par les revendications incessantes et déplacées des profiteurs de ce système pervers.

https://europeansworldwide.wordpress...ne-on-the-run/
 
Old May 8th, 2018 #6
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Ecrivez-lui sans tarder, dès aujourd'hui !

Ursula Haverbeck
JVA Bielefeld-Senne
Hafthaus Ummeln
Zinnstr. 33
33649 Bielefeld
 
Old May 13th, 2018 #8
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Die Zeit, le journal allemand de référence, admet que la manifestation en faveur d’Ursula Haverbeck était un succès.

START
A l’occasion de cette marche de solidarité aboutissant à la prison de Bielefeld-Senne, où elle se trouve incarcérée en régime fermé depuis une semaine, Ursula Haverbeck a réussi le tour de force de faire l’union sacrée de tous les Allemands antisystèmes : des révisionnistes aux « néo-nazis », des patriotes à certains militants des Droits de l’homme, tous se sont identifiés à la figure héroïque de la « Grande Dame allemande », « incarnation intemporelle de l’Allemagne éternelle ».

Le rassemblement s’est terminé devant le bâtiment de la prison, probablement à portée de voix de la célèbre détenue... Des personnalités comme Thomas « Steiner » Wulff, Dieter Riefling, Sven Skoda et le Suisse Bernhard Schaub ont pris la parole pour saluer Ursula Haverbeck et fustiger l’Etat anti-allemand, persécuteur, menteur et négateur de la liberté d’opinion. Thomas Wulff portait un T-shirt avec l'inscription « Auschwitz - J'ai une question ». Thomas Wulff a aussi fait l'éloge des avocats Horst Mahler, Jürgen Rieger et Sylvia Stolz, qui eux aussi ont connu la prison pour avoir fait leur devoir de défenseur.

Avec Ursula Haverbeck, l’Allemagne tout entière a retrouvé une figure héroïque. Place aux jeunes, certes, mais beaucoup d’entre eux ont encore peur d’aborder les vraies questions, comme celle posée par Thomas Wulff : ils préfèrent ne pas aller en prison à sa place…
END
(résumé inspiré de l’article)

https://blog.zeit.de/stoerungsmelder...en-szene_26377

Nouveau lien pour accéder à la conférence d’Ursula Haverbeck sous-titrée en français

https://www.bitchute.com/video/OEnUO0Ujrtc/

BOCAGE-INFO : Dépêche No 11/2018
 
Old June 2nd, 2018 #9
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Lettre de remerciement d'Ursula Haverbeck


Prison de Bielefeld, 28 mai 2018

Chers concitoyens du peuple des poètes et des penseurs !

Un sentiment m’interpelle, se manifeste pour protester et me dire : « Que faire ? »

Et voilà que je reçois des lettres à profusion !

La censure de la prison s'en étouffe presque. Complètement surprise, je ne puis que vous remercier pour les voeux de santé et les nombreuses offres de soutien que je reçois chaque jour. Vu les circonstances, permettez-moi de vous répondre collectivement.

Nombreux sont ceux qui posent la question : « Que pouvons-nous faire pour vous, chère Ursula ? »

Exactement cela : en passant de la colère rentrée à la réflexion, de la réflexion à la parole et à l’action. Ainsi, vous pouvez non seulement faire quelque chose pour l'Allemagne et pour tous les peuples de cette terre, mais aussi pour moi.

Ici, grâce à la manifestation et aux lettres, tout le monde est maintenant bien informé. Par ailleurs, tous les médias locaux ont dû couvrir l’événement [la manifestation devant la prison], et publier des reportages sur les raisons de ma présence dans un tel lieu. Incidemment, j'ai bien entendu les deux chants et des bribes de discours : dans ces circonstances, c'était un grand réconfort !

Maintenant, tous les employés et compagnons de captivité sont encore plus aimables et prévenants. Dans la mesure de leurs moyens, ils font ce qu’ils peuvent pour m’aider à vivre dans ce nouveau monde.

J'ai ici beaucoup de temps – et sans jamais être dérangée – pour réfléchir comment construire un ordre populaire équitable pour l'avenir.

Et quelle surprise de retrouver ici, dans la salle de télévision, des tables de forme trapézoïdale que j’avais conçues dans les années soixante pour notre salle de séminaire, combinables pour obtenir de grandes tables rondes ou ovales, et qui ont été copiées partout depuis !

Merci pour les nombreux timbres-poste qui me sont très utiles, surtout pour écrire aux camarades contemporains encore en vie, et qui, comme moi, n'utilisent pas Internet, mais préfèrent le papier. J’observe avec surprise qu’ici, le règlement prescrit combien de bas, de pantalons ou de vestes vous pouvez avoir, mais pas combien de lettres vous pouvez écrire.

De tout ce courrier, je relève particulièrement l’article du 11 mai 2018 de David Hesse paru dans le Tages Anzeiger, un quotidien suisse de Zürich. Il écrit : « il ne fait aucun doute que les idées de négationnistes comme Ursula Haverbeck doivent être combattues. Mais pas par la prison. » Le sous-titre s’intitule : « Les lois qui imposent des vérités sont une erreur ». Je vous remercie de vos lettres et aussi pour reprendre la question que je pose toujours au sujet de la scène du crime (...), : « Il y a ma vérité et votre vérité et il y a la vérité. »

https://freiheit-fuer-ursula.de/2018...ende-mai-2018/

ANNEXE

L’article de David Hesse a été publié le 11 mai 2018 dans les quotidiens « Der Bund » (Berne) et « Tages Anzeiger » (Zürich) du groupe de presse TAMEDIA. Ces deux organes de référence sont connus pour donner le ton de la politique suisse.

Der Bund (Berne),

11 mai 2018

Les lois qui imposent des vérités sont une erreur

(…) Ursula Haverbeck a 89 ans, mais elle semble lucide et capable de discernement. Négationniste de l’Holocauste par conviction et non par sénilité, elle affirme que les camps d’extermination n’ont jamais existé et que la mort de six millions de juifs n’est pas prouvée. (…) Haverbeck a été condamnée à plusieurs reprises en Allemagne et, l’an dernier, à deux ans d’emprisonnement ferme pour incitation [à la haine]. « L’âge n’est pas une garantie d’impunité, tant que l’on reste lucide », a déclaré le juge. Le verdict est maintenant définitif. Le 2 mai, Haverbeck aurait dû être incarcérée, mais elle ne s’est pas présentée pour exécuter sa peine. La police l’a appréhendée à Vlotho, en Rhénanie du Nord-Westphalie, afin de l’incarcérer. L’action de la police est justifiée puisqu’elle fait l’objet d’une condamnation définitive.

Plus déconcertante est la question de savoir si le déni de l’Holocauste devrait tomber sous le coup de la loi. Est-ce que les déclarations sur l’Histoire, même stupides et dangereuses, doivent être punies d’emprisonnement ? Non. La vérité n’est pas définissable [par une loi].

Bien sûr, le code pénal allemand a un autre point de vue. Toute personne qui approuve, nie ou minimise les crimes nazis « publiquement ou lors d’une réunion » doit s’attendre à purger jusqu’à cinq ans de prison en vertu de l’article 130. D’autres Etats européens connaissent bien ces lois, comme l’Autriche et la Belgique. Et quiconque en Suisse nie ou justifie un « génocide et autres crimes contre l’humanité » est passible de trois ans d’emprisonnement en vertu de l’article 261 bis du Code pénal. Car l’abolition de cette prohibition est surtout réclamée par des nostalgiques du national-socialisme. AfD, NPD, clubs néo-nazis – ils veulent tous s’exprimer pour dire légalement que tout n’était pas mauvais avec le Führer. Ceux qui nient l’Holocauste ont généralement de la sympathie pour lui.

Mais il y a aussi d’autres voix, fondamentales. L’ancien juge de la Cour constitutionnelle allemande, Wolfgang Hoffmann-Riem, a exprimé des doutes en 2008 sur le sens de la criminalisation des négationnistes de l’Holocauste.

C’est ainsi que vous créez des « martyrs », ce qui n’est guère « politiquement opportun ». Son collègue juge, Winfried Hassemer, décédé en 2014, a déclaré qu’il n’était pas un partisan des « lois qui criminalisent les fausses opinions ». Parce que c’est de ça dont il s’agit : la criminalisation des opinions. Dans les Etats libres, la liberté d’expression n’est limitée que dans des cas exceptionnels, comme lorsqu’il s’agit de l’honneur des personnes. Ces offenses sont punissables. Tout comme les appels à la violence ou à la discrimination active. Cela ne devrait pas changer.

Les opinions sur l’Histoire, aussi hérétiques soient-elles, ne devraient pas être interdites, « parce que dans les Etats où la liberté d’expression est garantie, nous partons du principe que la vérité n’appartient à personne », déclare Markus Schefer, professeur de droit à Bâle. Il critique la loi suisse sur le déni de génocide : « L’Etat ne devrait pas juger si une déclaration est historiquement vraie ou fausse. » Il appartient à la société civile de défier les négationnistes de l’Holocauste sur leur propre terrain : « Les opinions sur l’Histoire ne devraient pas être interdites. »

En raison de son histoire, l’Allemagne est dans une situation particulière. L’interdiction du déni de l’Holocauste concerne la protection des victimes : la dignité des morts, des survivants et de leurs descendants. Surtout aujourd’hui, quand l’antisémitisme semble se renforcer et que l’on peut gagner des concours de musique avec des paroles sur les Juifs, ce serait un signal fort pour les politiciens de décriminaliser le déni de l’Holocauste.

Cela serait de toute façon opportun pour eux. Précisément parce que l’antisémitisme prospère à nouveau, les interdictions d’opinion sont impuissantes, bien au contraire : selon l’historien britannique Timothy Garton Ash, les interdictions de parole donnent aux négationnistes « l’auréole du martyr. »

Le déni de l’Holocauste doit être combattu. Dans les conversations, à l’école, dans les médias. Mais pas au tribunal. La Pologne, comme la Russie, invoquent maintenant les lois de l’Holocauste pour pénaliser des déclarations jugées antipatriotiques. C’est une source de préoccupation. Les sociétés libres ne réglementent pas la vérité historique par des lois.

BOCAGE-INFO Dépêche No 28/2018
 
Old June 12th, 2018 #10
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Ursula Haverbeck à nouveau condamnée à de la prison ferme sans possibilité de libération


La négationniste Ursula Haverbeck doit purger une nouvelle peine de prison. Le tribunal régional supérieur (OLG) de Rhénanie-Westphalie du Nord a rejeté lundi 11 juin l’appel de l’extrémiste de droite interjeté contre un jugement du tribunal de première instance qui l’avait condamnée à une peine d'un an et deux mois de prison sans sursis pour avoir calomnié l’Etat (sédition). La décision est donc définitive, la procédure judiciaire épuisée.

Ursula Haverbeck est une figure emblématique de la mouvance d’extrême-droite : elle a nié publiquement et à plusieurs reprises l'Holocauste. Elle purge depuis plusieurs semaines une peine de prison de deux ans, qui est devenue définitive après une décision du tribunal d’appel de Celle, en Basse-Saxe. C'est la première fois de sa vie qu'elle est emprisonnée après plusieurs amendes et peines de prison avec sursis.

L'OLG a confirmé une décision du tribunal de district de Detmold, où Ursula Haverbeck a été condamnée en novembre 2017 en raison de la diffusion de ses thèses sur l’Internet, par la poste et même pendant des audiences du tribunal où elle passait en jugement. Dans ces textes, elle affirme que l'Holocauste n'a pas eu lieu et que le camp d'extermination d'Auschwitz n’était qu’un camp de travail.

Ursula Haverbeck nie sous la forme d’allégations les « faits historiquement établis » et ne pouvait par conséquent pas invoquer son droit à la liberté d'expression : le tribunal régional supérieur a donc confirmé dans son jugement la décision du 30 mai dernier. Les attendus conviennent que ses agissements constituent un « trouble de l’ordre public ». Il n'y avait donc pas d'erreur de droit dans l'arrêt attaqué émanant de la juridiction inférieure.

La prochaine étape consiste à déterminer dans quelles conditions sera effectuée l'exécution de la peine, ce qui est du ressort de la chambre d'exécution pénale responsable de son cas. Elle devra décider si Ursula Haverbeck purgera l’une après l’autre les deux peines d'emprisonnement ou si elles pourront être cumulées.


Pour soutenir Ursula Haverbeck, il suffit de lui écrire le plus souvent possible (lettre ou simple carte postale).

Ursula Haverbeck,
Umlostrasse 100,
D-33649 Bielefeld
(Allemagne)

Liberté pour Ursula Haverbeck !

https://www.tah.de/welt/afp-news-sin...erurteilt.html

BOCAGE-INFO - Dépêche No 39/2018
 
Old June 14th, 2018 #11
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Ursula Haverbeck à nouveau condamnée à de la prison ferme sans possibilité de libération


La négationniste Ursula Haverbeck doit purger une nouvelle peine de prison. Le tribunal régional supérieur (OLG) de Rhénanie-Westphalie du Nord a rejeté lundi 11 juin l’appel de l’extrémiste de droite interjeté contre un jugement du tribunal de première instance qui l’avait condamnée à une peine d'un an et deux mois de prison sans sursis pour avoir calomnié l’Etat (sédition). La décision est donc définitive, la procédure judiciaire épuisée.

Ursula Haverbeck est une figure emblématique de la mouvance d’extrême-droite : elle a nié publiquement et à plusieurs reprises l'Holocauste. Elle purge depuis plusieurs semaines une peine de prison de deux ans, qui est devenue définitive après une décision du tribunal d’appel de Celle, en Basse-Saxe. C'est la première fois de sa vie qu'elle est emprisonnée après plusieurs amendes et peines de prison avec sursis.

L'OLG a confirmé une décision du tribunal de district de Detmold, où Ursula Haverbeck a été condamnée en novembre 2017 en raison de la diffusion de ses thèses sur l’Internet, par la poste et même pendant des audiences du tribunal où elle passait en jugement. Dans ces textes, elle affirme que l'Holocauste n'a pas eu lieu et que le camp d'extermination d'Auschwitz n’était qu’un camp de travail.

Ursula Haverbeck nie sous la forme d’allégations les « faits historiquement établis » et ne pouvait par conséquent pas invoquer son droit à la liberté d'expression : le tribunal régional supérieur a donc confirmé dans son jugement la décision du 30 mai dernier. Les attendus conviennent que ses agissements constituent un « trouble de l’ordre public ». Il n'y avait donc pas d'erreur de droit dans l'arrêt attaqué émanant de la juridiction inférieure.

La prochaine étape consiste à déterminer dans quelles conditions sera effectuée l'exécution de la peine, ce qui est du ressort de la chambre d'exécution pénale responsable de son cas. Elle devra décider si Ursula Haverbeck purgera l’une après l’autre les deux peines d'emprisonnement ou si elles pourront être cumulées.


Pour soutenir Ursula Haverbeck, il suffit de lui écrire le plus souvent possible (lettre ou simple carte postale).

Ursula Haverbeck,
Umlostrasse 100,
D-33649 Bielefeld
(Allemagne)

Liberté pour Ursula Haverbeck !

https://www.tah.de/welt/afp-news-sin...erurteilt.html

BOCAGE-INFO - Dépêche No 39/2018


Mon commentaire

Dans cinq mois, le 11 novembre 2018, Ursula Haverbeck, « la grande dame allemande », aura 90 ans. Elle sait que l’Allemagne du IIIe Reich n’a recherché qu’« une solution finale territoriale de la question juive » (eine territoriale Endlösung des Judenfrage) ; pour elle, les autorités du Reich ont voulu que les juifs d’Allemagne ou des territoires occupés par cette dernière trouvent après la guerre un territoire qui leur fût propre, mais il ne pouvait être question de la Palestine, en raison du respect que méritait « le noble et vaillant peuple arabe ». Elle sait aussi que, dans les camps de concentration ou de travail forcé, il y a bien eu des « chambres à gaz » mais seulement « de désinfestation » pour la lutte, en particulier, contre le typhus et d’autres épidémies. Elle sait enfin que, malheureusement, en Allemagne comme en bien d’autres pays il est aujourd’hui rigoureusement interdit par des lois d’exception d’exposer le résultat de ses recherches sur ces points d’histoire. Mais elle le fait et persiste à le faire en dépit d’une répression de plus en grave – mais de plus en plus inefficace.

Ses accusateurs nous racontent que le gaz utilisé par les Allemands était du « Zyklon B », un virulent insecticide inventé dans les années 1920, c’est-à-dire bien avant l’arrivée de Hitler au pouvoir. Mais il faut savoir que ce gaz, qui était à base d’acide prussique (HCN), était d'un maniement très délicat parce que a) hautement inflammable, b) hautement explosif, c) hautement dangereux pour le personnel et pour l’environnement. Dans la longue fiche technique concernant la nature et l’emploi du Zyklon (Document de Nuremberg NI-9912), une mise en garde, exprimée en caractère gras, portait, dès la première page, « Explosionsgefahr », soit « Risque d'explosion ». Or, voyez cette folie : on veut nous faire croire qu’à Auschwitz et à Birkenau, par exemple, les prétendues chambres à gaz homicides auraient été installées au centre même de crématoires où fonctionnaient des fours qu’il fallait porter à la température d’environ 900 degrés ! Une catastrophe garantie ! (Robert Faurisson, Mémoire en défense contre ceux qui m’accusent de falsifier l’Histoire. La question des chambres à gaz. Précédé d’un avis de Noam Chomsky. Editions de la Vieille Taupe, Paris, 4e trimestre 1980, 304 p. ; p. 165-178). En outre, les plans des crématoires (des plans soigneusement cachés mais que j’ai personnellement découverts le 19 mars 1976, puis diffusés) montrent qu’à toute proximité du Crématoire N° I se situait un « SS-Revier », c’est-à-dire une infirmerie hospitalière pour SS, qui, à tous les coups, aurait été inondée de gaz après les prétendues gazages homicides. Au moment de l’aération, la prétendue chambre à gaz homicide aurait été remplie de ce gaz toxique, présent aussi dans les cadavres ou entre les cadavres.

Ursula Haverbeck doit connaître bien d’autres arguments qui nous prouvent que ce qu’on colporte encore aujourd’hui sur le prétendu génocide des juifs n’appartient qu’à la propagande de guerre des Alliés. Cette propagande était cacophonique. Pour ne prendre que cet exemple, rappelons qu’à en croire la Pravda du 2 février 1945, les troupes soviétiques, en « libérant » Auschwitz, ont affirmé avoir découvert que les « germano-fascistes » exterminaient leurs victimes par ... l’électricité (et non par le gaz !) et que ces victimes électrocutées, tombant sur un tapis roulant, étaient transportées en hauteur jusqu’à la bouche d’un haut-fourneau (et non pas enfournées dans des fours crématoires !). Quelques semaines plus tard, les autorités soviétiques, jetant aux poubelles de l’histoire cette explication du juif russe Boris Polevoï, se rallieront à l’explication américaine du gaz et des fours, telle que forgée notamment par le juif slovaque Rudolf Vrba, le fameux faux témoin, adepte dans ses témoignages de ce qu’il appelait la « licentia poetarum » (sic) ou « licence poétique ».

Sur le sujet de la Seconde Guerre mondiale, les adversaires du révisionnisme ont accumulé tant de défaites qu’il ne leur reste qu’une solution : la répression sous toutes ses formes et, en particulier, par la force injuste de la loi. Mais il n’est pas impossible que, dans le monde des révisionnistes, les représentantes du sexe parfois qualifié de « faible » finissent par l’emporter : elles s’appellent Michèle Renouf, Mariette Paschoud, Françoise Pichard (dite Chard), Sylvia Stolz, Monika Schaefer, Alison Chabloz, Maria Poumier, Diane King, Carolyn Yeager et, pour commencer, Ursula Haverbeck, la grande et impressionnante dame allemande.

12 juin 2018

http://robertfaurisson.blogspot.com/...ande-dame.html
 
Old August 5th, 2018 #12
alex revision
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Carolyn Yeager — Le chemin de Croix d'Ursula Haverbeck


03/08/2018

Le commentaire du jour concerne le recours déposé en mai dernier par Ursula Haverbeck pour faire appel de sa peine de deux ans de prison ; à ce sujet, Deutsche Welle (le radiodiffuseur international public allemand) a finalement compris ce que disait Haverbeck à propos de sa critique de la loi allemande sur l'Holocauste.

Ursula Haverbeck est actuellement en prison à Bielefeld, où elle purge sa peine. Son recours vient d’être rejeté par la Cour constitutionnelle sous le prétexte de« trouble de la paix publique ». Ursula Haverberck avait affirmé publiquement « qu’Auschwitz n’était pas sur le plan historique un camp d’extermination, mais un camp de travail ».

Auparavant, DW avait rapporté de manière fallacieuse qu’Ursula Haverbeck prétendait qu'il n’y avait pas de camp de concentration. Ce que Haverbeck a dit en réalité, c'est qu'Auschwitz n'était pas un « camp de la mort ». DW confondait les deux définitions et a répété cet amalgame dans plusieurs articles qu'ils ont publiés. Je leur ai personnellement écrit en leur disant qu'ils étaient coupables de propager de fausses nouvelles, qu’ils faisaient du journalisme bâclé et qu’ils falsifiaient la critique tout en disant n’importe quoi sur « l'Holocauste ».
[…]
La Cour constitutionnelle a rejeté le recours d’Ursula Haverbeck au motif que « le droit constitutionnel à la liberté d’expression ne concerne pas le déni de l’Holocauste ». Elle est donc coupable d’avoir déclaré « qu’il n’a pas été prouvé qu’Auschwitz est un camp d’extermination », même si c'est la vérité. Elle ne peut être déclarée coupable que si elle dit quelque chose qui n’est pas protégé par le « droit constitutionnel à la liberté d’expression ». Donc, en Allemagne, vous ne pouvez pas déclarer qu’Auschwitz n’était pas un « camp de la mort ».

Ils vantent « la liberté d'expression » pour tous et pour tous les sujets, sauf... sauf... sauf pour « l'Holocauste juif » !

La véritable raison en est que la République fédérale d’Allemagne est une construction étatique anticonstitutionnelle qui a été mise en place pour imposer le récit anti-allemand dicté à Nuremberg et fondé sur l’Holocauste. La Seconde guerre mondiale n'a jamais pris fin pour l'Allemagne : il n'y a toujours pas de traité de paix entre les vainqueurs et le vaincu, donc l'Allemagne reste de jure sous le contrôle des vainqueurs. L'histoire de l'Holocauste a été pérennisée pour empêcher les Allemands de reprendre le contrôle de leur propre pays à cause du sentiment de culpabilité qu’elle continue de provoquer. C'est de l'endoctrinement pur et simple.

Cette loi spéciale (connue sous le nom de paragraphe 130) dans leur pseudo constitution stipule que la remise en question/le doute sur le récit de Holocauste établi par le jugement de Nuremberg « trouble la paix publique ». Ce qui veut dire qu’il « trouble les consciences à propos de notre grand mensonge ». Ils ne peuvent pas laisser la vérité se manifester parce que cela saperait le fondement de l’édifice politique judéo-libéral fabriqué sur ce grand mensonge. Par conséquent, cette loi d’exception doit se maintenir à tout prix, ce que DW confirme en rapportant que « la plus haute juridiction allemande a réaffirmé vendredi que le déni de l'Holocauste n'est pas couvert par le droit constitutionnel à la liberté d'expression », et que « Les remarques de la demanderesse échappent largement à la portée protectrice du droit à la liberté d’opinion. »

Ensuite DW répète la litanie habituelle : « Six millions de Juifs ont été systématiquement assassinés par le régime nazi entre 1941 et 1945. » Et « environ 1,1 million de victimes ont été assassinées dans le camp d’Auschwitz en Pologne occupée par les nazis ; 90 % des victimes étaient juives. »

La propagande tourne en boucle. Ils fondent les croyances imposées par un Etat fabriqué par la propagande de guerre, croyances décrétées mais non prouvées par un tribunal militaire faisant office de machine de guerre, affirmant ensuite que ces affirmations sont « évidentes » et n’ont pas à être prouvées (ou confirmées) devant les tribunaux. Ensuite, ils déclarent que ces croyances non prouvées sont des faits notoires qui ne peuvent pas être publiquement remis en question sans « troubler la paix publique ». Pas très convainquant, en fait. Mais les juges de la haute cour ont revêtu des toges rouges, ils trônent dans un palais et ils déclarent solennellement ce qu’il faut penser des « négationnistes » de l’Holocauste.

Ursula Haverbeck, âgée de 90 ans, défie courageusement cette entité étatique fabriquée grâce à des artifices juridiques parce qu’elle aime son pays et son peuple. Lui permettront-ils de parler quand elle voudra dire ce qu’elle pense ? Probablement pas.

La minimisation de l'Holocauste n'est pas toujours un crime. Dans une autre affaire jugée par la Cour constitutionnelle, elle a reconnu qu’un homme avait été condamné à tort pour « incitation » à nier la Shoah. L’homme avait publié des commentaires en ligne qui « minimisaient le rôle de l’armée allemande dans l’Holocauste » mais, dans ce cas, « ses propos n’ont pas été considérés comme un danger pour la paix publique ». Cela veut dire qu'il n'avait pas abordé le cœur de la question la plus sacrée pour les Juifs, qui est à l'origine de toutes ces manipulations juridiques sophistiquées.

http://carolynyeager.net/railroading-ursula-haverbeck

BOCAGE-INFO - Dépêche No 86/2018
 
Old August 15th, 2018 #13
alex revision
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Pour commencer, voyez, je vous prie, dans ce blog En Allemagne, Ursula Haverbeck – âgée de près de 90 ans – vient d’être incarcérée pour révisionnisme (9 mai 2018).

La révisionniste Ursula Haverbeck, « la grande dame allemande », comme l’appellent ses admirateurs, est en prison à Bielefeld (Rhénanie) depuis le 7 mai. Elle aura 90 ans le 11 novembre. Elle est arrière-grand-mère. Son prochain procès, pour une autre affaire de révisionnisme, aura lieu à Hambourg le 12 septembre. La distance entre son lieu de détention et le tribunal est supérieure à 200 kilomètres.

D’après ce que nous en apprend Lady Renouf, les autorités allemandes ont décidé de soumettre la prisonnière à un véritable marathon juste avant son procès, lequel se tiendra dans un prétoire où, en dépit de son énergie native, elle risquera d’arriver en bien mauvaise condition physique. Partant de sa prison de Bielefeld cinq ou six jours avant le procès, elle fera étape dans cinq prisons différentes ! A chaque fois, elle se trouvera dans une voiture cellulaire bondée de monde. Puis, à la prison, elle aura à subir la fouille au corps réglementaire. Enfin, dans chacune de ces cinq prisons, elle devra faire face à de nouveaux délinquants ou criminels (voyez la vidéo Ursula Haverbeck - Update, durée 3m. 12s.).

A ceux qui peut-être se demandent d’où vient que les autorités allemandes puissent envisager d’adopter un comportement d’une telle dureté, rappelons que l’Allemagne, encore 73 ans après sa reddition sans conditions du 8 mai 1945, reste largement, avec la présence de multiples bases militaires américaines sur son territoire, un « pays occupé ». Elle courbe l’échine, elle croit ou affecte de croire en ce qu’on lui enjoint de croire. Et puis, de toute façon, « le délire de mentir et de croire s’attrape comme la gale » (Céline).
Les organisations qui prétendent représenter les juifs se montrent de plus en plus inquiètes et brutales. Depuis 1985, elles sont en état de panique. En janvier 1985, elles ont assisté à la bouleversante déconfiture de Raul Hilberg au « premier grand procès d’Ernst Zündel à Toronto » (confirmée par son refus, écrit, de comparaître à nouveau, trois années plus tard, en qualité d’expert au « second grand procès d’Ernst Zündel à Toronto »). Depuis ce temps, les religionnaires de « l’Holocauste » connaissent une crise majeure qu’ils s’efforcent vainement de conjurer par une répression de plus en plus insensée et féroce.

Il ne fait cependant pas de doute que le révisionnisme d’Ursula Haverbeck et de Michèle Renouf finira par l’emporter. Aux historiens, il restera à composer une Encyclopédie en vingt volumes du mensonge historique de l’Holocauste des juifs. On y trouvera les noms, en particulier, des magistrats qui se sont déshonorés avec tant de cynisme dans leur condamnation d’hommes et de femmes qui, en France, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Canada, et en bien d’autres pays du monde, vivent, travaillent et souffrent pour le révisionnisme historique, c’est-à-dire pour l’une des plus nobles aventures intellectuelles de l’humanité. Cette aventure aura connu ses « Justes » au nombre desquels figureront Ursula Haverbeck et Lady Renouf ; le volumineux ouvrage se dressera pour les siècles à venir tel le « monumentum aere perennius », du poète Horace ; il sera, n’en doutons pas, « un monument plus durable que l’airain ».

14 août 2018

http://robertfaurisson.blogspot.com/...eck-et-la.html
 
Old September 13th, 2018 #14
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Nous reproduisons ci-dessous, avec l’aimable autorisation des auteurs, un échange de correspondance (extraits) entre Ursula Haverbeck et un ami anglais.


J'ai reçu une lettre d’Ursula Haverbeck le 10 septembre 2018. Sa lettre est datée du 6 septembre 2018.

Vous trouverez ci-dessous le texte de la lettre que je lui avais écrite récemment et qui lui a été transmise par les autorités pénitentiaires. Notez que l'adresse de la prison de JVA Bielefeld est celle qu'elle m'avait indiquée dans sa réponse (bien qu'elle ait été incarcérée dans une prison de Hambourg à cette époque).

Ci-dessous, vous verrez la réponse d’Ursula Haverbeck. Elle m'a d'abord écrit quelques mots de remerciements de nature privée, puis elle m'a communiqué la déclaration qu'elle a l'intention de lire lors de son procès à Hambourg.

N'hésitez pas à transmettre cette correspondance et/ou à la publier.

Voici d'abord la lettre que je lui ai envoyée à l’adresse suivante (toujours valable) :

Frau Ursula Haverbeck, JVA Bielefeld-Brackwede, Umlostrasse 100, Haus 5, D-33649, Bielefeld, Allemagne.

Chère Madame Haverbeck,

Je souhaite vous informer que les lettres ouvertes de remerciements que vous avez écrites à vos amis ont été traduites en anglais et en français (et éventuellement dans d’autres langues) et publiées sur Internet, avec comme résultat que des milliers d'amis, de sympathisants et de personnes du monde entier sont informées de votre situation et de la profonde injustice dont vous êtes la victime. Ils apprendront également certaines vérités de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en rapport avec l’ancien adage selon lequel la première victime d'une guerre est la vérité.

L’historien britannique Arthur Ponsonby a enquêté sur les allégations du gouvernement britannique pendant la Première Guerre mondiale, selon lesquelles les soldats allemands en Flandre coupaient les mains des enfants belges. Vous saurez que pendant la Première Guerre mondiale, le peuple allemand a rejeté les mensonges de propagande des gouvernements britannique et français. Les Alliés étaient connus pour leurs mensonges.

En juin, je me suis rendu à Nuremberg pour soutenir le rassemblement « Freiheit für alle politischen Gefangenen in der BRD » (Liberté pour tous les prisonniers politiques allemands en RFA). La manifestation eut un grand succès. Nous avons défilé avec des bannières et des drapeaux et un système de haut-parleurs dans le centre de Nuremberg. Le lendemain, j'ai visité le palais de justice où les Alliés, vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale ont jugé les dirigeants du Reich vaincu.

A l’extérieur on voit les drapeaux des Alliés, dont celui de l’Union soviétique. En 1945, dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, toutes les personnes concernées, avocats, juges, procureurs chez les Alliés, américains, britanniques, français et soviéto-russes, savaient tous que les Soviétiques étaient coupables du meurtre de masse de milliers d'officiers de l'armée polonaise désarmés, des prisonniers de guerre assassinés à Katyn et ailleurs; et pourtant, malgré ce qu’ils savaient, les Alliés de l’Ouest acceptèrent de siéger avec les Soviétiques dans le même tribunal. La pourriture morale était si grande que le principal homme politique américain, le sénateur américain Robert Taft, a condamné le procès de Nuremberg comme étant une « violation de la justice » et que la participation des Etats-Unis à ce procès constituait une tache sur son drapeau. RobertTaft a prédit que le jour viendrait où les Européens condamnerait les Etats-Unis pour sa participation à ce simulacre de justice.

Cordialement, XXX


Dans la lettre que Ursula Haverbeck m’a adressée datée du 6 septembre 2018 se trouve la déclaration qu’elle a l'intention de lire devant le tribunal de Hambourg.


Déclaration d’Ursula Haverbeck

En ce qui me concerne, je ne suis pas professeur d’université ; je ne suis pas chimiste ; je ne suis pas technicien. Comme le juge et le procureur, je suis tributaire des déclarations de témoins et d’experts concernant la nature et la finalité des installations d'Auschwitz.

J’ai voyagé voyagé d'un bout à l'autre de République fédérale d'Allemagne (RFA) pour soutenir mes camarades victimes de procès fondés sur le paragraphe 130 [législation sur la haine raciale] du code pénal allemand.

Par cette expérience, j'ai pu prendre conscience de l’étendue de la répression pénale en RFA.

De nombreux juristes, y compris des juges allemands, considèrent que le paragraphe 130 est incompatible avec l'article 5 de notre Loi fondamentale [qui garantit la liberté d'expression et d'enquête, etc.]. Peut-être que vous, les juges, avez des doutes sur le bien-fondé de cette loi. L'affaire concerne les crimes des nationaux-socialistes. Il ne faut pas se soucier de l’Holocauste. La question de savoir si l’Holocauste a effectivement été perpétré ne doit pas forcément être posée puisque la question elle-même est déjà un crime, le crime étant incontestable.

Par ce biais, un signal « Stop » est délibérément mis en place pour contrecarrer la recherche scientifique en Histoire. Il est interdit d'aller plus loin ; il est interdit de mener des recherches sur ce sujet. Clairement, ce que nous observons ici est un symptôme de faiblesse de la cause qui nous occupe. Une affirmation subjective préjuge de la chose jugée.

Ce procès n'est pas un procès conventionnel, c'est-à-dire un procès visant à déterminer si un crime a été commis. Nous avons ici deux opinions contraires, opposées, chacune basée sur des sources contradictoires. Ni l'une ni l'autre des parties, ni l'accusation ni l'accusé, n'ont été directement victimes d'un crime présumé. Il ne s'agit donc pas ici de crimes, mais d'opinions sur des crimes supposés. Il s’agit de rechercher les preuves de la réalité d’un événement historique. Cela ne peut être la tâche des juristes; c'est le travail des historiens indépendants.

Ni les centres commémoratifs [à Auschwitz et ailleurs], ni l'éditeur du magazine « Der Spiegel » [Fritjof Meyer] n'ont jamais été accusés de « déni de l'Holocauste ».

Au contraire, le rédacteur en chef du Spiegel a vérifié les chiffres (c'est-à-dire qu'il a fait des déclarations considérées comme étant de bonne foi), ce qui n'est pas une infraction pénale. Par conséquent, comment se fait-il que des citoyens allemands, qui s’interrogent actuellement sur le chiffre de six millions de victimes des chambres à gaz, soient traînés devant les tribunaux et condamnés à des amendes ou à des peines de prison ? C’est contraire aux principes d’un Etat de droit digne de ce nom. C'est une forme d’arbitraire. Mais comment a-t-on pu en arriver là ?

Cela est dû au fait que le paragraphe 130 est incompatible avec la Loi fondamentale.

La question de savoir si Auschwitz était un camp d'extermination ou un camp de travail ne peut être décidée par un tribunal. Il ne faut pas oublier que pendant quarante ans, le massacre de Katyn a été considéré comme un crime commis par les Allemands. Ce n’est que récemment que le gouvernement russe a remis au gouvernement polonais la preuve que Staline avait ordonné le crime ; il est maintenent clairement établi que les bolcheviques avaient commis ce crime.

Voici encore une observation sur le fait que des Juifs et les Israéliens – j’en connais deux personnellemnt – souhaitent s’affranchir du dogme de l’Holocauste et du mythe du peuple élu. Gilad Atzmon, célèbre saxophoniste et écrivain juif, a fait la déclaration publique suivante lors d’une réunion à Bochum en 2005 : « Mettez fin à votre complexe de culpabilité. L’Holocauste est une invention des services secrets américains et israéliens. »

Maintenant, c'est une opinion qui peut être fausse ou vraie. Mais en aucun cas cela ne peut être un crime. Ce serait la fin d'un Etat libre et libéral fondé sur la primauté du droit. Nous devrions être moins hostiles envers les dissidents et les traiter avec davantage d’égards. La vérité n'appartient à personne. Mais nous avons tous le devoir de chercher la vérité.

Il est maintenant grand temps, 72 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, de nous libérer de cette « prison mentale ». Ce qu'Avraham Burg, l'ancien président de la Knesset [parlement israélien], a demandé à ses collègues parlementaires, devrait s'appliquer également au système juridique de la République fédérale d'Allemagne. Nous sommes la risée du monde civilisé. Nous nous rendons indignes en prétendant faire des procès véritablement équitables tant que nous continuerons à sacrifier la primauté du débat contradictoire au paragraphe 130 [loi sur la haine raciale] et tant que cette justice obligera les juges allemands à envoyer en prison des hommes et des femmes inoffensifs.

Ursula Haverbeck.


BOCAGE-INFO - Dépêche No 127/2018
 
Old October 12th, 2019 #15
alex revision
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Prison de Bielefeld : La communauté juive demande l'interdiction de la manifestation de soutien à Ursula Haverbeck

11 octobre 2019

« Je sais que nous sommes en démocratie, mais ce n'est plus une démocratie si ces droits [de manifester] restent valides dans de telles circonstances », a déclaré le président de la communauté juive de Bielefeld, Irith Michelsohn. Après l'attaque de la synagogue à Halle an der Saale, il a fallu réévaluer la menace de l'extrémisme de droite.

La police de Bielefeld n'a pas interdit la marche de soutien prévue par le mouvement « Die Rechte » [La Droite] le 9 novembre prochain en l’honneur d’Ursula Haverbeck, qui aura 91 ans le 11 novembre 2019. Mais le 9 novembre est un jour commémoratif dédié aux victimes juives de la
Nuit de Cristal (9-10 novembre 1938). « Quel dommage que, un 9 novembre, les partisans de « Die Rechte » puissent défiler à Bielefeld parce que
la négationniste de la Shoah, Ursula Haverbeck, est en prison », s’indigne Michelsohn. La manifestation autorisée affichera le slogan « Liberté pour Ursula Haverbeck ».

Christoph Gusy, juriste du Centre de détention de Bielefeld, explique que la situation juridique est claire. L'attaque de Halle n'a aucune influence. Gusy souligne que la législation en vigueur offre la possibilité d'interdire aux manifestants l’accès aux endroits sensibles tels que les monuments commémoratifs. Cependant, selon Gusy il n'est pas possible de prendre en compte les dates sensibles. La police de Bielefeld et les responsables de « Die Rechte » s'étaient mis d'accord sur les conditions de la manifestation.

https://www1.wdr.de/nachrichten/west...efeld-100.html

BOCAGE-INFO - Dépêche No 199/2019

Ursula Haverbeck
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Old September 29th, 2020 #16
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Ursula Haverbeck sera enfin libérée le 5 novembre prochain.

Mais il semble qu’elle passe à nouveau en procès le 17 novembre à Berlin !


BOCAGE-INFO - Dépêche n° 168/2020

Last edited by alex revision; September 29th, 2020 at 07:12 AM.
 
Old November 5th, 2020 #17
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Liberté pour Ursula Haverbeck !



5 novembre 2020

Ursula Haverbeck a été libérée de prison ce matin !

Les camarades du NPD de Berlin dirigés par leur président Andreas Käfer se sont rendus à sa sortie de prison pour l’accueillir.

Agée de 91 ans, elle était la plus vieille prisonnière politique à ce jour.

Une heureuse nouvelle pour la cause révisionniste et pour tous les nationalistes authentiques d’Europe.

https://jeune-nation.com/kultur/cult...sula-haverbeck
 
Old December 5th, 2020 #18
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Allemagne : à peine libérée, l’héroïque Ursula Haverbeck condamnée à une nouvelle année de prison par les tribunaux juifs

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 décembre 2020

A peine libérée après 2 ans et demi de détention pour avoir déclaré que 6 trilliards de juifs n’avaient jamais été mystérieusement transformés en savon durant la Seconde Guerre Mondiale par Adolf Hitler, l’héroïque Ursula Haverbeck a été de nouveau condamnée à une peine de prison par le gouvernement d’occupation opérant en Allemagne pour avoir dit des trucs sur YouTube.

Le journal juif Der Spiegel écume de haine :

Quote:
Dans une interview avec un YouTuber, qui se fait appeler « People’s Teacher » et qu’il a publiée en mars 2018, Haverbeck a relativisé et nié les crimes nazis. Dans cette vidéo d’environ 15 minutes, elle a appelé à « s’efforcer de faire en sorte que ce mensonge, ce fardeau de la dette », qui pèse sur le peuple allemand, soit « levé ». Dans ce document, Haverbeck nie le massacre industriel de six millions de Juifs. Haverbeck dit n’avoir jamais reçu de réponse à la question « où les six millions de Juifs ont été gazés ».

« Je trouve insupportable de devoir écouter de telles déclarations », déclare le juge lors de son verdict. « Ils se moquent des victimes. » Le tribunal condamne Haverbeck in absentia à un an de prison sans possibilité de libération conditionnelle pour sédition. La sentence n’est pas encore définitive.
Je trouve que ce mot de « sédition » est parfaitement approprié et beaucoup plus correct que ceux qu’emploient les tribunaux français pour justifier la répression contre les intellectuels révisionnistes.

C’est un aveu. Il ne s’agit pas tant de « vérité historique » de la part du pouvoir établi que de soumission à ce pouvoir. Le lien entre le mythe de l’holocauste et l’existence même du système est ainsi revendiqué officiellement par la république juive d’Allemagne. Quiconque conteste l’imposture des pseudo chambres à insecticide hitlériennes est considéré comme un rebelle par le gouvernement...

https://democratieparticipative.lol/...ibunaux-juifs/
 
Old December 6th, 2020 #19
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Ursula Haverbeck devrait retourner en prison


4/12/2020

L'extrémiste de droite Ursula Haverbeck est depuis des années une agitatrice notoire. Jusqu'à présent, la femme âgée n'a pas été impressionnée par les amendes et la prison. Maintenant, il y a un nouveau jugement.

Un mois seulement après sa sortie de prison, la négationniste de l'Holocauste Ursula Haverbeck a été de nouveau condamnée à une peine ferme.

Le tribunal de district (AG) de Berlin-Tiergarten a infligé vendredi une peine d'un an de prison à la militante de 92 ans originaire de Rhénanie du Nord-Westphalie. Le juge président a justifié le verdict selon lequel elle était de nouveau coupable de sédition. Vos déclarations sont tout simplement insupportables : « un affront pour les victimes, vos déclarations dans une vidéo sont susceptibles de troubler la paix publique ».

L'accusée a nié l'Holocauste dans une interview publiée sur Internet en mars 2018, selon le verdict. Selon l'acte d'accusation, un extrémiste de droite présumé de Berlin avait diffusé l’entretien sur sa chaîne YouTube. Haverbeck savait que l'interview était destinée à être publiée, a déclaré le juge. Dans le cas de la femme âgée, il n'y a pas eu de « méprise profonde » comme le soutenait l’avocat de la défense. « Il s'agit de diffuser les idées nationales-socialistes. »

L'extrémiste de droite ne s’est pas présentée devant le tribunal le deuxième jour du procès. Elle avait déjà récusé les allégations le premier jour.

Elle ne savait pas que son entretien allait être publié, a déclaré la femme de 92 ans. Elle a déclaré que les accusations étaient «
hors contexte, d'autres choses ne vont pas ». La veuve a également répété : « Il ne s’est rien passé ».

Haverbeck vient de sortir de prison

En prenant sa décision, le tribunal a suivi le Parquet, qui avait proposé un an et trois mois de prison. Malgré son âge avancé, une peine de prison ferme s’impose, a déclaré le procureur, car des « infractions similaires » sont à prévoir. L'avocat de la défense avait plaidé pour l'acquittement.

Haverbeck ne devrait « pas être dissuadée de ses idées fausses par l'emprisonnement », a déclaré l'avocat. Sa cliente a encore « dix affaires en suspens ». Ursula Haverbeck fera appel de son jugement.

Pendant des années, la justice a dû poursuivre à maintes reprises Haverbeck, qui a affirmé à plusieurs reprises que le camp de concentration d'Auschwitz n'était pas un camp d'extermination et que des meurtres de masse n'y avaient pas eu lieu. Selon les estimations des historiens, les nazis ont assassiné au moins 1,1 million de personnes rien qu'à Auschwitz-Birkenau.

La veuve n'a été libérée de la prison de Bielefeld qu'au début du mois de novembre. Elle y avait purgé au total deux ans et demi de prison depuis mai 2018. En 2004, elle avait été reconnue coupable de sédition et avait été amendée. Plus récemment, des condamnations ont été prononcées sans sursis ni libération conditionnelle, toutes confirmées par la Cour constitutionnelle fédérale.

Deux procédures qui se sont terminées par des peines de prison pour la femme de 92 ans en première instance sont toujours en appel. Il s'agit d'une peine de dix mois d'emprisonnement, qui a été infligée à Haverbeck à Hambourg, et de six mois d'emprisonnement, infligée à Berlin en octobre 2017.

Source : https://www.lto.de/recht/nachrichten...rin-haverbeck/

BOCAGE-INFO - Dépêche n°215/2020
 
Old December 9th, 2020 #20
alex revision
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Allemagne : Ursula Haverbeck, dissidente politique, renvoyée en prison ; c’est la plus vieille détenue du monde


7 décembre 2020

Quelques semaines à peine après avoir purgé une peine de deux ans et demi de prison pour « négation de l’Holocauste », Ursula Haverbeck, 92 ans, a de nouveau été condamnée par les tribunaux allemands, cette fois pour un entretien qu’elle a donné en 2018 qui a confirmé son point de vue selon lequel les Juifs n’étaient pas systématiquement tués pendant la Seconde Guerre Mondiale et que les chambres à gaz d’Auschwitz sont un mensonge à motivation politique.

Si la peine d’un an de la Cour fédérale dans l’affaire la plus récente de Haverbeck tient, l’Allemagne aura la distinction douteuse d’emprisonner la plus vieille détenue du monde, un titre précédemment détenu par l’Américaine Lucille Keppen, qui a été incarcérée pour avoir tiré sur son voisin et a été libérée à 93 ans.

Le gouvernement allemand traîne Haverbeck devant les tribunaux depuis des décennies pour avoir contesté les allégations juives de chambres à gaz et de meurtre systématique. Haverbeck a protesté contre les tribunaux kangourous qui humilient et diffament les anciens combattants âgés en utilisant de faux témoignages de « survivants ».

De nombreux hauts fonctionnaires du Troisième Reich, soldats et travailleurs des camps de concentration ont contesté le récit de l’Holocauste depuis 1945, y compris l’officier de la Wehrmacht Otto Ernst Remer, les employés d’Auschwitz Thies Christophersen, Erich Priebke*, Leon Degrelle* et le soldat SS Karl Muenter, ce dernier décédé avant que son procès pour « négation de l’Holocauste » ait débuté à l’âge de 96 ans.

[*Priebke et Degrelle n’ont jamais été des « employés d’Auschwitz » !]

Le défunt mari de Haverbeck, Werner Georg Haverbeck, était un membre influent du NSDAP qui s’est lui-même opposé à la diffamation contre le peuple allemand connue sous le nom de Die Auschwitz luge (le mensonge d’Auschwitz).

Le système juridique allemand a été impitoyable avec Haverbeck. La nonagénaire, qui est une prisonnière d’opinion, s’est vu refuser la libération après avoir purgé les 2/3 de sa peine de prison comme il est d’usage en Allemagne. Alors que l’Etat a libéré plus tôt, 1000 délinquants en raison du COVID en mars dernier, Haverbeck n’a été libérée qu’à la mi-novembre. Il n’y a aucun signe de honte ou de préoccupations en matière de droits humains dans le pays, le juge dans la dernière affaire soulignant que Haverbeck continuera d’être punie jusqu’à ce qu’elle apprenne à se taire. On ne peut qu’imaginer le tollé des ONG libérales si l’Iran, la Chine ou la Russie emprisonnaient une femme âgée juste pour avoir remis en question la ligne du gouvernement.

L’esprit puissant de Haverbeck est devenu une source d’inspiration pour les patriotes en Allemagne et dans le monde. En 2019, elle s’est présentée comme candidate au Parlement européen derrière les barreaux et a recueilli 25 000 voix, ce qui a profondément bouleversé l’establishment médiatique européen. Chaque année, le jour de son anniversaire, des centaines d’Allemands se rassemblent devant son centre de détention pour demander sa libération.

Des intellectuels et des militants à travers l’Europe, les Amériques et le Japon ont exprimé leur consternation devant ces mauvais traitements et le manque de liberté dans ce pays qui prétend être une « démocratie ». A JVA Bielefeld, où Haverbeck était incarcérée, les responsables de la prison ont eu du mal à traiter l’avalanche de lettres et de fleurs que leur célèbre prisonnière a reçues tout au long de sa peine.

Pour la plus vieille prisonnière d’Allemagne, il est clair qu’elle ne se recroquevillera pas devant la colère des groupes juifs dirigeant des bureaucrates carriéristes. Il est dans l’intérêt de la réputation de l’Etat allemand d’arrêter de tourmenter Haverbeck, mais la peur religieuse de l’Occident de débattre de ce qui s’est passé pendant la Seconde Guerre Mondiale continue de prévaloir sur toutes les autres préoccupations.

https://reseauinternational.net/alle...enue-du-monde/

BOCAGE-INFO - Dépêche n°218/2020
 
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