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Old November 11th, 2019 #1
alex revision
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Default Colin Jordan – Adolf Hitler : L’homme contre le temps

ADOLF HITLER

L’homme contre le temps


par Colin Jordan


Il y a cent ans – le vingtième jour du quatrième mois de 1889, peu après six heures du soir – un événement de première importance survint dans une petite ville-frontière, jusque-là insignifiante, d’Autriche. A Braunau naquit ce jour-là, de parents tout aussi insignifiants, un bébé qui était capable de devenir l’homme contre le temps. C’est-à-dire qu’en lui se trouvait le pouvoir de devenir le seul capable d’interrompre, par un processus de complet rajeunissement, toute la tendance de déclin de cette époque, interposant ainsi une nouvelle ère dans le cycle de vie et de mort des âges.

Vivant plus tard à Linz durant son adolescence, c’est ici – comme cela fut brillamment décrit par son ami de jeunesse, August Kubicek (Hitler, mon ami d’enfance, chapitre 8) – qu’au cours d’une nuit de communion avec les étoiles au sommet du Freinberg, les cieux lui révélèrent le secret de sa vie, et qu’Adolf Hitler comprit qu’il était l’homme contre le temps. Dès lors, il fut possédé par la force irrésistible du destin, par l’accès au royaume de la perception supérieure ; ceci apparaissant dans la brillance extraordinaire de ses yeux magnétiques et le timbre extraordinaire de sa voix impérieuse. Du fait de ce pouvoir, il était plus qu’homme ordinaire.

Il arriva donc qu’il fut capable de mobiliser miraculeusement le mécontentement d’une nation vaincue vivant sous une démocratie dégénérée, poussant une poignée d’hommes à Munich au début à devenir par des meetings et des adhésions et un appui public toujours plus grands la puissance qui s’empara de l’Etat, produisit l’expression séismique de la volonté nationale aux congrès de Nuremberg, l’incarna dans le régime le plus populaire de toute l’histoire, et fut près – très près en fait – d’atteindre le but final d’une suprématie mondiale essentielle pour la sécurité aryenne complète. Ici ce qui ressort le plus n’est pas qu’il ait échoué à la dernière haie, mais qu’il ait réussi aussi longtemps et aussi loin, sa réussite n’ayant jamais été égalée avant ou après.

De loin supérieur à un simple politicien, Hitler avait aussi la nature d’un voyant et d’un prêtre, et d’un artiste aussi, dont l’art suprême était la recherche de la surhumanité comme seule assurance d’un retardement de l’œuvre de déclin du temps. La surhumanité était son idéal ultime, parce que toute société réellement meilleure dépend avant tout non de meilleurs plans mais de gens meilleurs pour les mettre en œuvre ; et produire des gens meilleurs dépend avant tout non de l’éducation et de la formation, bien qu’elles aient un rôle important, mais de leur génération. La clé pour le maximum de progrès est aussi simple que cela. Ce qui surprenant, c’est l’incapacité de l’homme, en-dehors du national-socialisme, à en faire usage. Ainsi est identifié le mérite exclusif et exceptionnel de notre croyance.

Hitler recherchait la surhumanité de deux manières. Premièrement, son souci était la protection de l’Aryen en tant qu’être humain de la plus haute potentialité. Son moyen pour cela était de faire de la citoyenneté de l’Etat une question d’appartenance à la nation, et de l’appartenance à la nation une question non de simple résidence et donc de simple géographie mais de race, et donc de l’appartenance au sang de la communauté populaire des Aryens. Deuxièmement, à l’intérieur de la communauté populaire aryenne son souci était la pratique de l’eugénisme positif pour accroître le meilleur de la race, diminuer le moins bon, et éliminer le plus défectueux. Nous avons ici l’essence du message de salut d’Hitler, la quintessence de la croyance du sauveur national-socialiste, sa justification suprême contre toute critique.

Le temps vengeur sous la forme des forces de ruine n’accorda au messie des Aryens que six années de paix formelle, à peine suffisantes pour qu’il puisse commencer sa grande œuvre de transformation de cet âge décadent en un âge d’or. Le même nombre d’années de guerre amena sa mort et la destruction de tout ce qu’il avait fait. Quarante-quatre ans plus tard, cet homme extraordinaire et sa cause ont-ils disparu à jamais ? Ont-ils été complètement vaincus, totalement invalidés, éternellement relégués aux confins du rejet, comme point culminant de l’anathème ? La cause des Untermenschen, les croyances obscures des « opprimés », ont-elles finalement évincé à jamais la Weltanschauung d’une Atlantide des fils du Soleil ?

Un homme éternel

C’est bien ce qu’il semble, du moins au premier regard et à la surface. Même après un examen approfondi, peut-être représentait-il en fait la dernière chance d’une renaissance avant la conclusion cyclique de cet âge par un cataclysme atomique, la destruction de l’environnement, et la désintégration d’une humanité abâtardie. Peut-être que cela sera la fin non seulement d’un âge mais du monde lui-même, auquel succèdera la vie sur une autre planète. Le temps – et la mesure dans laquelle le sauveur survit dans ses adeptes – le dira !

Quelle que soit la réponse, une chose est certaine : et c’est que la « mort » pour un homme de son importance ne peut pas être la disparition totale, aussi longtemps qu’il restera des hommes vivants pour raconter son histoire. Au contraire, elle se limite à une transition par laquelle l’image optique et orale de l’homme se projette entièrement sur l’écran de la mémoire. Le Christ contrefait des chrétiens est demeuré « vivant » pendant 2.000 ans, devenant sur ce plan de l’existence quelque chose non pas d’inférieur mais de bien plus grand que son prototype existant dans l’un des nombreux messies juifs de l’époque. Il peut sûrement en être de même pour Adolf Hitler, le messie des Aryens.

Décisif pour sa transfiguration est le fait – à ne jamais négliger – qu’il fut vaincu non pas moralement mais seulement matériellement, et cela par un rassemblement immensément plus grand d’hommes et d’armements, et après une résistance dont la magnificence n’avait jamais été vue auparavant. La crucifixion de sa foi ne fut obtenue que par les sinistres lances de la guerre, et est dépourvue de la sanction supérieure d’une foi plus valable. Sa victoire fut spirituelle. Ainsi sa défaite militaire des mains de ses inférieurs spirituels, et tous leurs dénigrements, ne peuvent servir qu’à renforcer sa véritable image, assurant qu’il demeure non seulement puissamment vivant en esprit, mais à un point tel qu’il peut devenir le conquérant spirituel du futur. Dans ce raisonnement est résumée toute la signification supérieure de la vie humaine, qui est la lutte de l’esprit jusqu’à sa victoire sur la matière.

Ses ennemis ne doutent pas de son pouvoir de résurrection, au vu du labeur patient et imaginatif de ses vrais disciples pour lesquels l’honneur est la fidélité. Sa résidence de montagne, le Berghof, dut être détruite par les bombardements, puis les ruines durent être dynamitées et réduites en mille morceaux de crainte que les pierres nues ne deviennent des lieux saints, et ensuite on dut faire pousser un épais bosquet sur le site nu, de peur que le sol même ne devienne un lieu de pèlerinage. Dans sa patrie, la démocratie des conquérants militaires dut concéder une défaite morale en dictant l’interdiction perpétuelle non seulement de toute renaissance du NSDAP, mais même des chants, des insignes et des idées du national-socialisme. Par-dessus tout ses ennemis, même quarante-quatre ans après l’avoir déclaré mort – et se livrant à leur diffamation quotidienne et sans fin – sont hantés par le spectacle d’un Hitler dont le pouvoir défie la mort, et dont l’esprit continue à vivre en menaçant leur futur.

Leur monde est mourant de toute manière, spirituellement accablé au-delà de tout espoir de rédemption, et donc incapable d’éviter la mort cyclique. Dans leur peur frénétique de l’esprit d’Hitler, ils sont en train d’en faire trop par un dénigrement excédant les limites de la crédibilité, même pour le troupeau captif de leurs médias, causant ainsi une réaction en sa faveur. Non seulement Némésis peut venir, mais elle n’est peut-être pas trop éloignée – ils la craignent, et nous l’attendons. Un catalyseur appréciable pour cette désillusion pourrait bien venir de la commémoration mondiale de son centenaire, quand – à la grande inquiétude de ses ennemis – nous brandissons fièrement une torche à sa mémoire, en affirmant hautement qu’en dépit de tout ce qu’ils ont fait et dit, pour nous Hitler avait raison.

Ce centenaire est en effet pour nous un grand moment de méditation, un véritable sacrement de notre foi dans le national-socialisme qui a toujours été dans la profondeur de sa nature une religion politique, et qui doit maintenant faire ressortir cette qualité et répandre partout sa substance pour avoir la capacité de combattre et de conquérir le futur. Alors que nous concentrons nos pensées sur le fondateur de notre foi, embrassant son esprit, nous faisons revivre le souvenir de tous ceux qui ont vécu et qui sont morts pour sa cause, prenant leurs mains, et aussi de tous ceux aujourd’hui, où qu’ils soient, qui servent activement cette cause. Ainsi nous créons dans la camaraderie de l’esprit un pont de dévouement, du passé au présent et du présent au futur. En faisant cela, nous recevons en conséquence une émission de la flamme sacrée qui l’animait. Alors en ce moment naît en nous un invincible renouveau de la volonté de vaincre.

Heil Hitler!


Colin Jordan est un célèbre leader national-socialiste britannique. Avec L’Américain George Lincoln Rockwell, il fut l’un des fondateurs de la World Union of National Socialists (WUNS).

SOURCE : cet article a paru pour la première fois dans le numéro d’avril 1989 du NS BULLETIN, édité par Matt Koehl, lettre d’information officielle du NEW ORDER, pour le centenaire de la naissance d’Adolf Hitler.

Texte anglais d’origine :
https://archive.org/stream/NationalS...an%29_djvu.txt
 
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